C’est cette période de l’année : le stress de Noël au bureau est de retour. Même si le télétravail reste la norme, impossible d’y échapper pendant cette période ultra chargée. Je me rends donc au bureau tous les jours, emmitouflée contre le froid… mais avec une petite surprise sous mes vêtements. Une lingerie qui me donne confiance et éveille discrètement mon désir pour un collègue qui me rend folle intérieurement.
Derrière l’ordinateur
Je travaille dans une agence de relations publiques ultra branchée où personne n’a de poste attitré. En tant que manager, je dispose d’un bureau privé à cet étage, baigné par la lumière des grandes baies vitrées.
À travers les baies vitrées, j’aperçois quelques collègues arriver. Ils ne sont que quatre aujourd’hui, fidèle au télétravail qui reste la norme autant que possible.
Tous les deux
Martin, ce collègue qui me fait chavirer, s’installe juste en face de moi. Le fait-il exprès… ou est-ce mon imagination qui s’emballe ? Il me salue d’un geste de la main et, un peu trop enthousiaste, je lui réponds. Oups. Adieu ma posture sérieuse.
Nous devons faire une présentation à la presse ensemble cet après-midi, alors nous voilà tous les deux au bureau. L’envie de me rapprocher de lui est palpable, mais le flot incessant de travail me rattrape : le téléphone sonne, ma messagerie déborde, et tous nos clients veulent leurs cadeaux à temps pour Noël. Je passe d’une réunion à l’autre, jetant des coups d’œil furtifs vers Martin, qui, à chaque fois, détourne rapidement le regard.
« C’est pas très chaleureux ici »
Pendant le déjeuner, nous prenons place, chacun respectant une distance confortable. « Franchement, c’est pas très chaleureux ici », lance ma collègue Lola. Je la regarde, un sourcil levé ; ce n’est pas vraiment le genre de remarque à faire devant tout le monde.
« Je parle de l’ambiance, hein », dit-elle en rougissant. « Il n’y a vraiment aucune touche de Noël ici : pas de sapin, pas de guirlandes, pas de musique…»
Elle n’a pas tort. Le faux plafond blanc et froid ne respire clairement pas la convivialité, et la pièce manque cruellement de chaleur festive.
Et pourtant, nous sommes normalement connus pour nos fêtes de Noël extravagantes pour nos clients. Les blogueurs, les influenceurs et la presse y sont invités, et ils repartent comblés avec des boissons, de la nourriture et un sac de goodies bien garni. « Je pense que nous avons encore des décorations de Noël en stock de notre dernière fête de Noël », rétorqua un autre collègue. « Oui, c’est vrai », s’exclama joyeusement Lola. « Et si on créait une petite ambiance de Noël ? » Je lui réponds que c’est une bonne idée, tant que ça ne prend pas trop de temps.
La porte est entrouverte
Alors que Lola part chercher les décorations de Noël, je me replonge dans mon travail. À 14h, j’ai un rendez-vous avec Martin, mais il n’est pas à son poste. Ça fait un moment qu’il a disparu, mais je ne m’en rends compte que maintenant. Peut-être est-il en train d’aider à installer les décorations, me dis-je en descendant vers l’entrepôt.
Nous devons absolument tenir cette réunion pour que je puisse contacter mon client dans la journée. L’entrepôt, situé un étage plus bas, est vaste, avec tous nos échantillons de presse rangés dans des casiers et une grande table au centre où ils sont exposés.
En descendant, j’entends un bruit étrange. C’est comme si on déplaçait une table d’avant en arrière. En m’approchant de la porte, je vois qu’elle est entrouverte. « Mais, ce n’est pas possible ? Cela n’arrive que dans les films », pensais-je en découvrant Lola penchée sur la table en train de se faire pénétrée par Martin. Ils me tournent le dos et je n’en crois pas mes yeux. J’observe ses fesses, avant de me rendre compte que j’étais en train de fixer mes collègues en plein ébat.
« Je pose délicatement ma main sur ses fesses »
Une excitation intense me traverse le bas-ventre et je commence à mouiller. Je suis jalouse. C’est alors que je prends la décision la plus audacieuse et la plus excitante que j’aie jamais prise : j’entre discrètement dans la pièce et je pose ma main sur les fesses nues de Martin. Il tourne la tête d’un coup sec, son pénis est toujours dans Lola. « C’est excitant », leur dis-je. « Continuez. » Martin n’en revient pas et Lola se redresse. Nus, ils se tiennent devant moi.
Martin dans toute sa gloire, avec son pénis raide luisant avec l’humidité de Lola. Mais c’est Lola qui attire encore plus mon attention. Sa peau douce, ses seins parfaits et ses mamelons roses et durs ne demandent qu’à être embrassés. Avant de réaliser ce que j’étais en train de faire, je me suis penchée vers ses tétons. Je saisis un sein avec ma main, léchant le téton de son autre sein. Je prends son téton dur dans ma bouche et fais des rotations avec ma langue. Puis, je pétris une de ses fesses avec ma main libre et attire le bas de son corps contre moi. Lola soupire de plaisir et Martin semble se remettre du choc.
