Lorsqu’un massage sensuel à domicile démarre entre deux inconnues, l’atmosphère devient rapidement électrique… et quand l’hôte propose à son partenaire de se joindre à elles, la soirée bascule dans une expérience à trois aussi inattendue qu’enivrante.
La sonnette retentit. Mon cœur s’emballe. De l’autre côté de la porte, une inconnue m’attend, prête à s’abandonner à un massage tantrique que je vais lui offrir de mes propres mains. Rien que d’y penser, je frémis d’excitation. Je t’en avais parlé, évidemment. Tu sais que je vais masser une femme totalement nue… et tu n’as pas hésité une seconde à proposer ta cabane de jardin comme lieu de rendez-vous. L’idée que je donne du plaisir à une autre, sur ton lieu de travail, t’excite follement. Je m’avance vers la porte, te laissant à l’intérieur, dans l’attente. Tu m’adresses un clin d’œil, accompagné d’un léger sourire. Pas besoin de mots : je sais exactement ce que tu espères…
Face à face, peau contre peau
J’ouvre la porte. Elle est là, souriante, le regard à la fois curieux et confiant. Ses courbes généreuses la rendent encore plus séduisante. On échange un sourire complice, presque comme si on se connaissait déjà. Je l’invite à me suivre jusqu’à la cabane. À l’intérieur, la chaleur nous enveloppe doucement. Je lui tends une tasse de thé, puis je lui explique calmement ce qui l’attend. Elle acquiesce, sereine. On se déshabille, sans gêne. Face à face, entièrement nues, on s’assoit. Nos regards se croisent, et une forme de confiance s’installe tout de suite. On médite quelques minutes ensemble, dans le silence. Puis je saisis sa main pour la poser doucement contre mon cœur. En retour, je pose la mienne entre ses seins. Je sens son cœur battre plus vite.
Je l’invite à s’allonger sur le ventre, et je commence à la masser. Mes gestes sont lents. Je m’attarde longuement sur ses fesses, que je pétris et caresse avec soin. Je sais par expérience combien cela peut être excitant et agréable. Sa respiration s’accélère légèrement et son corps se relâche sous mes doigts. Je me glisse ensuite lentement sur elle. J’enduis mes seins, mon ventre et mes avant-bras d’huile, avant de les presser doucement contre son dos. Mon bassin ondule contre ses fesses. Je sens son excitation monter. Elle pousse un léger gémissement. Le matelas protégé par une housse imperméable rend nos corps glissants et nos gestes encore plus fluides. Mes mains glissent sous son ventre et remontent lentement jusqu’à sa poitrine. Je saisis ses seins, fermes et bien ronds, et les caresse délicatement. Mon propre désir monte en flèche. Je savoure la douceur de sa peau, ses fesses généreuses contre mon pubis. Je lui murmure de se retourner. Elle s’exécute, un large sourire aux lèvres. Je m’installe à califourchon sur ses hanches, nos corps brillants d’huile. Mes mains retrouvent ses seins, que je masse doucement, longuement, en observant chaque frisson, chaque soupir. Elle gémit de plus en plus fort. Je resserre mes doigts sur ses tétons, les pinçant délicatement. Je scrute sa réaction : bouche entrouverte, yeux clos… elle est en extase.
Un regard, une caresse… une invitation
Son bassin commence à onduler doucement sous le mien. Un délicieux frisson me traverse tout le bas-ventre, jusqu’au clitoris. Je suis déjà au bord de l’orgasme et pourtant, ce n’est que le début. Je me penche vers elle et commence à mordiller, puis sucer ses tétons. Elle gémit, fort, sans retenue. Son plaisir devient contagieux. Je glisse une main sur son visage. Nos regards se croisent. Je m’approche et l’embrasse. Sa langue se glisse doucement entre mes lèvres. Une onde de chaleur traverse nos corps. Nos bouches se cherchent. Nos langues dansent, s’enroulent, se mêlent. Je descends doucement le long de son corps. D’un geste délicat, j’écarte ses jambes. Entre elles, une petite chatte épilée, dessinée d’une fine ligne sombre, exactement comme j’aime. Son excitation est visible, ses lèvres sont humides. Je prends une seconde pour l’admirer. Elle se caresse les seins, le souffle court. Clairement, elle en veut plus. Je la regarde, un sourire au coin des lèvres.
— « Est-ce que je peux inviter mon copain à nous rejoindre ? Il est doux, attentionné… et je suis sûre que ça lui ferait très plaisir. » Elle me répond par un hochement de tête et un sourire complice.
Je prends mon téléphone et t’appelle. Tu décroches, surpris… puis ravi.
