Histoire érotique : le ruban bleu

Dans un hôtel discret, un rendez-vous régulier prend une nouvelle tournure avec un ruban bleu en satin. Découvrez cette histoire érotique qui vous fera voyager sur le fantasme du contrôle…

Rendez-vous en chambre 316

Perdue dans ses pensées, elle traversa le hall de l’hôtel où ils s’étaient donné rendez-vous. Chambre 316, sept heures du soir. Pas de questions, pas de réponses. Collègues le jour, amants le soir, ils se retrouvaient chaque mois selon leurs règles : discrétion totale, aucun autre contact, aucun attachement. Une soirée pour explorer les limites que leurs partenaires voulaient maintenir. À son arrivée, il se leva pour l’embrasser. « Déshabille-toi », dit-il après un baiser rapide. Lui-même restait habillé.

Un ruban doux

Elle se déshabilla et, maintenant nue devant lui, remarqua qu’il tenait un long ruban en satin. Il enroula le ruban autour de son cou et sur son torse. Le satin, moins mordant que la corde précédente, serrait tout autant. Avec une précision maîtrisée, il enroula le ruban autour de son corps. Au début frais, il prit rapidement la chaleur de sa peau. Alors que le ruban restreignait ses mouvements, une musique douce jouait. Il attacha ses mains entre ses seins. Elle pouvait encore partir, mais l’idée ne la traversa même pas ; elle préférait le laisser faire. Il fit un pas en arrière pour admirer son œuvre. Elle se sentait vulnérable et nue sous son regard, mais surtout très excitée. Toujours en costume, il fit le tour d’elle, glissant parfois un doigt sous le ruban pour vérifier la pression. Devant elle, il posa ses mains sur ses seins et les massa jusqu’à ce que ses tétons se durcissent. Il les prit en bouche, les suçotant avec force jusqu’à ce qu’ils deviennent roses et durs. « Je les préfère ainsi, dit-il. Essaie de les garder comme ça. »

Un ruban bien serré

Comment ? Elle ne pouvait même pas les atteindre. Nerveuse, elle tenta de l’embrasser pour l’encourager à se déshabiller. Il se retira, attrapa le ruban autour de ses seins et la poussa en arrière. Surprise, elle trébucha mais il la soutint. Il écarta ses jambes avec son pied. Elle vacilla un instant, se stabilisant contre lui. Sa main glissa entre ses jambes, trouva son clitoris et le saisit. Elle sentit son sourire dans son cou en découvrant son humidité. Il laissa brièvement un doigt en elle, puis se retira pour tracer des cercles humides autour de son clitoris. Malgré l’intensité, elle sentait qu’elle ne pourrait pas jouir sans contrôler le rythme et la pression. Pourtant, il semblait connaître son corps mieux qu’elle ne le pensait. Il augmenta la pression différemment, mais tout aussi intensément. Elle était piégée dans le satin, concentrée sur son bas-ventre. Puis elle frémit et trembla, atteignant l’orgasme dans sa main. Il ne lui laissa pas de répit. Empilant les coussins sur le lit, il la fit se pencher en avant. Sa tête était libre, mais elle ignorait ce qu’il faisait derrière elle.

Sensation d’extase

Il écarta à nouveau ses jambes, se plaçant entre elles. Elle sentit un baiser entre ses omoplates avant qu’il ne la pénètre lentement mais fermement. Était-il plus dur ou plus doux ? Ou était-ce l’effet d’être à sa merci qui intensifiait la sensation ? Ses mouvements devinrent plus rapides, et il la maintenait exactement où il le voulait avec les mains dans le satin. Elle se laissa faire, savourant l’extase une seconde fois. Moins intense, mais plus longue – si longue qu’elle était heureuse d’être allongée, car ses jambes étaient fatiguées. Elle était cependant certaine qu’elle ne pourrait pas jouir, pas sans pouvoir contrôler le rythme et la pression. Pourtant, il semblait connaître son corps mieux qu’elle ne le pensait. Différemment, mais tout aussi intensément, il augmenta la pression. Elle voulait le toucher, mais elle était piégée dans ce harnais de satin. Toute son énergie se concentra dans son bas-ventre. Puis elle frémit et trembla, jouissant dans sa main. Après un orgasme intense, il s’appuya sur elle, haletant et en sueur, avant de la libérer du satin et de rouler avec elle sur le lit. La prochaine fois ? Non, la prochaine fois, ce serait son tour.