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Une femme est dénudée au bord de la piscine prête à vivre une histoire érotique.
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Histoire érotique : une nuit à Zakynthos

20 juillet 2025,

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Zakynthos, hors saison. Peu de touristes, pas vraiment de plans. Mais parfois, les meilleures surprises arrivent quand on n’attend plus rien. Mais parfois, les meilleures surprises arrivent quand on n’attend plus rien. Dans cette histoire érotique, deux amis s’offrent une escapade improvisée dans les îles grecques. Ils pensent trouver du calme, du soleil, des mojitos. Et pourtant… Lors de leur dernière soirée, deux silhouettes surgissent dans un bar presque désert. Le courant passe, les regards s’embrasent, et la nuit prend une toute autre tournure. Sensations garanties.

Une escapade tant attendue

Cela faisait des mois que j’attendais cette escapade avec ma meilleure amie. Nous avions toutes les deux envie de Zakynthos, en Grèce : quelques jours pour pédaler, marcher, papoter tranquillement et profiter de la bonne cuisine et des verres partagés. Sortir faire la fête ? Ce n’était pas vraiment au programme, hors saison oblige. L’île risquait d’être enveloppée de cette fameuse vague grise. Mais à vrai dire, nous commencions aussi à retrouver quelques nuances, timides mais bienvenues, dans nos propres vies.

Enfin, le moment était arrivé. Nous avons pris la route ensemble, direction le Grand Nord, le cœur déjà un peu plus léger.

Sur le trajet, les conversations ont repris leur rythme familier : grandes histoires d’avant et anecdotes plus anodines sur nos quotidiens. En réalité, on n’avait pas besoin de mots pour sentir ce qui pesait chez l’autre. Sans jamais le dire à voix haute, on savait : nos mariages allaient bien, mais après tant d’années avec le même homme, dans le tourbillon de la vie de famille, l’excitation s’était faite rare. Le frisson manquait. Autrefois, on en faisait voir de toutes les couleurs à la ville. Cette époque nous semblait loin.

Une confiance en soi boostée

Nous avons pris le bateau, et sans trop en parler, la fameuse vague grise nous enveloppait déjà un peu. Sur le pont, à la fin de la quarantaine, nous étions les plus jeunes à bord. Et il faut le dire, ça avait un certain charme. Une petite montée d’ego bienvenue. On a plaisanté sur les doses de Viagra que ces messieurs devaient trimballer dans leurs sacs. L’ambiance était légère, moqueuse, et ça nous faisait du bien.

L’arrivée à l’hôtel s’est faite en douceur. Petit bonus inattendu : un surclassement gratuit. À nous l’appartement trois pièces, chacune sa chambre, et un lit double bien mérité. Le genre de détail qui donne le sourire sans qu’on sache trop pourquoi.

Les jours ont filé, paisibles. Entre balades à vélo, randonnées et rythme alangui de l’île, le quotidien s’était transformé en parenthèse douce. Et puis est venu le dernier soir. Pas de programme précis pour le lendemain : une grasse matinée, le bateau, le retour. Alors pourquoi ne pas se faire plaisir ? Nous avons choisi le seul café vraiment chaleureux du village. Rien d’extravagant : une robe d’été, des baskets, mais nos peaux dorées faisaient le reste. Nous nous sommes installées à une table, sans attentes.

Peu après, deux hommes nous ont rejointes sur la table adjacente. Ils étaient grands, bien bâtis, et très souriants. L’un chauve avec un regard perçant ; l’autre, des boucles sauvages et un teint gorgé de soleil. Tous deux affichaient ce genre de corps qui raconte la mer, le vent, la terre. Ils ont commandé une tournée, et l’un d’eux a lancé en riant : « Des femmes célibs, ici ? C’est rare. »

Un flirt naturel au bar

On a ri. On leur a parlé de nos mariages, mais ça n’a rien arrêté. Le flirt s’est installé, naturel, presque nécessaire. Quelques bières plus tard, leurs récits ont commencé à déraper doucement. Ils nous ont parlé de leur île, mais pas celle des cartes postales. Une version plus secrète, plus vibrante : des couples qui s’embrasent dans les dunes, sur la plage, jusque dans les ruelles du village. Des instants volés, des aventures sous la lune. Ils avaient tout vécu au moins une fois. Et nous, on riait avec eux. Un peu trop fort peut-être.

