Chloé n’est pas la plus grande fan de Paul, l’ami du fiancé de sa meilleure amie. Mais quand il lui offre la distraction dont elle a longtemps eu besoin, ce n’est pas seulement son joli visage qui la fait craquer dans cette histoire érotique.
Rencontre dans un café
J’ai rencontré Paul dans le petit café au coin de ma rue, une vieille de Noël glaciale. Je ne l’avais jamais vraiment apprécié. Oui, je sais que ce n’est pas la meilleure introduction à cette histoire, mais écoutez. Paul est le genre de personne qui sait à quel point il est ridiculement beau, mais pas de manière modeste. Plutôt du genre « regardez-moi, je suis un spécimen magnifique sous vos yeux ». Et je déteste ça. Et je déteste qu’il me plaise autant.
On pourrait penser que c’était facile de l’éviter. Sauf que ma meilleure amie Émilie et son meilleur ami Lucas se marient l’année prochaine. Nous étions donc en quelque sorte liés, surtout avec les préparatifs.
Comme d’habitude, j’étais assise là, mon ordinateur portable ouvert, occupée par mon travail. L’odeur des grains de café fraîchement moulus flottait dans l’air, accompagnée de musique douce et de conversations animées en arrière-plan.
Un rire assuré
J’ai entendu son rire avant de le voir. Un rire assuré et insouciant qui m’irritait instantanément. J’ai levé les yeux et l’ai vu au comptoir, entouré de ses amis, dont Lucas. Il était dans son élément, c’était évident. Ses cheveux noirs étaient ébouriffés et des flocons de neige fondaient lentement sous l’air chaud. Appuyé contre le comptoir, il passait sa commande. Et il le savait. Il savait que le monde le regardait.
Je levais les yeux au ciel presque automatiquement alors que je me concentrais à nouveau sur mon ordinateur. Pourquoi ne pouvais-je pas simplement être immunisée contre ses charmes ? Je savais très bien ce qui était bon pour moi, mais je ne pouvais m’empêcher de jeter des coups d’œil dans sa direction.
D’accord, concentre-toi. Il n’y avait rien de grave. J’étais là, cachée dans un coin. Il n’y avait aucune-
Du coin de l’œil, je le vis marcher vers moi. Super.
Il tira la chaise en face de moi et s’assit avec ce même sourire confiant.
« Salut Chloé, me salua-t-il. Qu’est-ce qui t’amène ici par une soirée si froide ?
— Salut Paul. Comme d’habitude, le travail, marmonnai-je sans lever les yeux.
— Hmm, ennuyeux, dit Paul avec une nuance de taquinerie. Peut-être devrais-tu chercher une distraction. Autre que les projets supplémentaires au travail. »
Trouver une distraction
Je sentis un muscle sous mon œil se contracter. Avec un soupir, je levai les yeux vers lui avec des sourcils haussés et un sourire légèrement forcé.
« Et où devrais-je trouver cette distraction ?
— Je connais quelques moyens, dit-il avec une lueur malicieuse dans les yeux.
— Tout le monde n’a pas besoin de ta définition de la distraction, Paul.
— D’accord. Mais tu n’es pas curieuse de savoir quelle distraction j’ai en tête ? » dit-il en riant.
Je secouai la tête et me replongeai dans mon travail, espérant qu’il comprendrait l’allusion et retournerait auprès de ses amis. Mais bien sûr, il ne le fit pas. Il rapprocha sa chaise de la mienne et me fixa intensément.
« Il y a plus dans la vie que le travail, Chloé, » dit-il en faisant signe à ses amis de sortir sans lui.
Je levai à nouveau les sourcils. « Tu es devenu coach de vie maintenant ? »
Paul rit encore. « Non, absolument pas. Mais je peux te donner un coup de main pour sortir de cette… » Il désigna mon ordinateur. « …relation toxique. »
Je me tournai vers lui.
« Ce n’est pas aussi toxique que ça.
— Que ce soit toxique ou non, prends-tu le temps de profiter de la vie ? »
Mais de quoi se mêlait-il ?
« Profiter ? Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais tout le monde n’a pas le luxe de profiter. Certains d’entre nous ont des responsabilités.
— Je comprends, dit-il plus sérieusement. Mais parfois, il faut se donner la permission de lâcher prise et de ressentir ce qui compte vraiment.
Ce muscle sous mon œil se contracta à nouveau et je le frottai doucement. Et s’il avait raison ? Quand était-ce la dernière fois que j’avais fait quelque chose pour moi-même sans que le travail ne se mette en travers de mon chemin ?