« Il baisse mon pantalon pendant que Lola retire mon t-shirt »
Alors que Lola est toujours debout devant moi et que je me penche pour embrasser son autre sein, je sens les mains de Martin sur mes hanches. Son érection se presse contre mon jean. Pas pour longtemps, car je me lève et le regarde par-dessus mon épaule. Il m’embrasse sauvagement et ses mains – ou celles de Lola ? – sont partout. Mes hanches sont fermement tenues, mais mes seins sont également caressés. Quand je sens que mon jean descend, je me dis : heureusement que j’ai mis cet ensemble.
Ma lingerie ne laisse rien à l’imagination. J’ai un string rouge avec l’entrejambe ouvert et un soutien-gorge avec les bonnets également ouverts. « C’est excitant », chuchote Martin, en glissant ses doigts dans ma vulve trempée alors que son pénis se presse à nouveau contre moi. « C’est Noël, n’est-ce pas », dis-je en faisant référence à la couleur rouge de la décoration. Lola m’embrasse, jouant avec mes tétons de ses mains. « Tu es plus excitée que je ne le pensais », dit-elle. « Je m’en doutais », répondit Martin, en faisant un clin d’œil.
« Avec un gémissement, il jouit en moi »
Cette situation est étrange. Devrions-nous continuer, pensais-je, tandis que Martin caresse mon clitoris. Il continue à presser son pénis contre mes fesses : un spectacle prometteur. Il est apparemment prêt à me pénétrer, car il me pousse doucement vers l’avant, tandis que je m’appuie avec mes mains sur la table où Lola était couchée tout à l’heure. Son pénis dure glisse à l’intérieur de moi et je gémis bruyamment de plaisir.
Entre-temps, Lola s’est accroupie et ouvre mes lèvres avec ses doigts. Ma première expérience avec une femme, et quelle femme. Elle suce intensément mon clitoris, tandis que Martin continue de me prendre par derrière. Ses mains tirent mes cheveux et mes tétons. Son attitude dominante me rend incroyablement excitée. Je sens qu’il est à la limite, car ses va-et-vient sont de plus en plus forts. Avec un gémissement, il jouit en moi. A mon tour, je suis prise d’un orgasme incroyablement intense.
« Quelle femme ! »
Je regarde Lola avec un air troublé : quelle femme ! Je l’embrasse, en goûtant ma propre humidité. Mes mains glissent sur son corps doux pendant que Martin se remet de son orgasme. Je dois la goûter. Je la repousse délicatement sur la table, sur le dos cette fois. Avec ma langue, je trace un chemin du lobe de son oreille à son cou, ses tétons durcis et je me dirige vers le bas. Jusqu’à ce que je l’atteigne enfin : sa vulve. Un endroit que je n’ai jamais vu chez une autre femme.
Elle est complètement épilée et sa peau y est plus foncée que sur le reste de son corps. Avec mes doigts, je la touche : je caresse son aine et l’extérieur de ses lèvres. Puis je la pénètre avec ma langue : prête à la lécher jusqu’à l’orgasme. Son corps tremble et lorsque je fais des rotations autour de son clitoris, elle gémit de plaisir. J’insère deux doigts dans son vagin, à la recherche de son point G. Plus rien ne peux m’arrêter. Je trouve enfin la zone spongieuse. Je continue de la stimuler, mais je commence à avoir des crampes à la mâchoire et aux doigts. C’est vraiment dommage, mais il faut que j’arrête. Je prends Martin par la main et lui dis : « Lèche-la. »
« Je veux ça moi aussi »
Il plonge entre les jambes de Lola, tandis que je tourne mon attention vers ses seins. Ces seins parfaits : si beaux et si sexy. Alors que je suce doucement son téton, je regarde son corps se tordre de plaisir sous le visage de Martin. Avec un grand cri, Lola atteint l’orgasme. Au même moment, j’entends un bruit et quand je regarde par-dessus mon épaule, je vois que la porte est fermée. Est-ce que je l’avais fermé ? Je ne m’en souviens pas.
« On doit y aller, on va finir par nous surprendre. Vous avez trouvé les décorations de Noël ? », leur demandais-je. « Oui, de belles boules », Lola sourit. « Et puis un bien joli cadeau de Noël », dit-elle en caressant mes fesses. On s’habille, puis on apporte les boîtes de décorations dans les bureaux. Lorsque je m’assieds à nouveau à mon poste un peu plus tard, je reçois un message d’un autre collègue sur mon téléphone. Une photo, de nous trois, pendant que Martin me prend et que Lola me lèche. « Je veux ça moi aussi… » Merde ! 😮
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