Dans l’ascenseur de l’hôtel, elle croise un homme incroyablement séduisant. D’un souffle chaud, il lui murmure son numéro de chambre et l’heure où tout pourrait commencer…
Une cloche retentit. Les portes s’ouvrent dans un silence feutré. Je lève les yeux… et croise deux prunelles marron, profondes et pétillantes, fixées sur moi. Impossible de détourner mon regard. L’homme incline légèrement la tête, appuie sur le bouton du huit, puis attrape nonchalamment la rampe de l’ascenseur.
Ses yeux retrouvent les miens et je sens la chaleur me monter aux joues. Il esquisse un sourire.
— « Un petit coup de chaud ? »
Je bafouille, rouge écarlate :
— « Euh… ouais, un peu. »
Je tente de détourner la tête, sans succès. Devant moi, une beauté d’1m90, des boucles sombres qu’il ébouriffe d’un geste distrait. Sa chemise épouse parfaitement ses bras musclés, son chino laisse deviner des jambes fuselées. Et moi… je réalise soudain que je fixe sa braguette depuis bien trop longtemps. Je lève brusquement les yeux et me noie à nouveau dans son regard.
« Je réalise soudain que je fixe sa braguette depuis bien trop longtemps. »
Un arrêt. Sixième étage. Une vieille dame entre, nous salue et s’installe sur son déambulateur, face à la porte. L’homme recule d’un pas, pose une main légère sur mon épaule et se penche à mon oreille :
— « Je te trouve magnifique. Chambre 811. 23h11. »
Ping. Le huit s’allume, la porte s’ouvre. Il se faufile devant la dame, me jette un dernier regard, un clin d’œil, puis disparaît au détour du couloir.
— « Quel homme charmant ! Et il m’a même fait un clin d’œil » dit la vieille dame amusée.
Je ris nerveusement.
Quand je descends à l’étage suivant, mon esprit est en ébullition. « Chambre 811. 23h11. » La phrase tourne en boucle. Je pousse la porte de ma chambre, m’affale sur le lit. Le téléviseur affiche 22h01. Une heure pour décider. Une heure pour balancer entre la folie et la tentation. 22h35… les secondes s’égrènent. Et le fameux dicton me revient en tête : « Les folies sont les seules choses que l’on ne regrette jamais. »
« Je te trouve magnifique. Chambre 811, 23 h 11. »
Je me lève du lit de l’hôtel, ouvre le placard et en sors une robe noire sans manches, un soutien-gorge et un string assortis. Je les dépose sur le lit avant de filer sous une douche brûlante. Je dois être folle, me traverse l’esprit. Je rase soigneusement chaque parcelle de peau, puis m’enveloppe d’une serviette. Après m’être séchée, j’applique ma lotion préférée et un rouge à lèvres écarlate. Mon soutien-gorge rehausse légèrement ma poitrine : je contemple mon décolleté avec satisfaction.
23h05. La raison s’éloigne, l’excitation prend toute la place.
J’enfile la robe, jette un dernier regard au miroir, puis quitte la chambre. Dans l’ascenseur, j’appuie sur le bouton 8.
23h10. Je m’avance dans le long couloir, scrutant les numéros.
23h11. Je suis devant la porte du 811. Pendant une seconde, j’ai envie de fuir. Mais ma main frappe déjà trois coups. L’adrénaline pulse dans mes veines, mon cœur cogne à tout rompre. Je tremble dans mes escarpins noirs. Qu’est-ce que je fais ?
La porte s’ouvre. Il est là. Un sourire silencieux aux lèvres. Sa main se pose sur ma taille et, d’une pression douce mais ferme, il m’entraîne à l’intérieur.
Ses doigts glissent dans mes cheveux encore frais de la douche. Son regard balaie mon corps avec approbation avant qu’il ne me plaque contre le mur. Ses lèvres charnues s’emparent des miennes, sa langue m’enflamme. Dès le premier instant, je pourrais le dévorer. Ses mains se posent sur mes fesses, attirant mon bassin contre le sien. Ses baisers brûlants le trahissent : il est tout aussi troublé que moi.
Je quitte ses lèvres pour enfouir mon nez dans son cou. Son parfum frais m’enivre, presque comme une drogue. Nos regards se croisent à nouveau, ses yeux sombres s’embrasent. Mes jambes tremblent tant le moment est intense. Il m’arrache ma robe d’un geste vif. Dans ses prunelles, il y a désormais quelque chose de sauvage.
