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La salle de sieste 3.0

31 décembre 2025,

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Curieux·se de lire le début de l’histoire ? Les deux premières parties vous attendent. 

La salle de sieste 1.0

La salle de sieste 2.0

Elle pensait simplement commencer un nouveau travail. Un bureau comme les autres, des collègues, une routine. Mais au dernier étage, sous les toits, une salle de sieste discrète est devenue le théâtre d’un basculement inattendu. Entre elle et Alban, un collègue, les regards ont changé, les silences se sont chargés de sens, jusqu’à ce qu’un moment volé fasse exploser toutes les limites. Depuis, leur quotidien professionnel est traversé par un secret brûlant, fait de désir, de tension et de peur d’être découverts. 

Décembre 2025

Décembre s’est installé : des guirlandes lumineuses serpentent entre les poutres apparentes, et quelqu’un a déposé un petit sapin artificiel dans l’open space. Il sent à la fois le plastique et la cannelle. Tout le monde fait semblant d’être détendu, mais l’année touche à sa fin, et avec elle, les nerfs sont à vif.

Depuis l’incident avec Marine, quelque chose a basculé, je ne pensais pas.

Alban et moi avons décidé (ou plutôt fait semblant de décider) de lever le pied. Plus de pauses improvisées, plus de regards trop appuyés dans l’ascenseur. On se parle à distance, comme si le moindre mot pouvait être entendu, interprété, retenu contre nous. Mais cette retenue rend tout plus intense encore.

Je sens son regard se poser sur moi

Le 23 décembre, François, notre boss, annonce une soirée de fin d’année improvisée.

– « Rien de fou, juste un verre ici après le boulot. »

En fin de journée, on se retrouve tous au bar d’en face. Alban et moi ne nous adressons pas un mot, mais je ne cesse de le regarder. Je sens son regard se poser sur moi dès que je parle, insistant.

Je porte une petite robe noire et des collants en dentelle.

« Tu te souviens… »

À minuit passé, il ne reste plus grand monde. Marine est partie tôt. François aussi.

On se retrouve seuls, presque par hasard. Je sors fumer une cigarette dehors. La situation me met mal à l’aise : après la distance que nous avons installée ces dernières semaines, me retrouver face à lui ravive une gêne que je n’avais pas anticipée.

Je voudrais revenir à ce que nous étions avant. Au même moment, je le vois sortir du bar.

– « Tu te souviens… », me dit-il à voix basse.

Je n’ai pas besoin qu’il termine. Bien sûr que je me souviens.

Invitation

Il me glisse : « Tu ne préfères pas qu’on aille chez moi ? »
C’est la première fois qu’il me propose quelque chose en dehors du travail, loin de cette salle de sieste où tout a commencé.

Il sourit. Pas un sourire de victoire. Un sourire qui trahit qu’il sait que je ne crois pas un mot de ce que je dis. Et il a raison.

Il termine ma cigarette et appelle un taxi. Je n’ai jamais vu à quoi ressemble sa vie, son appartement. Je m’apprête à entrer dans son intimité. Peut-être que notre relation est en train de prendre une tout autre tournure.

«Je veux que tu voies où je vis»

Dans le taxi, il me prend la main. On parle à peine, les mots semblent superflus. Arrivés chez lui, nous montons les deux étages. À peine avons-nous franchi la porte que nos lèvres se trouvent, et dans le couloir, nous commençons à nous déshabiller.

– « Tu m’as manqué… C’est frustrant de si peu se parler au boulot. J’en avais marre de ces murs. Je veux que tu voies où je vis. »

Nous savons exactement ce que l’autre désire, et nos corps s’unissent comme une danse effrénée.

Mon moment

Il me porte et m’allonge sur son lit, dont les draps portent son odeur. Il commence à me couvrir de baisers, retire mon string et me stimule, explorant ma vulve, mon vagin et mon anus. Alban continue avec ses doigts, un, puis deux, puis trois. Je sens son excitation, je vois sa queue se durcir, mais je reste passive : c’est mon moment. Plus tard, ce sera à mon tour de le sucer.

– « T’es hyper mouillée… je t’avais manqué ? » me dit-il avec un sourire, la tête entre mes jambes.

Je ne réponds pas et éclate de rire. Évidemment qu’il m’avait manqué.

Il me touche jusqu’à ce que je jouisse. Il est le seul à me faire ressentir ça. J’ai eu d’autres hommes, pourtant avec lui… je ne sais toujours pas ce que l’avenir nous réserve. Alors je me laisse simplement porter par l’instant.

«Je le suce intensément»

« À mon tour de te faire plaisir. » Je prends sa queue dure, me retourne et lui dis : « On fait un 6/9 ? »
« Ok », me dit-il. Je prends sa queue pendant qu’il explore encore mon vagin et mes fesses. Je le suce intensément, jusqu’aux couilles et à son anus. Il a l’air d’aimer ça.

Il jouit dans ma bouche, j’avale. Pas besoin de pénétration : on a pris notre pied simplement avec ce que l’on préfère, se faire plaisir.

Je lèche sa queue jusqu’à la dernière goutte. Il dépose pleins de petits bisous sur mes fesses.

Promesse

« Je veux qu’on fasse plus de choses ensemble l’année prochaine », me dit-il. « J’adore passer du temps avec toi. »

Je rougis. Serait-ce le début d’une relation qui ne sera plus simplement que des collègues ? Je ne sais pas, mais je lui dis timidement : « Oui, si tu veux. »

Il m’embrasse sur le front, comme une promesse reportée. Je m’endors dans ses bras. Le lendemain, je pars tôt et quitte son appartement pour retrouver mon chez-moi.

– « À l’année prochaine », dit-il.

Et je sais déjà que le Nouvel An n’effacera rien.
Il ne fera que tout recommencer.

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Écrit par

Sally

Auteure
Sally est une créatrice de contenu engagée et passionnée. Son secret ? Une histoire captivante, des détails soigneusement choisis et une forte volonté d’éduquer sur la sexualité.

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