Votre curiosité est piquée ? Explorez la boutique Adam et Eve

Deux personnes sont assises à l'extérieur d'un van aménagé, après une histoire érotique bien chaude.

Histoire érotique : sous la houle basque

17 juillet 2025,

written by

Plongez dans une histoire érotique estivale. Pour la première fois, Lou part seule en vacances. Entre les vagues et le sable chaud, elle ne se doute pas que cette escapade sur la côte basque va la mener à une aventure torride avec son moniteur de surf… 

Le soleil basque caresse la peau dorée de Lou alors qu’elle arrive sur la plage pour son premier cours de surf. Ses longs cheveux, déjà éclaircis par le soleil, flottent au rythme de la brise marine. Un peu nerveuse mais excitée à l’idée de dompter ses premières vagues, elle ajuste sa combinaison une dernière fois.

Noah l’accueille avec un sourire chaleureux.

Avec son allure décontractée, ses cheveux décolorés par le sel et le soleil, et des muscles bien dessinés, il ne laisse pas Lou indifférente. Il incarne le cliché parfait du surfeur séduisant.

Ils se mettent à l’eau, elle un peu maladroitement, et le cours commence. Lou se laisse guider par les instructions de Noah. Ses mains effleurent parfois les siennes pour corriger sa posture. Elle essaye tant bien que mal de se concentrer, mais certains regards échangés deviennent plus intenses. Elle sent une tension s’installer, de son coté en tout cas, Noah restant très professionnel.

Après leur session de deux heures, Lou est épuisée, le corps encore vibrant de l’effort, mais heureuse d’avoir enfin tenu debout sur sa planche. Elle se dirige vers les douches de la plage, pieds nus sur le sable brûlant, suivie de près par Noah. Sa combinaison en néoprène colle encore à son corps trempé.

Elle se tortille, tentant de se libérer du tissu mouillé qui résiste obstinément à ses gestes.

« Tu veux de l’aide ? » demande Noah, la voix douce, mais l’œil malicieux.

« Je veux bien, je galère un peu… » souffle-t-elle, un sourire en coin.

Amenant sa longue crinière dorée sur le devant, Lou dégage ainsi sa nuque et le haut de son dos.

Lentement, Noah s’approche.

Il pose une main sur sa hanche pour la stabiliser, puis ses doigts trouvent la fermeture éclair dans le creux de ses omoplates. Il tire doucement, le bruit de la glissière couvrant à peine le son des vagues en arrière-plan. Le néoprène maintenant ouvert, il découvre peu à peu la courbe de son dos, la finesse de sa taille, la douceur satinée de sa peau chauffée par le soleil. Elle sent son souffle tout près, et l’envie qui monte lentement, comme la chaleur d’un après-midi d’été. Dorénavant tous deux en maillots, l’eau fraîche glisse sur leurs corps.

Gel douche en main, Noah commence à savonner doucement les épaules de Lou. Elle ferme les yeux, savourant ce contact. À son tour, elle prend le relais, ses mains glissant sur le torse de Noah, explorant chaque muscle avec une curiosité grandissante. Conscients d’être dans un lieu public, ils échangent un sourire complice, promettant silencieusement de ne pas en rester là.

« On se refait une session demain ?

— Oui avec plaisir, same place same time ? »

Elle retourne à sa vieille Coccinelle rouge, garée en bord de plage. Sa peau encore perlée d’eau, ses cheveux humides, son corps reste bercé par l’adrénaline de la session. La douche avec Noah la trouble encore. Elle était sage, oui, mais chargée de sous-entendus.

En approchant de sa voiture, elle remarque le van aménagé de Noah, garé juste à côté. Il est assis à l’extérieur, torse nu, une bière à la main.

Il l’interpelle avec un sourire.

