Envie d’une histoire érotique au goût d’été, de liberté et de flirt brûlant sous les projecteurs ? Dans Festival, tout commence sur une scène de musique, une caravane garée sur un champ de terre et un regard échangé dans la foule. Le personnage principal y rencontre une femme aussi magnétique que mystérieuse, et chaque nouvelle rencontre fait monter la tension. Serez-vous prêts à vivre ce crescendo charnel jusqu’au dernier morceau ?
Tout semble possible l’été. Et encore plus avec le retour des festivals d’été que j’affectionne particulièrement. J’ai envie de musique, d’ambiance, de monde ; j’ai envie de danser.
Jour 1
Caravane accrochée, je pars à temps pour profiter de tous les gens qui arrivent sur le terrain et de cette atmosphère si particulière des festivals.
Une fois arrivé et la caravane installée, je prends le temps de m’imprégner de l’ambiance. L’air sent la poussière chaude, la bière fraîche et l’impatience collective. J’ouvre une première canette en laissant la tension retomber, puis je file vers le site du festival. La musique résonne déjà dans le sol, les basses battent à travers mes semelles, et le soleil dore les visages.
Je découvre rapidement mes repères : une scène latérale avec un bon son, un coin d’ombre près d’un foodtruck, et un petit espace dégagé près du bar.
C’est là que je te vois.
Tu arrives entourée d’amis, solaire, pleine d’énergie. Ton rire perce le vacarme ambiant, et quand nos regards se croisent, je ressens une décharge. Pas juste un sourire poli, non. Quelque chose de magnétique. Tu t’approches du comptoir, ton bras effleure le mien, et la conversation commence comme si elle avait toujours existé. C’est fluide, instinctif. Et pourtant, derrière les mots légers, je sens déjà une tension sous-jacente. Un désir diffus, pas encore nommé, mais vibrant. Je lutte pour ne pas te dévorer du regard.
Après un moment, je m’éclipse vers une autre scène. J’essaie de me convaincre que ce n’était qu’une parenthèse fugace, une de ces belles rencontres qu’on croise et qu’on oublie. Mais le destin en décide autrement : quelques heures plus tard, au détour d’un autre concert, je te retrouve.
Cette fois, on reste.
La musique monte, nos corps se rapprochent. On danse sans se toucher, mais je ressens chaque vibration de toi. Ta proximité me rend presque fébrile. La discussion reprend comme si elle n’avait jamais été interrompue. Moins de banalités, plus de confidences. Nos regards s’attardent, nos sourires se lisent dans l’obscurité. Cette fois, la tension est plus forte. Elle me chauffe le bas du ventre, s’imprime dans ma peau.
Mais la soirée file trop vite. Le dernier morceau s’achève, les lumières s’éteignent. On retourne au camping, un peu grisés. On partage un dernier verre sous les étoiles, nos jambes effleurées, nos rires plus bas. Puis, comme si on n’osait pas encore franchir cette ligne, on se souhaite bonne nuit. Chacun dans son coin. Pour l’instant.
Jour 2
Le lendemain matin, je me réveille doucement. Je prends un petit-déjeuner, une bonne douche rafraîchissante. Puis vers midi, festival oblige, une nouvelle bière au camping en attendant l’ouverture du site.
Comme si c’était écrit, je te recroise dès le premier concert du lendemain. Tu me lances un petit « salut » rapide, presque distrait, et tu poursuis ton chemin. Moi aussi. Mais je sens encore ton regard sur ma nuque, comme un fil invisible entre nous.
Plus tard dans la soirée, nos pas se recroisent une fois de plus. Cette fois, on ne se contente pas d’un signe de tête. La conversation reprend, presque naturellement, comme si la nuit précédente n’avait été qu’une parenthèse. Il y a quelque chose de différent dans ton regard. Plus direct, plus chargé. On parle de musique, puis d’envies. Nos mots se frôlent, nos intentions aussi.
Devant la scène, la foule ondule, les basses vibrent jusque dans ma poitrine. Tu danses juste devant moi, et à chaque mouvement, ton corps se rapproche un peu plus du mien. Ton dos contre mon torse, tes fesses frôlent les miennes. Au début, je me dis que ce n’est peut-être rien. Un pur hasard de la foule. Mais quand tu recommences, plus lentement, plus consciemment, je comprends.
Tu sais ce que tu fais.
Mon excitation grimpe. Mes pensées s’embrasent. Mes mains trouvent naturellement leur place autour de ton ventre. Je me retiens de les glisser plus bas. Je pourrais. J’en meurs d’envie. Mais je reste là, dans cette tension. Mes hanches avancent doucement, assez pour que tu sentes l’effet que tu me fais.
« Tu me rends fou comme ça », je te murmure à l’oreille.
Tu tournes la tête vers moi, ton regard est brûlant, presque insolent. Et ce simple échange suffit à me faire vibrer plus fort que la musique. Je caresse encore quelques fois l’intérieur de tes jambes, tu te retournes à nouveau, je hoche la tête.
