Pour lire le premier épisode de cette histoire, c’est par ici : La salle de sieste
Elle pensait juste commencer un nouveau travail, mais tout a basculé. Dans cette entreprise, une salle de sieste tranquille sous les toits a réveillé bien plus que du repos. Avec Alban, son collègue, un lien fort s’est créé, jusqu’à franchir une limite qu’ils n’auraient jamais dû dépasser. Depuis ce jour, rien n’est plus comme avant, et leur secret pourrait bien leur échapper.
Depuis ce jour dans la salle de sieste, rien n’est plus tout à fait pareil.
Nos échanges, nos regards, nos silences ont changé de texture. Une frontière invisible s’est déplacée, sans qu’on la nomme, sans qu’on ose la franchir à nouveau. Chaque matin, lorsque j’arrive au bureau, je le sens avant même de le voir. Sa voix, son parfum, sa présence. On se parle comme avant, mais sous les mots se glisse une autre langue : celle du souvenir, du frisson encore palpable entre nous. Parfois, nos mains se frôlent au-dessus du clavier, nos épaules se touchent par accident, et ce simple contact me ramène là-haut, sous la lumière tamisée du dernier étage.
Un vendredi, François, notre boss, annonce une nouvelle importante :
– “On va devoir travailler tard sur le dossier Martin. Je compte sur vous deux.”
Nos regards se croisent aussitôt. Un mélange de fatigue et d’excitation, comme si la nuit à venir promettait plus qu’une simple réunion.
Le bureau se vide lentement. La ville s’endort derrière les grandes baies vitrées.
Alban s’étire, me lance un sourire complice :
– “Une pause s’impose, non ?”
Je hoche la tête. Sans un mot, nous montons.
On se saute littéralement dessus dans l’escalier, on s’embrasse langoureusement, nos corps se cognent contre la rampe.
D’un étage à l’autre, les canapés, les fauteuils, les recoins du couloir nous retiennent tour à tour.
Nous évitons les angles des caméras. Alban pose ses mains sur mes hanches, me porte et me pose sur la kitchenette du deuxième étage. On s’embrasse comme si tout recommençait ici, maintenant — une première fois hors du temps.
Il me couvre de baisers dans le cou pendant que je touche sa queue dure à travers son caleçon et je lui enlève.
Il me serre les cuisses et les fesses très fort et commence à me mettre des doigts : d’abord deux, puis trois…
Je craque dans ma main pour lubrifier sa queue et je le branle délicatement…
Dans un souffle, je lui demande d’aller plus loin, plus fort avec ses doigts. Puis, il me prend dans ses bras, je sens la force de ses gestes, la chaleur de sa peau. Il me pénètre alors avec sa queue, mes fesses claquent contre son corps.
« Mets toi à genoux et suce moi »
Je commence à le sucer, il me relève le menton et me regarde droit dans les yeux.
Tout à coup, pendant que je suis par terre en train de le sucer, on entend un bruit. Soudainement, notre premier réflexe est de ramasser en hâte nos affaires éparpillées un peu partout. J’ai juste le temps de remettre ma culotte qu’on entend quelqu’un monter.
On est coincés, pas le temps de fuir.
C’est Marine, de la compta.
On se sent totalement désemparés, nus devant elle.
Gênée, elle aussi. Le problème ? C’est la nouvelle petite copine de François… Elle était simplement venue récupérer son téléphone pro. Elle ferme les yeux, tourne les talons et dit qu’elle n’a rien vu.
Elle s’en va, et on éclate de rire, nerveusement d’abord, puis franchement. On se dit qu’elle va forcément le raconter à François… mais à ce moment-là, notre sort, on s’en fiche un peu. On ne va pas se mentir : ça nous excite un peu. Une fois qu’on était sûrs qu’elle était partie, on décide de monter à l’étage : là-haut, au moins, personne ne viendra nous interrompre.
Une fois là-haut, dans la salle de sieste, je me suis jetée sur la banquette. D’un coup, il a sorti de sa poche un petit flacon d’huile de massage. Il l’avait soigneusement préparé et voulait me faire une surprise : s’en est suivi le massage LE plus sensuel de ma vie.
Je vous raconte ?
Il a commencé par mes épaules et mon dos, puis il a continué avec mes fesses.. J’étais encore toute excitée, même si cela faisait presque deux heures qu’on avait commencé à baiser. Ses gestes étaient si précis.. Il me retourna lentement et me stimula le bout de mes seins, il descendit après jusqu’au nombril, jusqu’à mon pubis et mon clitoris…
Je jouis deux fois de suite. J’en tremble encore.
Il se retire et s’approche de ma bouche, et jouit à son tour. 💧
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