À notre tour, nous avons partagé, peut-être avec un peu trop de franchise, nos histoires passées, nos rendez-vous improbables, nos liaisons brèves ou intenses, nos aventures d’un soir, qu’elles aient été réussies ou non. Les verres de vin offerts y étaient sûrement pour quelque chose : ils avaient fait tomber les dernières barrières. L’ambiance devenait plus légère, plus intime.

À mesure que nous évoquions nos souvenirs les plus croustillants, je me suis sentie doucement gagner par une chaleur familière. L’homme aux boucles sauvages me lançait des regards de plus en plus directs. Il cherchait mes yeux, avec une intensité à laquelle je n’étais pas insensible. Son flirt assumé m’excitait, sans que je ne cherche à le cacher.

« Laisse ouvert »

La soirée touchait à sa fin. Au moment où je me suis levée pour aller aux toilettes, il m’a suivie des yeux… puis s’est approché. Voyant que je partais dans la mauvaise direction, sans doute un peu vacillante, il m’a effleuré le bras pour me guider doucement. J’ai esquissé un sourire. Mes seins ont frôlé son bras, et j’en ai profité pour me rapprocher. Dans un clin d’œil, je lui ai soufflé que je n’étais pas certaine de pouvoir retrouver ma chambre seule.

Il a ri doucement, puis m’a demandé combien d’étages j’avais à monter. Je lui ai confié que nous avions la seule chambre au rez-de-chaussée, avec des portes-fenêtres ouvertes sur un jardin magnifique. Il m’a glissé un dernier conseil dans un sourire malicieux : « Gardez bien les portes ouvertes ce soir… L’air de la mer, ça aide contre la gueule de bois. »

En revenant à notre table, j’ai aperçu mon amie en train de dire au revoir à l’autre homme avec un sourire un peu trop appuyé. Elle s’est levée d’un bond, les joues roses, et m’a rejointe. Nous avons salué nos compagnons d’un soir, puis avons marché bras dessus bras dessous jusqu’à notre hôtel.

En partant, l’homme aux boucles sauvages m’a regardée droit dans les yeux.

« J’espère que vous suivrez mon conseil… Sinon, je viendrai m’assurer que c’est fait », a-t-il murmuré. Je lui ai lancé un dernier clin d’œil : « Faites donc ce que vous ne pouvez pas vous empêcher de faire. »

Mon amie, joyeuse et insouciante, n’a heureusement rien compris à notre petit échange. Une fois arrivées à notre appartement, nous nous sommes souhaité une bonne nuit, comme deux adolescentes rentrant d’une fête. Je suis entrée dans ma chambre, j’ai ouvert grand les portes-fenêtres sur le jardin. Une brise fraîche, chargée de sel et d’envie, a caressé mon visage.

Je me suis glissée sous la couette, nue. Mon corps était encore électrisé, et malgré le vin, le sommeil refusait de venir. Je repensais à cette soirée, aux regards, à cette tension si douce. À lui, sa manière de se pencher vers moi et à la chaleur qu’il dégageait. Lentement, mes mains ont glissé sur ma peau.

Une imagination débordante

Dans mon esprit, il entrait par cette porte-fenêtre ouverte sur la nuit, s’approchait de mon lit, m’embrassait sans un mot. Mes doigts ont trouvé mon ventre, puis plus bas encore. J’ai fermé les yeux. Et j’ai laissé l’imagination faire le reste, m’aidant de mon mini vibro de voyage.