— « J’arrive tout de suite. »
Quelques minutes plus tard, tu frappes à la porte et entres. Tu es terriblement sexy dans ta chemise noire en satin ! Je vous présente rapidement. Son regard glisse lentement sur toi, intrigué… charmé. Tu t’installes sur le canapé où nous avons déjà fait l’amour plusieurs fois. Je me prends à espérer que ce soir, ce sera encore le cas…
Ton arrivée fait monter la température d’un cran
Je me reconcentre sur elle. Sa vulve brille. Je me glisse entre ses cuisses, doucement, et commence à la lécher. Sa peau a ce goût sucré-salé, si envoûtant. Je prends mon temps. Mes mouvements sont lents, précis. Elle gémit, écarte davantage ses cuisses et pousse son bassin contre ma bouche. Ses mains s’agrippent au matelas. Je glisse ma langue un peu plus profondément en elle, explorant chaque recoin, chaque frémissement.
Je sais que tu regardes et que tu as une érection.
Ton excitation me traverse. Mon propre plaisir monte. Je m’attarde sur son clitoris, l’aspire tendrement. Elle jouit contre ma langue. Son corps se tend, ondule, tremble sous mes caresses. Elle me regarde, un sourire espiègle aux lèvres, puis me murmure :
— « Tu veux bien t’asseoir sur mon visage ? » Je ne réponds pas, je m’exécute. Je m’installe, chatte ouverte au-dessus de sa bouche, en gardant les yeux sur toi. Tu as déjà baissé ton pantalon… et ton érection est massive. Je m’abaisse lentement, jusqu’à sentir sa langue chaude contre moi. Mon plaisir m’empêche de te regarder plus longtemps. Mes yeux se ferment, je perds le fil. Je gémis, fort. Mais même les paupières closes, je ressens ta présence. Je sais que tu nous regardes. Que tu jouis déjà de la scène, presque autant que moi. Puis je m’allonge à côté d’elle, nos regards se posent ensemble sur toi. Elle aussi semble curieuse de goûter à ton plaisir. Elle me demande :
— « Est-ce qu’il peut participer ? » Je souris.
— « Oui, avec grand plaisir. » Tu retires le reste de tes vêtements et nous t’invitons à t’allonger sur le dos. Je grimpe doucement sur toi, mes cuisses de chaque côté de ton visage. Elle, de son côté, s’agenouille au niveau de ta queue, et commence à te masser les testicules avec douceur. Tu me lèches avec avidité, et je sens un deuxième orgasme monter rapidement. Elle prend ta queue entre ses lèvres, lentement, profondément. Sa langue joue autour de ton gland tendu, avec une précision délicieuse. Une vision à couper le souffle. Je t’observe, fascinée. Ton bassin ondule vers elle, pendant que ta langue continue de m’explorer sans relâche. Je ne tiens plus. Je gicle sur ton visage, tremblante, comblée. Tu sens l’orgasme monter en toi aussi, alors tu lui demandes doucement de faire une pause. Tu te redresses, l’allonges. Tes yeux glissent sur sa chatte. Tes doigts explorent ses lèvres, son clitoris. Elle gémit, sa peau frissonne sous tes caresses. Tu la doigtes doucement. Entre deux vagues de plaisir, nous échangeons des baisers profonds. Nos langues se cherchent, nos regards se croisent. Puis, on passe à trois.
Trois corps, un même souffle
Tu la fais squirter sous tes doigts habiles, et son jus coule sur tes mains. Tu restes un instant à la contempler, fasciné. Deux chattes trempées… rien que pour toi. Tu t’allonges sur le dos, et je viens m’empaler sur toi. Je bouge, lentement d’abord, puis avec plus d’assurance. Je me cambre de plaisir et jouis avec puissance sur ta queue. J’embrasse langoureusement ma nouvelle amie, pendant que ses mains caressent mes seins. Un autre orgasme me traverse et je sens que tu vas jouir aussi.
— « Je peux jouir sur vos seins ? » tu demandes. Évidemment ! Tu me prends encore, deux ou trois poussées profondes, avant que je me retire doucement. Elle et moi, nous allongeons sur le dos, côte à côte. Tu te mets à genoux, nous regardes, excité, concentré… Tu te branles avec intensité, jusqu’à jouir puissamment sur nos poitrines. Nous étalons ton sperme chaud sur nos seins et nos ventres. L’expression sur ton visage vaut de l’or. Tu t’allonges entre nous. On se serre contre toi, l’une à gauche, l’autre à droite. Nous restons là un moment, à savourer nos corps, nos respirations, notre chaleur partagée.
Un peu plus tard, elle se rhabille et repart, les joues rosies et un sourire béat sur le visage. Quand elle ferme la porte derrière elle, on se regarde, complices. Je grimpe à nouveau sur toi pour une dernière chevauchée sensuelle, en position cowgirl, juste toi et moi, peau contre peau, nos cœurs encore battants. Une dernière vague de plaisir. On s’endort enlacés, repus, les corps encore frémissants. Dans le silence, il ne reste que la mémoire brûlante d’une soirée inoubliable…
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