« C’est les fêtes, continua-t-il avec un petit sourire. Et j’ai entendu dire que tu avais annulé ta participation à la fête de Noël de Lucas et Émilie.
— Oui, c’est parce que-
— -le travail ? »
Je serrai les lèvres, me sentant prise en faute d’une manière ou d’une autre. Mon regard coupable en disait long et Paul me sourit d’un air taquin. Il se leva de sa chaise. « Je te verrai samedi à la fête, Chloé. »
La fête de Noël
L’appel avec mon manager me trottait encore dans la tête alors que j’étais près du lieu de la fête. Émilie et Lucas avaient loué un bar pour leur fête de Noël. Des lumières de Noël et des décorations ornaient la terrasse extérieure, et les premières personnes étaient déjà là, avec de la musique en arrière-plan. Je lissai ma robe à paillettes d’un coup de main et rangeai mon téléphone dans ma pochette. Après les fêtes, j’allais sans doute passer un mauvais quart d’heure. J’espérais juste que ça en vaudrait la peine.
C’était maintenant ou jamais. Je me dirigeai vers le lieu, montrai mon invitation au videur et entrai dans le bar. L’ambiance était sympa, chaleureuse, et respectait parfaitement le thème. C’était vraiment le style d’Émilie et Lucas.
« Chloé ?! » Émilie se fraya un chemin à travers plusieurs personnes, un grand sourire sur le visage. « Oh mon dieu, tu es là ! » Elle me serra dans ses bras et me regarda ensuite avec joie. « Comment as-tu réussi à esquiver ton manager ? »
« Oh, tu sais, » ris-je, essayant de chasser la voix criarde de mon manager de mon esprit.
Émilie étudia mon visage un instant. « Eh bien, tu es là ! Et visiblement, tu as besoin d’un verre. » Elle m’entraîna vers le bar et me tendit un verre de vin.
Paul est là
Et c’est là que j’aperçus Paul. Il se tenait près d’une table haute, entouré de gens. Il leva les yeux et nos regards se croisèrent. Sans détourner les yeux, il dit quelque chose aux autres et se dirigea ensuite vers nous.
Paul nous sourit largement et dit, « Content que tu sois là, Chloé. »
Le regard d’Émilie alla de moi à Paul et retour. Je pris une grande gorgée de vin pour réfléchir à ce que j’allais bien pouvoir dire.
« Émilie ! » cria quelqu’un, et après un regard d’excuse, Émilie fut entraînée par une de ses cousines vers un grand groupe de personnes à l’autre bout du bar. Elle me lança un regard de « on en reparle plus tard » et disparut parmi les gens.
Paul prit sa place à côté de moi et s’appuya sur le bar. « Tout s’est bien passé avec ton travail ? » demanda-t-il avec un léger sourire.
Je haussai les épaules. « On verra ça après les fêtes. »
« Ne me dis pas que ton travail t’en veut pour avoir pris ton week-end ? » demanda-t-il en commandant une eau gazeuse au bar.
Je ris sans joie. « N’en parlons pas. » Je regardai sa boisson. « Pas de bière ? »
« Je suis le chauffeur désigné ce soir, » dit-il avec un clin d’œil. « Donc si tu as besoin d’un lift pour rentrer, je peux te l’offrir. » Paul tendit la main vers moi et je le regardai avec des sourcils haussés. « Mais pour l’instant, je peux te distraire. »
Hésitante, je regardai sa main. Normalement, je n’aurais pas pris sa main, mais normalement, je ne serais pas non plus à une fête. « Et tes amis ? » Je fis un signe vers le groupe de personnes d’où il venait.
« Je suis sûr qu’ils sont déjà experts en distraction, » répondit Paul sur un ton taquin.
Vers la piste de danse
Je jetai un dernier coup d’œil vers l’endroit où Émilie avait disparu. Je ne pouvais pas non plus rester collée à elle toute la soirée. C’était aussi sa fête après tout. Sans y réfléchir davantage (ce que je faisais déjà trop), je mis ma main dans la sienne. Sa main était grande et chaude et ses doigts se refermèrent immédiatement autour des miens.
Paul m’entraîna vers la piste de danse où il se tourna et me tira contre lui. Presque par automatisme, je mis mes bras autour de son cou et il posa ses mains sur mes hanches. « Pourquoi cela ne m’étonne-t-il pas que tu te proposes comme distraction? » dis-je en approchant ma bouche de son oreille.
