Histoire érotique : le barman #2

Découvrez aujourd’hui la deuxième partie de l’histoire érotique « Le Barman ». Il y a deux mois, elle lui avait fait une fellation dans les toilettes du bar. Aujourd’hui, elle va enfin le sentir en elle…

Aujourd’hui, c’est le grand jour. Nous nous sommes croisés hier au centre-ville et tout s’est rallumé. « Quand est-ce que je te revois ? » lui ai-je envoyé dans un texto dans la foulée.

Sa réponse n’a pas tardé. « Il y a cinq minutes ! ». Puis, plus explicite : « Sans vêtements, cette fois… »

Je rougis, puis nos messages s’enchaînent jusqu’à ce qu’on se mette d’accord : je le rejoins cet après-midi au restaurant, avant l’ouverture.

De chaudes retrouvailles

Quand il ouvre la porte, mon regard est immédiatement attiré par son érection, clairement visible à travers son pantalon trop serré. Il me fixe, et pour la première fois, je remarque ses yeux verts. J’avais déjà observé chaque tatouage, ses cheveux impeccablement coupés, ses dents parfaites… mais ses yeux, jamais.

Tandis qu’il me dévisage, il tend la main et recule dans le restaurant. Sa main est chaude, et je cligne des yeux en entrant dans l’obscurité du lieu. L’ambiance est plus froide que d’habitude, et je me demande un instant ce que je fais ici. Cette pensée s’évapore aussitôt qu’il me plaque contre le bar, pressant son corps contre le mien, m’embrassant avec une ardeur brûlante. Nous n’avons pas encore prononcé un mot. Je sens le bois du bar dans mon dos tandis que ses mains explorent mes fesses.

Un désir toujours plus fort

« J’adore tes poils, laisse-les encore pousser » m’a-t-il écrit.

C’était différent, rafraîchissant. La plupart préfèrent que tout soit rasé, mais j’ai trouvé ça étonnamment excitant. Je souris, imaginant sa réaction quand il me découvrira nue. Pendant que je parcours son corps musclé de mes mains, il fait glisser mon jean. En dessous, je ne porte rien. Ma toison pubienne s’offre à lui.

« C’est tellement beau, » dit-il avant de s’agenouiller, posant une de mes jambes sur son épaule.

Je regarde autour de nous. Derrière un rideau et une grande plante, nous sommes bien cachés. Personne ne peut nous voir, je pense. Mais je n’ai pas le temps de réfléchir davantage, car il s’attaque à moi avec sa bouche, ses doigts cherchant mon point G, tandis qu’il suce mon clitoris. Comme la dernière fois, l’orgasme arrive rapidement.

Une excitation intense

Ce matin, j’étais à la fois nerveuse et excitée, car nous savions tous les deux ce qui allait se passer. Enfin, je vais le sentir en moi. Deux mois ont passé depuis cette fellation dans les toilettes du bar, et depuis, je n’ai eu aucun rapport. J’ai besoin de le sentir en moi. Je lui ai subtilement fait passer le message, et cette longue attente rend l’orgasme plus facile à atteindre.

« As-tu des préservatifs ? » me demande-t-il en essuyant sa bouche, tout en remontant mon t-shirt.

Je pointe mon sac posé sur le bar. Il ouvre sa braguette et libère son impressionnant pénis. Je lui tends le préservatif, qu’il enfile avec habileté. « Tourne-toi, » dit-il en tirant doucement sur mon piercing au téton.

Je m’exécute, secouant mes fesses pour lui montrer que je suis prête. Il écarte doucement mes fesses, ses doigts glissent de mon vagin vers mon anus, dessinant un cercle autour.

Un jeu de pouvoir

Je sais qu’il aime ça. Moi, un petit peu moins, et il le sait. C’est excitant de le laisser explorer, mais ce n’est pas le genre de choses à faire à la hâte, pas au bar. Juste au moment où je m’apprête à dire quelque chose, il se rappelle mes préférences et change de position.

Il se place derrière moi et glisse lentement en moi. Je me hisse sur la pointe des pieds, pendant qu’il tire sur mes hanches pour m’enfoncer en lui. Je gémis quand il me pénètre entièrement. Le sexe est intense, ses mains fermes sur mes hanches, le rythme s’accélère. J’oublie tout autour de moi – le bar, les chaises vides, la grande fenêtre à côté de nous. Ses mains remontent jusqu’à mes seins, il les masse, pince mes tétons. Sa respiration devient plus rapide, je sais qu’il ne tiendra plus longtemps. Avec ma main, je caresse mon clitoris. Je suis trempée, et l’orgasme monte de nouveau, plus doux, plus long.

Une interruption inattendue

Soudain, il s’arrête. Il cherche son téléphone qui sonne, met un doigt sur sa bouche pour me demander de me taire, et décroche. Compréhensive, je m’assieds sur un tabouret à côté, mon pied droit posé sur un autre. Je continue de me caresser. Ses yeux s’écarquillent en me regardant pendant qu’il parle au téléphone. Il semble discuter avec un fournisseur…

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