Je ne connais même pas son nom.
Mais qu’importe.
« Ses lèvres charnues s’emparent des miennes, sa langue m’enflamme »
Je m’assois au bord du lit de l’hôtel et l’attire vers moi. Il défait sa ceinture, mais je prends aussitôt le relais. Son boxer laisse déjà deviner une sacrée érection.
— « Oh mon Dieu… » murmure-je.
De ma main droite, je repousse le tissu tendu, tandis que la gauche caresse doucement ses couilles à travers le coton. Je relève les yeux vers lui, plantant mon regard dans le sien.
— « Tu veux la meilleure pipe de ta vie ? »
Son gémissement rauque suffit comme réponse.
Je pince les lèvres et les pose sur son gland luisant. Ma main gauche s’enroule autour de sa verge dure comme du roc, que je serre juste assez pour rendre chaque frôlement plus électrique. Mes lèvres glissent, aspirent doucement, pendant que ma langue dessine de petits cercles autour de son gland, de plus en plus larges, de plus en plus humides.
Puis j’avale davantage, sans jamais laisser mes dents effleurer sa peau. À chaque mouvement, son sexe s’enfonce un peu plus profondément dans ma bouche, jusqu’à effleurer ma gorge. Je reste suspendue là quelques secondes, prisonnière de son odeur et de sa chaleur, avant de remonter lentement, mes lèvres serrées jusqu’au bout de son gland.
Un goût puissant, presque sucré, envahit ma bouche. J’en veux encore. Mes yeux remontent vers lui.
— « Tu aimes ? »
Son souffle haletant se brise.
— « Oh… continue, s’il te plaît. »
Encouragée, je serre un peu plus ma main, le sentant glisser dans ma paume, luisant de salive. Et déjà, mon corps frémit : je brûle de le reprendre profondément, encore plus loin, jusqu’à me perdre dans cette ivresse.
« À chaque mouvement, son sexe s’enfonce un peu plus profondément dans ma bouche, jusqu’à effleurer ma gorge. »
Je m’allonge sur le lit, et laisse ma tête pendre au bord du matelas. Il se penche en avant et libère mes seins de mon soutien-gorge noir, en pinçant mes tétons. Un frisson me traverse et vient me picoter la chatte. Ma bouche entrouverte devient une invitation qu’il saisit aussitôt en s’y enfonçant. Je tends le bras pour caresser ses couilles, sans oublier la peau sensible juste derrière. Sa queue disparaît et réapparaît entre mes lèvres, ma langue joue sur sa peau, je goûte déjà son impatience. Son rythme s’accélère, ma gorge accueille chaque poussée. Les sons de ses gémissements et de mes gargouillis remplissent la pièce.
Il s’interrompt :
— « Putain, tu es trop chaude… j’y suis presque. »
Il se redresse, fait demi-tour et glisse sa queue entre mes seins nus, que je presse contre lui après avoir arraché mon soutien-gorge. Je fais danser ma langue sur son gland chaque fois qu’il s’approche de ma bouche, mes doigts pinçant mes tétons. Ses mains explorent mon corps brûlant avant de s’arrêter, ses yeux plantés dans les miens.
— « Comment va ta chatte ? » murmure-t-il, malicieux, en effleurant mon string détrempé. Un sourire traverse son visage.
Pas besoin de répondre… je le sens déjà. J’étouffe un gémissement, consciente de ma propre humidité.
— « Je te veux » je souffle.
Il pose un doigt sur mes lèvres.
— « Chut… profite. Je vais continuer de chauffer ta petite chatte, jusqu’à ce que tu me supplies de venir avec ma queue. Je vais te faire trembler, hurler de plaisir. Ça te va, ma belle ? »
Son regard coquin se plante dans le mien tandis que sa main glisse sur le tissu trempé de mon string, qu’il empoigne soudain brutalement.
— « Est-ce que ça te va ? » répète-t-il d’un ton plus sévère.
L’excitation m’empêche de répondre, je hoche la tête en le regardant droit dans les yeux avec passion. Sa langue descend lentement le long de mon cou, puis la bosse de mes seins, mon ventre, jusqu’à mon nombril… avant de remonter. Non… pas vers le haut, continue de descendre ! crie mon esprit. Ses yeux taquins captent ma pensée muette.
