Laissez-vous emporter par cette histoire érotique aussi brûlante qu’imprévue entre Ulysse et Louis. Tout commence avec la fête de la musique, des corps qui se cherchent sur une piste à ciel ouvert… jusqu’à cette ruelle discrète, où les pulsations de la ville deviennent le rythme de leur plaisir. Une parenthèse fiévreuse à savourer sans attendre.
Une nuit enfiévrée
La fête de la musique. Rien que l’idée faisait vibrer tout le corps d’Ulysse. C’était son jour préféré, le jour le plus long de l’année, le solstice d’été.
L’air était chaud. La ville entière semblait respirer au rythme des enceintes installées à chaque coin de rue. Louis et lui avaient décidé de s’y rendre ensemble, pour danser, bouger et rire. Et peut-être, voir où la nuit les mènerait comme d’habitude.
Ulysse avait enfilé une chemise légère, ouverte sur son torse luisant de chaleur. Louis portait un débardeur noir, moulant. Ils formaient un beau couple, on leur disait souvent. Leur complicité se voyait dans leurs regards, dans leurs mouvements synchronisés. Ils dansaient comme des fous. Les basses faisaient vibrer leurs torses, et leurs corps se cherchaient, se touchaient, se collaient au rythme effréné de la techno. Personne ne semblait les remarquer. Ou alors, tout le monde s’en fichait. Ce soir, tout le monde brillait.
Des corps qui s’accordent
Ulysse riait fort, les bras levés, les yeux fermés. Louis se rapprocha encore, collant son bassin au sien. Leurs hanches se frottaient avec une telle intensité qu’Ulysse sentit son souffle s’accélérer. Les mains de Louis glissèrent dans le dos d’Ulysse, puis plus bas, effleurant ses fesses par-dessus son jean. Ulysse ne dit rien. Il se laissa faire, il adorait le contact avec son bien-aimé. Il poussa même légèrement son bassin en avant, pour que leurs sexes se pressent discrètement l’un contre l’autre.
Autour d’eux, le monde battait la mesure. Mais dans leur bulle, tout devenait plus lent, plus chaud, plus flou. Ils dansaient, s’excitaient, s’abandonnaient déjà. Louis lui murmura quelque chose à l’oreille, trop vite pour qu’Ulysse comprenne.
Puis il attrapa sa main, sans rien ajouter, et l’entraîna hors de la foule. Ulysse le suivit, sans poser de question. Il savait que la soirée ne faisait que commencer.
Dans le secret d’une ruelle
Ils quittèrent la grande place et traversèrent quelques rues pavées. La musique résonnait encore au loin, étouffée, comme un battement de cœur qui ne voulait pas s’arrêter.
Louis s’arrêta net, dans une ruelle étroite, presque invisible depuis la rue principale. Les lampadaires étaient rares, la pierre était tiède, et un léger vent faisait frémir les feuilles au-dessus de leurs têtes.
Ulysse se retourna pour lui faire face. Le regard de Louis brûlait. Il s’approcha, plaça ses mains sur ses hanches et l’embrassa à pleine bouche. Le baiser fut d’abord tendre, presque doux. Puis il devint plus urgent, plus brut. Leurs langues se mêlèrent avec avidité. Leurs souffles se heurtaient.
Louis fit reculer Ulysse contre le mur en pierre. Il le plaqua doucement, ses mains passant sous la chemise, caressant chaque parcelle de peau. Ulysse frissonna. Il était déjà dur.
« Tu veux ça ici ? », souffla-t-il entre deux baisers. Louis hocha la tête, sans hésiter.
« Ici, maintenant, contre ce mur. J’ai envie de te prendre fort. »
Le rythme du plaisir
Ulysse se cambra légèrement pour offrir son bassin. Louis déboutonna son pantalon avec agilité, sans jamais détacher ses lèvres des siennes. Le tissu glissa sur ses cuisses. Sa main se referma sur le sexe tendu d’Ulysse, le caressa avec fermeté. Ulysse gémit, étouffant le son dans son épaule.
