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Histoire érotique : Patience du dimanche

28 septembre 2025,

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Un dimanche soir paresseux devient un jeu cruel et délicieux : tenir Thomas au bord du plaisir, encore et encore. Il jouira… mais seulement quand je l’aurai choisi.

Dimanche soir. Affalés sur le canapé, Thomas et moi scrollons distraitement sur nos téléphones, tandis que la télé ronronne avec ses émissions de fin de week-end. Thomas, concentré sur son écran, fait défiler sa timeline Twitter. Par curiosité, je jette aussi un œil, du coin de l’écran. Des tweets, des photos d’amis, des GIFs absurdes… jusqu’à ce que mon regard s’arrête net sur une vidéo beaucoup plus explicite.

Thomas le remarque aussitôt. Nos yeux se croisent brièvement, mais la vidéo capte toute mon attention. Intrigué, il agrandit l’écran, et sans un mot, nous nous retrouvons à la regarder ensemble. Un acteur porno gémit, attaché, les mains incapables de se libérer. On le retient à la limite de l’orgasme encore et encore, jusqu’à ce que son corps cède. Il éjacule dans un mélange de sueur et de tension, comme si c’était l’orgasme le plus puissant de sa vie.

Thomas se tourne vers moi, un léger sourire au coin des lèvres :
— « Tu voudrais qu’on essaie ça ? »

Sa question flotte dans l’air. Je détourne à peine le regard, mais mon esprit, lui, reste accroché à l’image. Je connais la réponse avant même d’ouvrir la bouche : je n’ai jamais eu la patience pour ce genre de jeu. Je suis de ceux qui cliquent frénétiquement sur « actualiser » dès que je reçois un mail de confirmation de commande. De ceux qui prennent toujours le chemin le plus direct d’un point A à un point B, juste parce que l’attente m’exaspère. Et c’est pareil au lit : mes orgasmes, je les veux tout de suite, aussi vite et aussi fort que possible.

Alors l’Edging… à ce moment précis, je suis persuadé que ce n’est pas fait pour moi.

Cependant, quand il s’agit de faire attendre quelqu’un d’autre, je suis dans mon élément. Là, je prends tout mon temps. Chaque seconde. Thomas sait exactement ce que ça veut dire. Après tout, à quoi sert un dimanche soir paresseux ? Je me penche vers lui et laisse ma tête reposer sur son épaule. La vidéo tourne encore en boucle sur son écran. Ma main glisse nonchalamment sur sa cuisse, avant de caresser doucement l’intérieur de ses jambes. Son souffle change, un gémissement discret lui échappe.

Son jean devient une prison trop étroite

Ses yeux restent fixés sur le téléphone, mais je vois déjà son corps réagir. Je laisse ma main descendre, plus près de son entrejambe. Il entrouvre les jambes, comme une invitation. À travers le tissu de son jean, je joue avec ses couilles, puis je frôle sa queue encore molle, qui ne tarde pas à se tendre sous mes caresses. Les petites contractions familières trahissent son excitation grandissante.

Très vite, je sens que son jean devient une prison trop étroite. Il voudrait que je l’aide, que je libère sa queue de ce carcan. Mais je n’ai aucune intention de lui offrir ce soulagement si tôt. Au contraire, je prolonge le supplice. Mes doigts s’attardent, taquinent, pressent juste assez pour lui donner envie de plus.

Il se tortille, cherche une position moins frustrante, jusqu’à presque s’allonger sur le canapé. Mais je garde le contrôle, implacable. Mes caresses restent lentes, mes gestes calculés. Son téléphone est déjà tombé aux oubliettes. Sa tête bascule en arrière, ses yeux se ferment, et son visage se crispe dans ce mélange délicieux de plaisir et de frustration.

Sa queue se dresse fièrement, gonflée à craquer

Finalement, je cède… à moitié. J’abaisse lentement la fermeture éclair de son jean, juste assez pour que sa queue puisse respirer, sans pour autant la libérer. Le tissu de son boxer se tend et un point humide trahit déjà son excitation. J’y glisse deux doigts, effleurant sa peau brûlante. À ce contact, sa queue se dresse encore plus, impatiente, frémissante. La respiration de Thomas s’accélère, haletante. Tout ce qu’il veut, je le sais, c’est sentir son sexe hors de cette prison de tissu. Mais je prends plaisir à le retenir. À l’amener à bout. À savourer son attente.

