Histoire érotique : le barman #1

Dans le premier épisode de cette histoire érotique, l’excitation surpasse le sentiment de culpabilité. Ils savent tous deux que c’est mal, mais pourquoi cela semble-t-il si incroyablement bon ?

Ses mains se saisissent de mes fesses alors qu’il me presse contre la porte du cabinet, attirant mes hanches vers lui. De sa main droite, il verrouille la porte, tout en m’embrassant avidement. Sa bouche est différente de ce à quoi je m’attendais. Plus ferme. Peut-être simplement parce que je n’ai plus l’habitude de sentir une autre bouche, me dis-je en ressentant un vague sentiment de culpabilité, que je chasse aussitôt. Il embrasse mon cou, et je gémis. D’une main, je caresse son pantalon, tandis que l’autre se perd dans ses cheveux. Je respire son parfum : une fragrance coûteuse et masculine.

Une si longue attente

J’ai rêvé de ce moment pendant des heures, du jour où il m’embrasserait enfin. Que ce soit accoudée au bar, allongée dans mon lit avec mon vibromasseur ou dînant avec des amies dans le restaurant où il travaille. Quand je lui tournais le dos, je sentais son regard brûlant. Quand je passais près de lui, il me lançait un clin d’œil. Aujourd’hui, des mois de flirt atteignent enfin leur apogée. Je m’apprête à monter sur mon vélo pour rentrer chez moi quand je reçois un message d’un numéro inconnu.

« Tu étais sublime aujourd’hui. »

Je clique sur le numéro et vois son nom. Mais de toute façon, je n’avais aucun doute sur l’expéditeur. Je décide de répondre : « Merci. Toi aussi. » Il renvoie immédiatement un message : « Tu rentres déjà ? » Tandis que je réfléchis à ce que je vais répondre, je fais mes adieux à mes amies. « Oui, à moins que tu aies une meilleure idée ? »

Un doux risque à prendre

« C’est vraiment risqué, » je murmure à son oreille, tandis qu’il enfouit sa tête dans mon cou. Il presse son bassin contre moi. « Nous avons attendu assez longtemps, » répond-il.

Pendant ce temps, il libère mes seins de mon soutien-gorge. Ses yeux s’élargissent en voyant mon piercing au téton. Puis, il se jette dessus : sa langue glisse autour et sur la barre métallique, tandis qu’il presse ses doigts contre mes fesses. Ma jupe est relevée autour de ma taille, je l’avais mise pour l’occasion. Sa langue s’attaque maintenant à mon autre téton. Sa main explore le gousset de mon string. Sentant à quel point je suis mouillée, il grogne profondément.
Je choisis de prendre les choses en main. « Je veux te sentir en moi, » lui répondis-je. Mais sa réponse se fait attendre et je me sens presque honteuse d’avoir envoyé cela. Heureusement, quelques verres de vin m’ont donné assez de courage pour balayer cette gêne. « Reviens alors, va aux toilettes. Je frapperai trois fois. »

Je cadenasse mon vélo et rentre à nouveau dans le restaurant. En passant à côté de lui, je lui souris avant de me précipiter dans la cabine. Heureusement, elles sont toutes deux libres et il n’y a pas de queue. Un peu mal à l’aise, je me tiens prête, main sur la poignée. J’entends des pas et je me prépare. Trois coups doux à la porte signalent qu’il est là.

Une cabine exiguë

C’est comme si j’étais dans un film quand ma main le saisit par la chemise pour l’attirer dans la cabine. D’un même élan, il m’embrasse pour la première fois. Pressant son corps contre le mien, il me fait pivoter. Son sexe est déjà dur. L’excitation est palpable après tous ces mois de jeu préliminaire. Tout en admirant ma poitrine, je défais sa ceinture.

Après deux tentatives et un peu d’aide, elle cède. Son pantalon tombe à ses genoux. Je me fraye un chemin dans la cabine exiguë vers les toilettes et ferme le couvercle avant de m’y asseoir. Son regard reste fixé sur ma poitrine ; le mien, sur son sexe. Il est imposant et j’anticipe avec impatience ce qui va suivre.
« Il est imposant, crois-moi », avait-il écrit un jour. Un sexto peut être amusant, mais les photos de sexe reçues par message, ce n’est pas vraiment mon truc.

« Alors, il faudrait que je vienne voir ça par moi-même », avais-je répondu à l’époque. Maintenant, je dis en riant : « Tu n’avais pas menti dans ton message. »

Une fellation intense

Je me lèche les lèvres et rassemble ma salive. Sa bouche entrouverte, il guide son sexe vers mes lèvres. « Doucement, Romeo, » lui ordonné-je. J’aime contrôler le rythme.

Ma langue caresse d’abord son gland, tournant et passant autour avant de lécher toute sa longueur. Ses gémissements m’encouragent sans qu’il le sache. Je veux le faire gémir plus fort, qu’il n’oublie jamais ce moment. Soudain, je le prends entièrement dans ma bouche tout en stimulant cette zone sensible derrière son scrotum. Pour cette fois, j’accepte même sa main insistante sur ma nuque. Il ne tarde pas à m’avertir qu’il est sur le point de venir. Je lui fais un clin d’œil et serre ses testicules alors que je me lève. Il me saisit brusquement et me plaque contre le mur.

Il a l’air tellement excité que cela semble presque inévitable. Un pied sur la cuvette, l’autre légèrement instable au sol, je m’accroche à ses cheveux.Avec ses doigts, il écarte mes lèvres avant de parcourir mon clitoris avec sa langue. Je suis sur le point d’exploser : nous avons tellement attendu cet instant. Ses doigts en moi, sa langue sur mon point de plaisir, il en faut peu pour me faire atteindre l’orgasme. Mes mains se cramponnent à ses cheveux tandis qu’il s’active avec plus d’avidité. Lorsque je jouis, je pousse un cri fort. Il est surpris, mais je ne peux retenir ma réaction. Il étouffe mon cri avec ses baisers. Je désire plus de lui et je sens qu’il le veut aussi. Son sexe glissant entre mes lèvres est un indice indéniable.

« Je dois vraiment retourner, » souffle-t-il. « Mais ce n’est que le début. »

Cette histoire érotique vous a plu ? Retrouvez vite l’épisode 2.