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Plaisir solo au bureau
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Histoire érotique : Plaisir solo au bureau

24 septembre 2025,

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Lisa est en feu. L’attente est trop longue, le désir trop fort. À deux jours de ses retrouvailles avec son ex, elle n’en peut plus… Même au bureau, son imagination la submerge. Alors elle cède. En douce, elle s’éclipse aux toilettes. Mais une chose est sûre : ce n’est que le début.

Je suis au bureau, mais dans ma tête, je suis déjà dans la chambre d’hôtel qu’il a réservée pour dimanche. Ce jour-là, j’ai rendez-vous avec un ex avec qui le sexe a toujours été incroyable. Alors que je fixe mon écran, je me perds dans des fantasmes : ses mains explorant chaque recoin de mon corps, la douceur de ses lèvres sur ma peau… Je ferme brièvement les yeux et imagine son corps nu, musclé. Encore deux jours à patienter…

Puis un message s’affiche sur mon téléphone : « J’ai envie de te goûter. »

 Il n’en fallait pas plus pour que je sente déjà la chaleur monter entre mes cuisses.

« J’ai hâte », je réponds.

Il enchaîne aussitôt avec un message qui me fait immédiatement perdre pied. 

« Tu es la femme la plus sexy que je connaisse. Tout en toi m’excite à un point inimaginable. Ton regard, tes seins, l’odeur de ta peau… et le goût de ton excitation. Putain, je ne sais pas si je vais réussir à attendre jusqu’à dimanche. »

Je lui demande s’il est au travail. Il me répond que oui, lui aussi est au bureau. Je trouve ça terriblement excitant… Savoir qu’il est là, entouré d’hommes sérieux en costume-cravate, tandis qu’il pense à moi. Avec lui, j’ai toujours aimé flirter avec les limites.

Je repense à ces moments où, alors qu’il était en pleine conversation téléphonique avec un ami ou un collègue, je baissais mon pantalon et me penchais devant lui. Il comprenait tout de suite… et me prenait par derrière, sans interrompre sa discussion. Comme si de rien n’était.

Autour de moi, tout est calme. Apparemment, tous mes collègues sont en réunion : ils quittent la pièce les uns après les autres. Je jette un coup d’œil discret. Plus personne à l’horizon. Je suis seule. Est-ce que je vais vraiment faire ça ? Je vérifie encore une fois, juste pour être sûre, puis je glisse une main sous le bureau. Par-dessus mon pantalon, je commence à masser doucement mon clitoris. De l’autre main, je filme une courte vidéo… que je lui envoie aussitôt.

« Putain Lisa, qu’est-ce que tu me fais… »

« À toi maintenant », je lui ordonne. Quelques minutes passent, puis il m’appelle en visio. La caméra est directement braquée sur son érection. Il est aux toilettes, en train de se masturber lentement. Je l’entends gémir à travers l’écouteur, alors je baisse aussitôt le volume. En le regardant, je continue de me caresser, mes doigts pressant un peu plus fort mon clitoris. Je suis complètement absorbée par l’image… jusqu’à ce que j’entende des voix dans le couloir. Sans un mot, je raccroche. Je tente de retrouver mon calme, de cacher mes joues rouges et ma respiration haletante. Je fixe intensément mon écran comme si de rien n’était. Juste à temps : tous mes collègues font leur retour dans la pièce. Pendant ce temps, je sens tout mon corps brûler, implorer pour plus. Je suis terriblement excitée.

« On finira ça plus tard. »

Le frisson de l’attente

17h30. J’entends des verres qui s’entrechoquent et des éclats de rire au loin. L’afterwork a commencé. Le bureau se vide peu à peu, mes collègues rejoignent la cafétéria. L’odeur de bière tiède flotte dans l’air. Moi, je suis super excitée depuis ce matin. Je n’en peux plus. Je lui envoie un message, mais il ne répond pas. Tant pis, je n’ai pas besoin de lui pour jouir après tout ! Je me lève, traverse le couloir d’un pas décidé, et file aux toilettes. Je choisis la cabine la plus éloignée. Je baisse la lunette, fais glisser mon pantalon jusqu’aux chevilles et m’assieds. J’écarte les jambes autant que possible et glisse une main entre mes cuisses. Je ne m’étais pas rendu compte à quel point j’étais mouillée. Je commence à faire des petits cercles rapides sur mon clitoris. J’entends des bruits humides venir de mes lèvres. Ce son si obscène qui m’excite encore plus.