Alors que je me mettais à l’aise, un bruit soudain sur le gravier du jardin m’a sortie de ma torpeur. Des pas. Des voix basses, presque chuchotées, puis des éclats de rire étouffés. Je les ai entendus s’approcher, s’arrêter juste devant la terrasse. Mon cœur s’est mis à battre plus vite. Qui était là ? L’idée de cambrioleurs ne m’a même pas traversé l’esprit. J’ai tout de suite pensé aux hommes du café. Et lorsque j’ai perçu un discret : « Hmm, elle a fait comme je lui ai dit », j’étais presque sûre de reconnaître sa voix. Une autre a soufflé : « Eh bien, bonne chance. » Puis plus rien.

Je suis restée là, tendue, à attendre. Peut-être allais je entendre à nouveau les pas s’éloigner dans le gravier. Pourtant, au fond de moi, j’espérais qu’ils ne repartent pas. J’étais brûlante. À la tension s’ajoutait l’excitation encore vive de notre échange au bar. J’ai repoussé la couette jusqu’à ma poitrine et me suis allongée sur le côté, dos aux portes-fenêtres, l’oreille à l’affût. Toujours rien. Juste un très léger bruissement de rideaux. Du vent ? Ou le pas discret d’un homme qui franchit le seuil ? J’ai cru entendre une respiration.

Un frisson entre peur et désir

Le silence persistait, mais je sentais une présence dans la pièce. Mes sens en alerte, j’ai repoussé la dernière couverture, nue sur les draps. Le crépuscule filtrait encore par la porte entrouverte, baignant la pièce d’une lumière douce. Je savais que, vue d’ici, ma peau bronzée devait se détacher sur le blanc du lit. Je me suis légèrement tendue, juste assez pour soulever ma jambe supérieure et tendre l’autre, accentuant ainsi le galbe de mes fesses. C’était volontaire. Il était là. Et je voulais qu’il me voie.

C’est alors que je l’ai entendu : le cliquetis discret d’une ceinture qu’on défait, suivi du bruissement d’une chemise qu’on retire, puis d’un pantalon qui glisse lentement. La température monta d’un cran dans tout mon corps. Je n’ai pas bougé. Je voulais qu’il vienne à moi.

J’ai senti le matelas s’affaisser derrière moi. Quelqu’un venait de s’asseoir sur le lit. En guise de réponse muette, j’ai accentué la cambrure de mes reins, offrant mes fesses avec un peu plus d’insistance. C’était mon langage du moment. J’espérais que cela soit assez clair. Mes sens, déjà en éveil, étaient à vif. Alors, quand sa main s’est posée sur mon flanc, douce et chaude, un frisson m’a traversée des côtes jusqu’à l’aine.

Il s’est glissé dans le lit, se tournant sur le côté, dans mon dos. Nos corps se sont naturellement ajustés l’un contre l’autre. Ce contact peau contre peau a décuplé mon excitation. Lorsqu’il a glissé sa queue dure contre mes fesses, un soupir s’est échappé de mes lèvres, spontané. C’était délicieux de le sentir là.

Si proche, si prêt

Ses mains ont commencé à explorer mon corps, lentement, presque avec tendresse. J’ai appuyé mes fesses contre lui, le sentant raidi par le désir. Puis, sa main a caressé mes hanches, descendue sur mes fesses, avant de pousser doucement ma jambe supérieure en avant, m’ouvrant davantage à lui. Je me suis laissée faire, déjà brûlante d’envie. Ses doigts ont glissé entre mes fesses, effleuré mes lèvres… J’ai gémi doucement. Ma chatte était trempée. Il a laissé ses doigts se perdre dans mon humidité, explorant doucement, avec une lenteur délicieuse, jusqu’à trouver mon clitoris.

Là, il a dessiné quelques cercles, précis et doux, comme s’il voulait mémoriser chaque relief. Il étalait ma mouille sur mes lèvres avec un soin exquis. Et juste au moment où je me laissais totalement aller à ce plaisir… il s’est arrêté.

Mais avant même que je ne proteste, j’ai compris pourquoi.