Et il n’en faut pas plus.
Rapidement, nous nous dirigeons vers le camping et le monde autour de nous disparaît. J’ouvre la caravane, entre à l’intérieur, et lorsque tu me suis, je me laisse tomber sur le lit. Tu t’assieds sur moi, fermes la porte derrière toi et laisses le haut de ton corps se pencher au-dessus du mien.
Le premier baiser passionné suit, et toute la tension accumulée explose alors que nos langues se cherchent comme deux adolescents amoureux. Tu prends l’initiative et guides mes mains vers tes seins. Je masse tes magnifiques seins pendant que tu bouges ton bassin contre mon bas-ventre. Un gémissement s’échappe de tes lèvres tandis que tu continues à onduler contre moi. Tu te redresses, et tout en continuant à bouger tes hanches, tu enlèves ton haut. Puis tu amènes tes mains dans ton dos, défais l’agrafe, et fais lentement glisser ton soutien-gorge de tes seins.
Je profite pleinement de cette magnifique vue pendant que je me redresse aussi pour m’asseoir. Tu m’enlèves mon t-shirt et, tandis que je recommence à t’embrasser avec fougue, tu replaces mes mains sur ta poitrine. Je serre un peu plus fort. Je gémis, emporté par cette sensation exquise.
Puis tu te lèves, tu enlèves mon pantalon et mon caleçon d’un seul coup et tu te mets à genoux devant le lit.
Tu saisis immédiatement ma bite bien dure.
En me regardant, tu commences à me branler. L’excitation se dissipe lorsque tu avances la tête et que je sens tes dents autour de mes tétons. Tu les mords doucement tout en continuant à me branler.
Je ferme les yeux de plaisir et je sens que tu descends plus bas en m’embrassant. Je sens bientôt tes lèvres entourer ma bite. Tu utilises tes mains comme une extension de ta bouche, jouant avec le rythme, la pression et la profondeur. Je pose mes mains sur ta tête et j’exerce une pression supplémentaire avec mes hanches tandis que tu m’introduis à nouveau plus profondément dans ta bouche. Je sens que l’orgasme monte et je commence à grogner doucement de plaisir.
Mais tu t’arrêtes, tu te lèves et, debout devant moi, tu baisses ton pantalon et ta culotte, puis tu me pousses en arrière sur le lit. Tu te mets à quatre pattes et tu poses tes deux genoux à gauche et à droite de ma tête. Ensuite, tu te baisses légèrement, tu t’appuies sur ma tête.
Je n’ai d’autre choix que de te donner un coup de langue.
Je pose mes mains sur tes fesses et je les masse, en accélérant et en ralentissant, en mettant plus puis moins de pression avec ma langue. C’est merveilleux de te goûter et de t’entendre gémir comme ça, alors que tu te positionnes de façon à ce que je touche juste ces endroits. Ta respiration s’accélère, mais à temps, tu lèves à nouveau les hanches. Tu te taquines, ne voulant manifestement pas encore jouir. E tu rampes maintenant vers le bas, saisissant fermement ma bite. Tu attrapes un préservatif et la laisse glisser lentement en toi. Quelle sensation merveilleuse !
Tu chevauches ma queue, tu donnes le rythme et tu saisis mes mains pour les poser sur tes seins. Je pince bientôt tes mamelons un peu plus fort, ce qui te pousse à me chevaucher de plus en plus vite et de plus en plus violemment. Tes doigts ont bientôt retrouvé mes mamelons, les prenant entre le pouce et l’index et les pressant fortement. En réponse, j’ouvre les yeux et je te regarde droit dans les yeux. L’excitation est visible dans ton regard.
Cela ne fait que m’exciter davantage.
Je laisse mes mains descendre jusqu’à tes hanches et je pose une main sur tes délicieuses fesses tandis que je commence à pousser de plus en plus violemment et de plus en plus vite. J’avance l’autre main et j’appuie doucement sur ton clito avec mon pouce. Tu accélères encore le rythme et je sens bientôt venir un autre orgasme. Alors que j’augmente la pression avec mon pouce, ta respiration s’accélère en même temps que la mienne. Je pousse maintenant aussi fort que je peux et quand tu jouis, tu gémis si fort que les gens à l’extérieur de la caravane devraient l’entendre.
Le resserrement de tes muscles me fait jouir à mon tour et je pousse un grognement profond et animal tandis que tu presses à nouveau mes mamelons.
Puis tu te penches et me serres dans tes bras, nous nous embrassons à nouveau tranquillement et nous nous remettons de toute cette tension accumulée. Au bout d’un moment, tu regardes l’heure, tu me dis que tu dois rentrer chez toi et tu t’habilles avec une lenteur atroce.
« A demain », dis-tu en sortant de la caravane et en me faisant un clin d’œil.
Qu’avez-vous pensé de cette histoire érotique ? Si vous êtes bien excités et en voulez encore, le magazine déborde d’histoires érotiques bien chaudes…