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Histoire érotique : La salle de sieste

15 octobre 2025,

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Elle pensait commencer un job, pas une obsession. Dans la salle de sieste, son binôme Alban réveille en elle bien plus que du désir. Entre tension, fantasmes et abandons, le vrai frisson de ce poste pourrait bien se cacher… au dernier étage.
Je viens tout juste de commencer un nouveau poste, celui que j’attendais avec impatience depuis des mois. Le job de mes rêves, dans la ville qui m’a toujours fait rêver. 
Ce matin, François, mon manager, m’accueille chaleureusement, me présente à l’équipe, puis m’emmène faire le tour des lieux : la cafétéria, la salle de sport, les bureaux baignés de lumière… et enfin, le dernier étage.
— « Et voici la salle de sieste, » dit-il fièrement.
La pièce est sous les toits, douce et feutrée. La lumière filtre à travers un rideau occultant, les murs respirent le calme, et sur le sol, des poufs et deux banquettes invitent à s’y abandonner.
“Nous avons aménagé cet espace pour que les salariés puissent se ressourcer et se reposer.” me dit-il. “Même si, entre nous, elle reste souvent vide…”
Je souris. L’idée me semble à la fois étrange et charmante.
À la pause déjeuner, je fais la connaissance de ma nouvelle équipe, et surtout d’Alban, mon voisin de bureau. Grand, brun et drôle, il a ce regard rieur que je remarque immédiatement.
“Alors, ce premier jour ?” me demande-t-il.
“Je suis ravie, vraiment. Les conditions de travail sont top ! Et cette salle de sieste, c’est rare.”

“J’y passe toujours un quart d’heure après le déjeuner, un petit rituel.”

Je ris doucement. “Je ne crois pas savoir me reposer, mais j’admire ceux qui peuvent.”
Les jours passent. Je m’intègre vite, mon bureau devient un repère familier. La présence d’Alban juste à côté est apaisante. Nos gestes se synchronisent sans qu’on s’en rende compte : on tape au même rythme sur nos claviers d’ordinateur, on se lève en même temps, on quitte le bureau presque ensemble. Alban sait me faire rire : quand il sent que je suis stressée, il me laisse parfois de petites blagues sur des post-it. Les semaines passent et notre lien se resserre. On se retrouve chaque matin autour d’un café, une atmosphère particulière s’installe, quelque chose est dans l’air… mais je ne saurais dire quoi.
Quelques mois plus tard, le rythme s’intensifie. Les dossiers s’enchaînent, la fatigue s’installe.

 –“Tu devrais aller t’allonger un peu,”

“Juste dix minutes dans la salle de sieste. Fais-moi confiance.”
J’hésite, mais je finis par accepter.
Après le déjeuner, je monte à mon tour, curieuse. La porte est entrouverte. La lumière est douce. Alban est là, allongé sur la banquette du fond, les yeux fermés. Je m’assois sur l’autre banquette, ferme les yeux à mon tour.
“Ça va ?” souffle-t-il.
“Pas vraiment… je crois que je n’arrive pas à me détendre.”
– « Approche, je vais te montrer comment je fais.”
J’hésite, puis je me lève lentement et viens m’allonger près de lui. Le silence devient presque palpable. Je sens la chaleur de son épaule, la lenteur de sa respiration. Un calme étrange m’envahit. Nos mains ne se touchent pas, mais il suffirait d’un geste. Le temps semble suspendu. Je ferme les yeux, me laissant bercer par ce moment de proximité. Dans ce demi-sommeil éveillé, je m’imagine simplement qu’il m’embrasse, qu’il me serre contre lui, me déshabille et me caresse.

Je ressens la chaleur et la tension qui nous rapproche. Je suis trempée.

Nous rouvrons nos yeux en même temps, comme s’il avait pensé à la même chose.
« Tu sens cette tension ? » chuchote-t-il après quelques secondes.
– « Oui… » je souffle. « C’est… intense. »
Je me jette sur lui, il m’embrasse, je défais sa ceinture et il m’enlève mon collant. On commence à se toucher sauvagement, il enfonce ses doigts dans mon vagin et organise des vas et viens. Il accélère, me doigte plus vite, plus fort.
– « Tu veux que je te pénètre avec ma queue ? »
– « S’il te plaît »
Il pose sa main sur mes fesses et commence à me pénétrer. À chaque mouvement, son sexe s’enfonce un peu plus profondément. Nous explorons plusieurs positions, nos corps transpirent. Chaque instant partagé a le goût d’un rêve longtemps espéré.
– « Mets-toi sur le ventre. » m’ordonne-t-il.
Il stimule mon clitoris et me pénètre de plus en plus rapidement. Je jouis quelques secondes après. Tout mon corps se contracte. Il finit par éjaculer sur mes fesses après avoir entendu mon gémissement puissant.
Rien ne nous arrête : dans ce cocon feutré, rien n’existe à part nous. Le monde extérieur disparaît, et chaque instant devient un mélange délicieux de complicité, de chaleur et de tension, laissant présager bien des “siestes” à venir…

Envie de savoir comment leur relation va évoluer dans les mois à venir ? Parviendront-ils à concilier désir et vie de bureau… sans se faire prendre ? La suite arrive très bientôt.

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Écrit par

Sally

Auteure
Sally est une créatrice de contenu engagée et passionnée. Son secret ? Une histoire captivante, des détails soigneusement choisis et une forte volonté d’éduquer sur la sexualité.

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