Il se pencha un peu plus vers moi et dit, « Quelqu’un doit bien te l’apprendre, Chloé. »
Une tension palpable
Je regardai autour de nous les autres personnes sur la piste de danse. Tout le monde riait, dansait et parlait, profitant du moment. La musique était bonne. L’ambiance était fantastique. Et je sentais la tension quitter mon corps petit à petit. Paul bougeait sans effort au rythme de la musique et il était facile de se laisser entraîner par ses mouvements.
La soirée avançait. La tension entre nous grandissait, mais au lieu de m’en inquiéter, c’était presque libérateur. La musique passa à un morceau plus lent. Je pensais que nous allions prendre un verre, mais Paul me tira encore plus près de lui. Je resserrai mes bras autour de son cou et pressai tout mon corps contre le sien.
Les caresses de Paul étaient douces, mais présentes. Une de ses mains reposait toujours sur ma hanche. Il la serrait fermement et la massait brièvement de temps en temps. D’autres nœuds de tension se défirent. Son autre main était posée sur le bas de mon dos pour me pousser contre lui. Ses doigts traçaient de légères caresses le long de ma colonne vertébrale. Des frissons parcouraient ma peau, mais il ne faisait pas froid ici.
« Dis-moi, Chloé, » dit-il doucement à mon oreille.
« Es-tu déjà distraite ? »
Ma respiration s’accéléra à cette question intime et je répondis, « Tu es sur la bonne voie. »
Paul se pencha un peu en arrière pour me regarder. Ses yeux glissèrent brièvement vers mes lèvres, puis il me regarda à nouveau dans les yeux avec une lueur espiègle. Il laissa sa main glisser de mon dos à ma hanche et me tira encore plus fermement contre lui. Une tension électrique emplit le peu d’espace qu’il restait entre nous.
« As-tu des suggestions sur la façon dont je pourrais te distraire encore mieux ? » demanda-t-il avec un sourire.
« Je pensais que tu étais l’expert, » répondis-je en lui renvoyant un sourire séducteur. Je regardai brièvement ses lèvres pleines, puis de nouveau dans ses yeux, et haussai un sourcil.
Il rapprocha son visage du mien. « Tant que tu le sais. » Et il se rapprocha encore un peu. Nos lèvres étaient à quelques millimètres l’une de l’autre. Son souffle chaud effleurait mon visage et ses yeux cherchaient la permission.
Je franchis la dernière distance. Je fermai les yeux et pressai mes lèvres contre les siennes. Paul m’embrassa en retour et rendit le baiser plus profond. Nous nous perdîmes dans un baiser passionné au milieu de la piste de danse. Tous les autres disparurent autour de nous et la musique semblait s’estomper.
Je ne savais pas combien de temps cela dura. Une étincelle s’était allumée, impossible à ignorer. À bout de souffle, nous rompîmes le baiser et tout ce que je voulais, c’était plus.
Paul sourit et une promesse scintillait dans ses yeux. Une promesse de plus.
Près du sapin de Noël
Quand la fête de Noël prit fin, les derniers invités se dirent au revoir et je montai dans la voiture de Paul avec quelques autres personnes. L’ambiance était très conviviale et, un par un, chacun fut déposé et Paul attendit que tous soient rentrés chez eux. J’étais la dernière et je tapai mon adresse dans le GPS.
Il régnait un silence agréable, avec une musique douce en fond sonore, mais ce n’était pas gênant. Je cherchais un bon prétexte pour que mon appartement soit sa destination finale plutôt qu’il ne rentre chez lui après m’avoir déposée.
Paul changea de vitesse et posa sa main sur mon genou. « À quoi penses-tu ? » Son pouce faisait des cercles sur ma peau et sa main glissa doucement vers l’intérieur de ma cuisse.
Je pouvais être honnête. « Comment t’inviter à entrer tout à l’heure. » Je regardai l’écran du GPS et vis qu’il ne restait que cinq minutes avant notre arrivée.
« J’ai une suggestion, » dit Paul d’un ton taquin qui attira mon regard vers lui. « Que dirais-tu de : veux-tu prendre un dernier verre chez moi ? »
Un dernier verre
Je lui rendis son sourire.
« Veux-tu prendre un dernier verre chez moi, Paul ?
— Avec plaisir, » dit-il avec un clin d’œil. Sa main chaude resta en place.