Quand je décide enfin de lui offrir sa délivrance, j’attrape sa ceinture. Il se redresse aussitôt, pressé, m’aidant à l’ôter avec une avidité presque désespérée. En quelques gestes, son jean glisse jusqu’à ses chevilles, et là, il est offert à moi : à moitié nu, sa queue dressée fièrement, gonflée à craquer, parcourue de veines saillantes, le gland luisant de pré-sperme. Une véritable œuvre d’art, tendue vers moi comme une offrande.

Je referme lentement ma main autour de son sexe et serre, ferme, juste ce qu’il faut. Son corps entier se tend sous la pression, chaque muscle crispé de désir. Ce moment, je l’adore : sentir dans ma paume toute la force et la vulnérabilité de son plaisir, comme si je tenais son corps en otage. Sa queue semble à la fois puissante et dangereuse, et pourtant, je n’ai qu’une envie, la dévorer, la sentir au fond de ma gorge ou profondément en moi. Mais pas ce soir. Ce soir, ce n’est pas mon plaisir qui compte. Même quand l’excitation me vrille le ventre, je reste concentré sur lui… et sur ce que je lui fais endurer.

Je prends plaisir à l’amener à bout

Ma main continue de serrer, de glisser, de caresser chaque veine tendue de sa queue en feu. Thomas s’agrippe fort à l’accoudoir du canapé. Sa respiration devient lourde, presque haletante, comme si chaque inspiration lui coûtait. Je ne l’ai jamais senti aussi dur.

Alors, le vrai jeu commence. Mon plaisir. Je ralentis, le fais languir, savourant chaque centimètre qui pulse sous ma paume. Puis, quand il commence à s’abandonner, je change de rythme. Plus vite. Plus fort. Ses hanches se soulèvent d’elles-mêmes, son dos se cambre, un gémissement brut s’arrache de sa gorge. Je sais qu’il est au bord, qu’il sent déjà la vague monter… et c’est précisément à ce moment-là que j’arrête net.

Son corps retombe lourdement contre le dossier. Il laisse échapper un soupir frustré, presque un grognement, et me jette un regard fiévreux, implorant. Un regard qui dit tout : continue, bordel. Je soutiens ses yeux, puis reprends sa queue dans ma main, cette fois avec une lenteur calculée. Le même va-et-vient, doux, implacable. Le rythme grimpe de nouveau, sa tête bascule en arrière, ses yeux se révulsent. Ses gémissements se font plus pressants, presque des supplications murmurées dans sa barbe.

Je m’arrête net, une dernière fois

Je sens son corps trembler, sur le point de céder… et je stoppe encore. Son cri de frustration emplit la pièce, rauque, désespéré. Pourtant, sa queue reste là, dure, palpitante, frémissante, toujours tendue comme si elle me suppliait à sa place.

Cela semble durer une éternité. À chaque arrêt, ses gémissements deviennent plus désespérés, presque irrités. Je sens qu’il est au bord de craquer, incapable de tenir beaucoup plus longtemps. Cette fois, je termine la branlette et me recule.

Soudain, Thomas explose :

— « OH PUTAIN ! ».
Son cri résonne, brut, incontrôlable. Sa queue jaillit, jet après jet, un sperme épais et chaud qui éclabousse son ventre. Son corps tout entier se cambre et se convulse, il broie l’accoudoir du canapé, presque à le déchirer. Je regarde, fasciné, ses hanches se soulever à chaque spasme, sa peau trempée, son ventre recouvert. Son orgasme s’étire, long, violent, une minute entière où je savoure chaque secousse.

Puis enfin, il retombe. Sa respiration s’apaise, haletante, et sa queue frissonne encore avant de redevenir molle. Je me lève, attrape une serviette, et le regarde s’essuyer. Il frissonne, hypersensible, plus que d’habitude, presque au point de ne plus supporter le moindre contact.

Quand je me poste devant lui, il remarque mon érection. Sa main s’avance vers mon entrejambe, mais je recule aussitôt. Je secoue la tête et souffle, ferme :

— « Non. »
Je m’éloigne, le laissant là, pantalon aux chevilles, corps encore secoué par l’extase.
C’était fun.

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Écrit par

Sally

Auteure
Sally est une créatrice de contenu engagée et passionnée. Son secret ? Une histoire captivante, des détails soigneusement choisis et une forte volonté d’éduquer sur la sexualité.

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