D’habitude, une simple stimulation clitoridienne me suffit. Mais là, j’en veux plus. J’ai envie qu’il me remplisse avec sa queue dure, mais ce n’est pas possible maintenant. Je vais devoir m’en charger moi-même. Je me lève pour pouvoir atteindre ma zone G avec ma main gauche, tout en continuant les cercles avec ma main droite. Mon désir est si intense qu’il ruisselle déjà entre mes cuisses.

Je ferme les yeux. Je le vois, dans ma tête. Lui, glissant ses doigts entre mes cuisses pour sentir à quel point je suis trempée, avant de les lécher lentement, avec envie. Puis il me retourne et me pénètre, doucement d’abord, puis plus fort. Je sens chaque centimètre de sa queue en moi, ses mains agrippant mes hanches un peu trop fort. Juste comme j’aime. Il embrasse mon cou, le lèche, le mord. Il gémit dans mon oreille pendant que je me caresse les seins. ​​Rien que d’y penser, j’en ai des frissons. Et dans deux jours, ce sera réel.

Je suis sur le point de jouir. Mais soudain, deux collègues entrent, en pleine conversation sérieuse. Ça me coupe net. Frustrée, je m’arrête. Je remets mon pantalon, recoiffe mes cheveux, essuie ma mouille comme je peux. En me lavant les mains, je sursaute en voyant mon reflet dans le miroir, mes joues sont rouges, mon regard est sauvage. Est-ce qu’ils pourraient s’en douter ? Cette pensée m’excite encore plus.

Frustrée, presque au bord de l’explosion, je retourne à mon bureau. Je sens ma culotte trempée coller contre ma peau. Il est presque 18h. C’est bon, j’en ai assez. Sans saluer personne, je prends mes affaires et je file.

Jouir à distance

Je file directement dans ma chambre. Ma table de nuit m’attend comme une promesse. En général, je choisis mon Satisfyer, celui qui me fait jouir en moins d’une minute. Mais pas ce soir. Je veux prendre mon temps. Je sors alors mon Vibromasseur de point G, EasyToys, celui qui me pénètre profondément et vient stimuler mon point G avec une précision délicieuse. Je le glisse lentement en moi, et dans ma tête, c’est lui. Son corps. Sa queue. Quand je sens que l’orgasme approche, je l’appelle.

« Hey… » gémis-je, sans même chercher à dissimuler mon état.

« Salut… je suis dans un taxi, avec deux collègues », répond-il, visiblement mal à l’aise. Je ne dis rien. Je continue à gémir, comme si je n’avais rien entendu.

« OK… ouais… oui je t’entends », marmonne-t-il, la voix basse. Je continue, sans m’arrêter.

« Ouais… super… continue… » L’idée qu’il doive rester impassible, alors qu’il est assis juste à côté de ses collègues, me rend complètement folle. Je gémis plus fort. Je le préviens que je vais jouir.

Il tousse pour dissimuler le moindre bruit, puis reprend, sur un ton faussement sérieux :

« OK, ça a l’air vraiment… très bien. J’aimerais beaucoup, effectivement. »

Je l’entends sourire derrière ses mots. Et ça me fait venir encore plus fort. Quand le plaisir retombe, je reprends mon souffle, et avoir une voix posée je lui dis :

— « À dimanche, monsieur. »

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Écrit par

Sally

Auteure
Sally est une créatrice de contenu engagée et passionnée. Son secret ? Une histoire captivante, des détails soigneusement choisis et une forte volonté d’éduquer sur la sexualité.

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