La musique au loin dictait leur cadence. Une rythmique lente et sensuelle, presque tribale. Louis glissa deux doigts dans sa bouche, les humecta, puis les laissa descendre entre les fesses d’Ulysse, jusqu’à son intimité déjà réceptive. Il joua avec précaution, lubrifiant, stimulant, ouvrant peu à peu la voie.
Ulysse agrippa le mur, les bras tendus. Chaque nerf était en alerte. Il n’y avait plus que Louis. Sa bouche. Ses mains. Et bientôt, son sexe.
Louis se positionna derrière lui. Il se frotta d’abord, laissant la tête de sa verge glisser entre les fesses, sans le pénétrer. Juste pour faire monter le feu. Puis il poussa lentement, centimètre par centimètre, sans jamais forcer. Ulysse haleta, le dos cambré, les lèvres entrouvertes. Louis avait une verge imposante et se faire pénétrer par un membre si large était toujours un plaisir exceptionnel pour Louis.
Fusion au clair de lune
Leur union fut lente, profonde, dans cette petite ruelle de la ville. Louis allait et venait avec régularité mais force, ses mains posées sur les hanches d’Ulysse, le guidant, le tenant. Le corps d’Ulysse vibrait, tendu vers chaque mouvement, chaque poussée qui le rapprochait un peu plus de l’extase.
Louis embrassait sa nuque, mordillait son oreille, susurrait des mots obscènes à son oreille. Il lui disait comme il était beau, comme il était chaud, comme il avait rêvé de ça depuis des semaines. Ulysse faisait de son mieux pour retenir des gémissements de plaisir.
« Tu es ma pute à moi. T’aime ça hein, te faire prendre en pleine rue par une bite énorme… »
Ulysse ne pouvait pas répondre. C’était vrai. Il adorait se faire défoncer en extérieur.
Leurs souffles se mêlaient aux bruissements de la ville nocturne. Ulysse ne contrôlait plus rien. Il se laissait faire, complètement offert. Ses doigts glissaient sur le mur, son dos luisait de sueur, son sexe battait au rythme des coups de reins.
Jouir entre ses mains
Louis accéléra légèrement, sentant les muscles d’Ulysse se tendre sous ses mains. Son souffle devenait plus saccadé, son corps tout entier réclamait plus. Alors, tout en continuant ses va-et-vient puissants, il glissa une main entre ses cuisses, attrapa son sexe chaud et palpitant, et commença à le masturber.
Ses doigts s’enroulèrent autour de lui avec fermeté, sa paume suivant le même rythme que ses coups de reins. Il le sentit réagir aussitôt : le bassin d’Ulysse se cambra, sa respiration se fit haletante, rauque. Louis accéléra encore, alternant pressions lentes et caresses plus rapides sur son gland, déjà humide. Le plaisir montait vite, un peu trop vite peut-être.
Ulysse gémit plus fort, incapable de contenir les vagues de plaisir qui le submergeaient. Ses jambes tremblaient, son dos se cambra brusquement et, dans un râle déchiré, il jouit de toutes ses forces contre la main de Louis. Des jets chauds vinrent éclabousser une partie du mur, tandis que son corps tout entier se contractait sous l’orgasme.
Louis resta en lui jusqu’au bout, le tenant fermement par les hanches, encore ancré, encore vibrant. Il sentait le corps d’Ulysse se détendre peu à peu contre le sien, ses soupirs s’apaiser, sa peau frissonner. Autour d’eux, la ruelle était silencieuse.
Quelques secondes plus tard, Louis jouit à son tour, dans un soupir, contre son dos, les yeux fermés, les jambes tremblantes.
Silence, chaleur et lendemain
Ils restèrent là, immobiles, encore haletants, le front contre le mur, les bras noués. Le silence retomba doucement. Puis ils rirent. Un rire discret, complice, libéré. Louis se retira doucement, l’embrassa dans le cou, puis l’aida à se rhabiller. Main dans la main, ils quittèrent la ruelle. La musique était plus lointaine, mais elle résonnait encore en eux. Ulysse jeta un dernier regard par-dessus son épaule, vers l’endroit exact où il venait de jouir sous les étoiles.
Et il sourit. Parfois, il suffit d’un soir d’été et d’une ruelle oubliée pour se sentir vivre, pensa t’il.
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