Une fois arrivés, je nous fis entrer chez moi. « Bienvenue, fais comme chez toi. » Je retirai mes talons et me dirigeai vers la cuisine. « Un verre de vin ? »
« Volontiers, » dit Paul qui se plaça à côté de moi au comptoir. Je versai un verre pour chacun et lui tendis le sien. « À la distraction, » sourit-il. « À la distraction, » répétai-je. Nous nous dirigeâmes vers le salon, nous tenant près de la table, à côté du sapin de Noël.
Je pris une gorgée, posai mon verre et examinai Paul de la tête aux pieds. Dès qu’il posa son verre, je lui pris la main. Mon regard suffit pour qu’il m’enlace et m’embrasse passionnément.
Une soirée qui se réchauffe
Je glissai mes doigts dans ses cheveux et pressai mon corps contre le sien. Ses bras m’entouraient, mais bientôt, ils commencèrent à explorer mon corps par-dessus ma robe à paillettes. Les courbes de mes seins. Mon dos. Mes fesses qu’il saisit fermement pour me serrer contre lui, me faisant sentir sa bosse dure contre mon ventre. Ses doigts trouvèrent le bas de ma robe et la remontèrent jusqu’à ma taille.
« Tu es magnifique, » murmura-t-il contre mes lèvres avant de descendre vers mon cou. Ses doigts effleurèrent mes hanches nues, mes cuisses, et enfin doucement par-dessus ma culotte en dentelle. Il y avait à peine de la friction, mais un doux gémissement s’échappa de ma gorge. Ses lèvres atteignirent mon épaule tandis que sa main glissait dans ma culotte. Il découvrit rapidement à quel point j’étais excitée. « Chloé, » dit-il simplement d’une voix grave avant de m’embrasser passionnément. Ses doigts se mirent en mouvement et je gémis contre ses lèvres.
« Je te veux, » grogna Paul alors que ses doigts traçaient des cercles rythmés sur mon clitoris.
Lui souriant, je me détachai de lui et lui tournai le dos. Je posai mes mains contre le mur près du sapin de Noël et arquai mes hanches vers l’arrière. J’entendis sa ceinture se détacher et la fermeture éclair de son pantalon se baisser. Ses doigts effleurèrent à nouveau ma vulve tout entière avant de glisser en moi. Je cambrerai mon dos. « Arrête de me faire languir, » gémis-je.
Il écarta ma culotte et se plaça derrière moi. Lentement, il s’inséra en moi. Après trois ou quatre va-et-vient lents, il accéléra le rythme. Il saisit mes hanches et me prit sauvagement.
Viens pour moi
Je gémis et laissai une de mes mains descendre vers mon clitoris. Je me stimulai comme je l’aimais, construisant à nouveau l’orgasme qu’il avait si bien initié.
« Viens pour moi, Chloé, » haleta Paul en tirant mes hanches vers lui à chaque coup pour aller encore plus profond.
Je continuai à stimuler mon clitoris et lorsqu’il atteignit le point le plus profond, touchant un endroit dont j’ignorais qu’il pouvait procurer autant de plaisir, je jouis en vagues pulsatiles.
« Putain, Chloé, je te sens jouir, » dit Paul en se retirant, me retournant et me soulevant sur la table de la salle à manger. Il ne me laissa pas le temps de reprendre mon souffle. Il retira ma culotte, écarta mes jambes et s’inséra à nouveau en moi. J’enroulai mes bras autour de lui et m’accrochai à lui comme à une bouée de sauvetage tandis qu’il retrouvait son rythme. Il m’embrassa fougueusement. Ses coups devinrent irréguliers et, avec un gémissement, il jouit.
Il posa son front contre le mien. « Je pense que je vais te déballer sous le sapin, » dit-il avec un sourire en coin. Il me souleva dans ses bras et me posa sur le tapis près du sapin. « Que dirais-tu d’un cours intensif de distraction ce week-end ? »
Distraite tout le weekend
« J’ai tout mon temps, » répondis-je avec un sourire. « Commence dès maintenant. »
Paul rit et se pencha vers moi pour un long baiser langoureux. Ses mains explorèrent à nouveau mon corps, cette fois avec plus de patience et d’attention. Il commença par mes épaules, laissant ses doigts glisser le long de mes bras, caressant mes hanches et descendant vers mes cuisses. Ma respiration s’accéléra tandis qu’il explorait chaque centimètre de ma peau. C’était comme s’il voulait découvrir chaque partie de moi.
Il me regarda avec un désir ardent et commença à tirer lentement ma culotte en dentelle vers le bas. Ses yeux parcouraient mon corps, comme s’il voulait mémoriser chaque détail. « Tu es si belle, Chloé, » murmura-t-il en posant ses lèvres sur mon ventre, y déposant de doux baisers.