Il a guidé sa bite bien raide vers ma chatte et j’ai incliné mes hanches un peu plus loin pour qu’il puisse trouver mon trou plus facilement. J’ai senti son gland se presser contre mes lèvres et chercher l’ouverture. Dès qu’il s’est trouvé devant mon trou et qu’il a poussé légèrement, mes lèvres se sont écartées pour le recevoir. C’était délicieusement excitant. J’ai repoussé mes fesses en même temps que sa poussée et je l’ai senti remplir complètement ma chatte d’un seul coup. Je n’ai pas pu retenir un gémissement et j’ai apprécié la sensation d’être si bien remplie.

Il a continué à pousser à un rythme régulier et j’ai apprécié. Il baisait d’une manière contrôlée mais agréable. J’ai tortillé ma chatte autour de sa bite et j’ai reçu ses poussées avec une délicieuse sensation d’excitation. Puis j’ai senti sa main le long de mes fesses et, tandis qu’il me baisait, ses doigts se sont dirigés vers mon clitoris. J’ai gémi bruyamment en signe d’encouragement et j’ai levé ma jambe pour faire de la place à ses doigts.

Délicieux d’être baisée de cette façon

Alors qu’il continuait à pousser, j’ai senti ses doigts frotter mes lèvres et mon clito. Dès qu’il s’est concentré sur mon clito, j’ai senti que l’excitation allait me conduire à l’orgasme et j’ai balbutié pour qu’il continue ainsi. Ses doigts ont frotté mon clito à un rythme régulier et j’ai senti que sa bite dure continuait à glisser jusqu’au fond de ma chatte. De cette façon, je n’allais pas tarder à jouir et je voulais qu’il jouisse aussi à ce moment-là, alors j’ai serré fort ma chatte. Lui aussi gémissait de façon incontrôlable et j’ai senti son rythme s’accélérer.

Ses doigts frottaient et faisaient maintenant tourner mon clitoris fermement tandis qu’il enfonçait sa bite fort et profondément en moi. J’ai apprécié cette sensation divine et j’ai senti mon orgasme monter. Je l’ai encouragé à continuer et j’ai gémi que j’allais venir. Cela l’a aidé à passer à la vitesse supérieure et il m’a maintenant baisé fort et de manière incontrôlable dans ma chatte. Ses doigts sur mon clitoris et cette bite dure au fond de ma chatte m’ont fait jouir délicieusement. J’atteignais mon apogée avec une secousse.

J’ai serré ma chatte aussi fort que possible autour de sa bite.

Il m’a poussé fort encore quelques fois, puis il est venu avec un grognement. Au plus profond de moi, je sentais sa bite donner de petites poussées et je savais qu’il me remplissait.

Nous sommes restés allongés là à en profiter pendant un moment, mais bientôt je l’ai senti glisser hors de moi, se retourner et sortir du lit. Je pouvais l’entendre mettre ses sous-vêtements, ceinturer son pantalon et enfiler une chemise par-dessus sa tête. Puis j’ai entendu des pas sur le sol et j’ai senti le vent provenant d’une porte de jardin qui s’ouvrait. Immédiatement après, le bruit des pas sur le gravier s’éloigna. Je frissonnai à nouveau, tirai les couvertures sur moi et tombai dans un profond sommeil.

Quand je me suis réveillé, j’ai entendu la douche et je me suis levé. Quand j’ai vu ma copine sortir nue de la douche, je n’ai pas pu m’empêcher de sourire. Elle m’a vu rire et m’a demandé pourquoi… Je lui ai souri mystérieusement et j’ai repensé à la nuit dernière. Quand elle rougit et me demanda si je l’avais entendue la nuit dernière et que cela devait rester entre nous, ce fut mon tour de rougir et d’avoir l’air surpris.

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Écrit par

Sally

Auteure
Sally est une créatrice de contenu engagée et passionnée. Son secret ? Une histoire captivante, des détails soigneusement choisis et une forte volonté d’éduquer sur la sexualité.

1 Response

  1. Je suis avec Adam et Ève il y a des années et j’achète une calendrier pour mon mari à chaque Noël.
    Merci , je suis ravie de lire vous histoires ils sont douces mais intenses.

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