« Un p’tit verre pour fêter ta première vague ? »

Elle hésite une seconde, mais après un rapide regard sur ses abdos et son bronzage parfait, Lou répond : « Oh volontiers ! On l’a bien méritée celle là. »

À l’intérieur du van, l’ambiance est douce et enveloppante. L’espace est petit, mais tout y est beau, pensé, chaleureux. Des guirlandes, des coussins, des souvenirs de plage accrochés aux parois. Il lui tend une bière fraîche : « Santé, ma belle… »

Leurs yeux s’accrochent en trinquant. Les regards deviennent plus appuyés. Lou sent son cœur s’emballer, son ventre se nouer légèrement et, dans son bas-ventre, ce désir qu’elle pensait avoir laissé sous la douche…

Noah pose sa main sur la cuisse dénudée de Lou, sa paume chaude contre sa peau rafraîchit par la bise maritime du soir. Il la caresse doucement, du bout des doigts, dans un geste à la fois attentif et affirmé. Lou ne recule pas, bien au contraire. Elle se penche vers lui, leurs visages se frôlent, leurs souffles se mélangent. Leurs lèvres ne sont qu’à quelques centimètres, suspendues entre retenue et envie.

L’attente devient brûlante et après plusieurs secondes, ils cèdent enfin. Le baiser est profond, un peu brut au début, puis il se fait plus tendre, plus maîtrisé. Les mains glissent, pressent, effleurent.

Lou s’allonge, haletante, sur le matelas du van.

Le souffle court, elle sent chaque parcelle de son corps vibrer d’anticipation. Noah s’approche, lentement, sans la quitter des yeux. Son torse nu frôle le sien, effleurement à peine perceptible, mais terriblement électrisant. Elle sent les muscles sous sa peau, la chaleur de son corps, cette tension retenue qui ne demande qu’à exploser.

Il penche la tête et dépose un premier baiser dans le creux de son cou. Puis un deuxième, juste sous l’oreille, qui lui arrache un frisson. Il mordille doucement sa clavicule. À chaque contact, la respiration de Lou se saccade davantage. Ses seins se soulèvent sous l’effet du souffle, de plus en plus court, et de l’attente qui la fait déjà trembler.

Les lèvres de Noah dessinent un chemin sur son décolleté. Il s’attarde au creux de ses seins, les embrasse avec lenteur, puis laisse glisser sa langue sur l’arête de son sternum. Lou ferme les yeux. Elle n’a plus qu’un seul sens : le toucher. Chaque baiser, chaque caresse est une montée de fièvre.

Il descend lentement, sans se presser, prenant son temps pour savourer. Sa langue fait des cercles autour de son nombril, s’attarde sur les lignes de sa peau dorée, explore les creux, les bosses, les tensions. Noah soulève légèrement ses hanches pour faire glisser le reste de son bas de bikini, qu’il abandonne au bord du lit, sans décoller sa bouche de son ventre.

Ses mains suivent la courbe de ses cuisses.

Il caresse l’intérieur avec une lenteur presque cruelle, effleurant à peine la peau sensible de son entrejambe. Lou gémit. C’est plus fort qu’elle, un gémissement guttural, presque suppliant. Elle entrouvre les jambes, offre son bassin à sa bouche. Mais Noah ne se presse toujours pas.

Il souffle doucement entre ses jambes, fait courir ses lèvres sur la ligne tendre de son aine, embrasse le haut de ses cuisses sans jamais toucher directement son sexe. Chaque fois, Lou se cambre un peu plus, s’ouvre davantage, incapable de cacher son excitation. Elle est trempée, et il le sait. Il le sent. Il s’en délecte.

Enfin, il approche. Sa langue effleure à peine ses grandes lèvres. Lou sursaute, puis il recommence, plus franchement. Noah lèche doucement, longuement, en partant de la base pour remonter jusqu’à son clitoris, qu’il entoure de ses lèvres sans le presser. Il joue.

Il la savoure comme un fruit mûr.

Sa langue se fait plus précise, plus habile. Il alterne les pressions, les mouvements circulaires, les pointes rapides.