Ses baisers descendirent de plus en plus bas, jusqu’à ce qu’il atteigne mes zones les plus sensibles. Il me regarda une dernière fois dans les yeux avant de baisser la tête et de commencer à me lécher avec sa langue. Une vague de plaisir m’envahit et je gémis fort, incapable de contenir mes émotions.
Paul continua, sa langue traçant des cercles et appuyant sur les bons endroits. Tout mon corps tremblait d’excitation et je sentis l’orgasme approcher. « Paul… je vais jouir… » haletai-je.
Un cunnilingus intense
Chaque mouvement était calculé, chaque pression parfaitement dosée, me laissant haletante. Ses lèvres se posèrent délicatement autour de mon point le plus sensible, et sa langue entreprit de le caresser avec une précision troublante.
Je sentais chaque ondulation, chaque frisson qu’il me faisait parcourir, sa bouche explorant mes envies les plus profondes. Ses mains s’accrochèrent fermement à mes hanches, m’empêchant de m’échapper, alors que je me cambrais sous la vague montante de plaisir. Par moments, il ralentissait, savourant mes réactions, avant de revenir avec une intensité qui me faisait presque perdre pied.
Entre chaque coup de langue, il déposait des baisers humides, comme pour me rappeler qu’il prenait autant de plaisir à me donner que moi à recevoir. Mon souffle devint saccadé, mes doigts s’enfonçant dans ses cheveux, guidant ses mouvements là où j’en avais besoin. Le monde autour de moi s’effaça, laissant place à cette connexion brute et enivrante, où chaque sensation me rapprochait un peu plus de l’extase.
Découverte du plug anal
Il caressa lentement mon anus du bout d’un doigt, explorant avec une douceur infinie. « J’ai très envie de te donner encore plus de plaisir avec ce plug… » murmura-t-il, sa voix chargée d’un désir presque palpable. À la vue du petit plug anal qu’il me tendait, je hochai la tête, un mélange d’excitation et de curiosité m’envahissant.
Je sentais une onde de chaleur parcourir mon corps, mêlée à l’anticipation de ce qui allait suivre. Avec une délicatesse maîtrisée, il appliqua une généreuse quantité de lubrifiant, ses gestes à la fois sûrs et attentionnés. D’un mouvement lent et précis, il introduisit le plug, son regard fixé sur le mien pour s’assurer que tout allait bien.
Un frisson me traversa tandis que la sensation inédite s’intensifiait. Mon souffle se fit plus rapide, chaque mouvement de son doigt, chaque ajustement du plug amplifiant mon plaisir. « Tu es magnifique comme ça », murmura-t-il avant de m’embrasser passionnément, ses mains parcourant mon corps avec une nouvelle intensité. Le jeu ne faisait que commencer, et je savais qu’il avait encore bien des surprises à me faire découvrir.
« Viens pour moi, Chloé. »
Ses mots suffirent à me faire basculer. Mon corps se contracta et je criai de plaisir en atteignant l’apogée. Paul me tint fermement tandis que les vagues de jouissance me traversaient.
Lorsque je repris enfin mon souffle, il me regarda avec un sourire satisfait. « Tu vois, la distraction te fait du bien, » plaisanta-t-il en se couchant à côté de moi et me serrant dans ses bras.
Je ris doucement et me blottis contre lui. « Tu as raison. Peut-être devrais-je te demander de me distraire plus souvent. »
« Aucun problème pour moi, » répondit-il avec un clin d’œil. Nous restâmes ainsi encore un moment, profitant de la compagnie de l’autre et de l’atmosphère paisible de la nuit de Noël.
Ce week-end avec Paul était exactement ce dont j’avais besoin. Il m’avait aidée à échapper au stress et à la pression de mon travail, et m’avait montré l’importance de lâcher prise et de profiter du moment. Et bien que je ne l’appréciais pas au début, j’avais découvert une nouvelle facette de lui que je n’avais pas anticipée.
Tandis que je restais blottie dans ses bras, je me sentais heureuse et comblée. Peut-être que c’était le début de quelque chose de nouveau, quelque chose d’excitant et d’imprévisible. Mais pour l’instant, j’étais contente de vivre ce moment et de sentir la chaleur de son corps contre le mien.
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1 réponse
Délicieux récits bien emmené avec des surpises d’audaces bienvenues qui font de cette aventure une petite leçon de séduction charmante
j’aimerais échanger avec l’auteur