— « Alors ma belle, tu n’as aucune patience ? » murmure-t-il.
Je reste silencieuse, haletante. Il retire mon string d’un geste sûr, mes hanches se soulevant d’elles-mêmes, implorant ses doigts. Ses yeux s’illuminent devant ma chatte lisse.
— « Wow… ça a l’air délicieux. »
Son doigt glisse sur mes lèvres humides.
— « Comme c’est beau… ce rose tendre, doux et lisse. »
Je gémis tandis qu’il écarte chaque repli, l’explorant avec une lenteur insoutenable.
« Je vais te faire trembler, hurler de plaisir. Ça te va, ma belle ? »
Très prudemment, il enfonce (enfin) un doigt dans ma chatte. Mes muscles se resserrent aussitôt autour de lui. Un deuxième le rejoint, et son rythme s’installe, profond, régulier. Sa langue puissante vient titiller mon clitoris gonflé, m’arrachant un puissant gémissement. Mon corps tout entier se détend et se tend à la fois, comme s’il ne savait plus où donner de la tête.
Ses doigts recourbés explorent mes parois sensibles, intensifiant ma lubrification. Un filet de désir s’échappe entre mes cuisses. Il accélère, me doigte plus vite, plus fort. Mes hanches se soulèvent d’elles-mêmes, avides d’aller chercher encore plus de profondeur.
Il suce mon clitoris, l’emprisonne entre ses lèvres, le malaxe de sa langue. Un cri brut, sauvage, m’échappe. Ses doigts s’enfoncent en moi à une vitesse folle. Je ne peux plus retenir mes hurlements, mes mains agrippent les draps comme pour ne pas me perdre.
Tout mon corps se contracte : mes bras, mon visage, mon ventre… et surtout ma chatte, crispée autour de lui. La vague monte, irrépressible. J’explose, je crie, je hurle jusqu’à m’en briser la gorge. Mon plaisir m’inonde, je sens mes jus couler sans retenue.
Je viens, plus fort que jamais. Sans honte, sans frein, totalement abandonnée. Et c’est délicieux.
« Je viens, plus fort que jamais. Sans honte, sans frein, totalement abandonnée. »
Juste au moment où je commence à reprendre mon souffle, je sens le bout de sa bite se poser contre ma chatte ruisselante. (Qui est donc cet Adonis ?) Son corps se plaque contre le mien, lourd, brûlant, et d’un coup de reins, il s’enfonce en moi. Ma chatte se tend autour de sa verge dure, me remplissant à m’en couper le souffle.
— « Je vais te baiser… Tu aimes ça, ma belle ? » murmure-t-il d’une voix rauque.
Je ne parviens qu’à haleter un « OUI ! », pendant que ses yeux plantés dans les miens me transpercent. Sa bite glisse en moi, lente, profonde, rythmique, et chaque va-et-vient m’arrache un frisson. Je sens notre désir envahir toute la chambre, l’odeur des corps fumants, et ce jus qui coule entre mes cuisses.
Il se penche, m’embrasse avec fougue, sa langue s’empare de la mienne tandis que ses coups de reins gagnent en intensité. Je plie les genoux, l’invitant à plonger plus profondément encore. Son souffle devient court, heurté, son torse tremble contre ma poitrine.
Soudain, il se retire, s’agenouille, son sexe palpitant dans sa main.
— « Tu le veux ? » me demande-t-il, le regard brûlant.
Je hoche la tête, incapable de prononcer un mot.
Un instant plus tard, des vagues de sperme chaud éclaboussent ma peau, se répandant sur mes seins, mon ventre. Je frémis en sentant chaque goutte glisser, brûlante et délicieuse. Du bout du doigt, j’en recueille une, la porte à mes lèvres, la goûte lentement. Il gémit, ses yeux se révulsent, et son corps tout entier se détend dans un long soupir.
Il s’allonge à mes côtés, nos souffles encore mêlés, nos corps collés. Dans le silence de la chambre 811, nous restons ainsi, suspendus, hors du temps.
Le lendemain matin, au petit-déjeuner, je scrute la salle. Rien. À la réception, on m’annonce que l’occupant de la chambre 811 est parti. Parti sans un mot, sans un nom. Je ne le reverrai jamais.
Mais l’oublier ? Ça non… jamais.
Vous en redemandez ? Partagez vos impressions en commentaire et découvrez encore plus d’histoires érotiques sur notre page dédiée.