Ses doigts, eux, continuent d’explorer, glissant sur ses cuisses, ses hanches, puis, lentement, il en glisse un en elle. Puis deux. Il les bouge avec délicatesse, en rythme avec sa langue. Lou ne sait plus si elle respire ou gémit. Les sons qu’elle émet ne sont plus contrôlés. Ce sont des soupirs, des râles, des vagues qui montent, qui redescendent. Tout en elle vibre.

Elle attrape les draps du matelas, les serre entre ses doigts. Son bassin bouge tout seul, cherche toujours plus de contact. Noah ne cesse pas. Il augmente l’intensité, guidé par ses gémissements. Il sait qu’elle est proche. Mais il se retire, brusquement, juste avant qu’elle ne bascule vers l’orgasme.

Lou ouvre les yeux, surprise, puis comprend vite. Il se redresse, avec un sourire en coin, et déroule lentement un préservatif sur sa queue dressée. Sa bite est dure, large, imposante. Elle la sent pulser et son ventre se contracte à cette vue. Elle écarte un peu plus les jambes, en guise d’invitation, laissant apercevoir sa chatte trempée : « Prends moi. J’ai envie de la sentir en moi, j’en ai envie depuis tout à l’heure. »

Noah s’approche, se glisse entre ses cuisses. Il guide doucement son gland contre l’entrée de son vagin, frotte, pousse, pénètre. Lou pousse un cri, un vrai, un de ceux qu’on ne retient pas. Elle le sent entrer lentement, centimètre par centimètre. Elle est pleine, comblée après cette attente interminable.

« Tu es encore plus gros que ce que je ne pensais. »

Noah commence à bouger son bassin avec des va-et-vient lents et mesurés. Il cherche le rythme parfait, celui qui la fait gémir à chaque poussée. Et il le trouve. Les bruits de leurs peaux qui se rencontrent se mêlent aux vagues au-dehors. Le van tangue doucement sous leurs mouvements. Ils sont seuls au monde. Lou lui mord l’épaule. Elle perd le contrôle. Elle ne veut plus rien contrôler. Noah accélère un peu, change d’angle. Il pénètre sa zone G et cela la fait exploser. Ses jambes se referment sur ses hanches, son dos se cambre, ses ongles s’enfoncent dans sa peau.
L’orgasme monte. Puissant. Irrésistible.

Elle gémit plus fort, murmure son prénom encore et encore, supplie presque de ne pas s’arrêter. Et puis, c’est le vide. Le noir. Le relâchement total. Elle jouit, le corps tendu comme un arc. Elle retombe sur le matelas, tremblante.

Noah ralentit : « Tu en veux encore ?

— Je veux te sentir jouir en moi. »

Et il continue, il n’en a pas fini.

Il la retourne doucement sur le ventre, l’attire à quatre l’accueille avec gourmandise, le sent frapper profondément, sans relâche.

Il pose une main sur sa nuque, l’autre sur sa hanche. Le rythme devient brut, presque animal. Soudainement, Lou sent un deuxième orgasme venir. Plus sauvage et rapide. Elle se frotte contre lui, se caresse, halète, et explose de nouveau. Noah gémit, accélère encore, pousse un dernier cri rauque en se libérant, dans une ultime secousse.

Ils restent là, quelques minutes, épuisés, les cœurs battants. Puis Noah se couche à ses côtés et la couvre doucement avec une couverture. Lou pose la tête sur son torse, encore nue, encore tremblante, mais comblée. Le silence revient. Le cri des mouettes. Le chant des cigales. La houle de Biarritz.

Parfois, il suffit de surfer une nouvelle vague pour trouver ce que l’on ne cherchait pas.

Ca vous donne envie ? Retrouvez tous les conseils d’Adam et Eve pour sexer en extérieur et notre bucket list des activités torrides à faire cet été !  

Écrit par

Sally

Auteure
Sally est une créatrice de contenu engagée et passionnée. Son secret ? Une histoire captivante, des détails soigneusement choisis et une forte volonté d’éduquer sur la sexualité.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Articles Liés