Après un match de tennis intense et une victoire serrée, la tension ne redescend pas… bien au contraire. Dans le vestiaire vide, deux amies transforment la douche brûlante en un terrain de jeu bien plus intime. Entre éclats de rire, caresses furtives et plaisir assumé, la partie est loin d’être terminée…
Ce n’était pas facile, mais nous y sommes arrivées. Mon amie et moi avons disputé un double féminin en tennis… et nous avons gagné. 7-5, 6-7, 6-4 : le score final parle de lui-même, on a dû se battre jusqu’au bout.
Après un verre bien mérité à la buvette, fatiguées mais heureuses, on décide d’aller prendre une douche. Le vestiaire est vide, et les deux douches côte à côte sont libres.
En discutant, j’ôte mon haut de sport puis ma jupe de tennis. Tandis que je commente le match, je sens son regard glisser sur moi, de haut en bas. Je baisse ma culotte, frissonnant sous cette attention silencieuse. Ma brassière de sport est la dernière à tomber : je la retire des deux mains, par-dessus ma tête, et respire un grand coup. Mes mains passent instinctivement sur mes seins, que je masse brièvement pour les libérer de la pression du tissu serré. Mes doigts effleurent brièvement mes tétons.
Je me penche pour chercher mes affaires de toilette dans mon sac. Quand je me redresse, elle détourne brusquement le regard.
Regardait-elle mes fesses ?
Sous la douche brûlante
Je file sous la douche et presse une noisette de gel douche dans ma main. Lentement, je commence à savonner mon corps nu, rasé de près. Mes mains glissent le long de mes mollets fermes, remontent sur mes cuisses, puis caressent mes jambes en profitant du parfum frais qui se mêle à la vapeur chaude.
Mon amie me rejoint sous la douche, juste à côté. Je tourne la tête vers elle, tout en savonnant mes parties intimes. Du bout du doigt, j’écarte légèrement mes lèvres, laissant la mousse y pénétrer. Mes mains remontent ensuite sur mon ventre, puis vers mes seins que je prends à pleines mains. Je les masse lentement, tous les deux à la fois, en savourant la sensation.
Je me retourne, écarte légèrement les fesses, et laisse le jet d’eau chaude couler dans ma raie. Je me penche un peu plus pour que ma vulve soit parfaitement mouillée. Le jet chaud sur ma peau sensible m’arrache un frisson.
Une caresse brûlante sous la pluie chaude
Alors que je profite, les yeux fermés, je sens deux mains chaudes et mouillées se poser sur mon dos.
— « Je vais te savonner le dos », murmure mon amie d’une voix rauque. Je fais un pas en arrière, laissant l’eau s’écraser sur ma tête, et referme les yeux. Ses mains glissent sur ma peau, explorant chaque centimètre avec une lenteur calculée, presque provocante.
Je me retourne… et me retrouve nez à nez avec mon amie, incroyablement sexy. Ses lèvres viennent se poser sur les miennes, et sa langue se glisse aussitôt dans ma bouche. Ses mains quittent mon dos pour descendre sur mes hanches. Ses pouces frôlent à peine les côtés de mes seins, déclenchant une décharge dans tout mon corps. Mes tétons se dressent aussitôt, durs et sensibles, tandis qu’une chaleur diffuse m’envahit. Des picotements montent de mes orteils jusqu’au sommet de mon crâne.
Adrénaline et caresses
Je pose une main sur son sein, légèrement plus généreux que les miens, et commence à jouer avec son téton. Je le pince fermement entre le pouce et l’index, juste ce qu’il faut pour lui arracher un gémissement. Elle aime ça. Soudain, une pensée me traverse : pourvu que personne n’entre… la porte ne ferme pas à clé. Un éclair d’adrénaline me parcourt. Loin de me freiner, cette idée m’excite encore plus. Ce moment est bien trop bon pour qu’on s’arrête. Mon autre main vient se poser sur elle. Je l’ai toujours trouvée belle… mais la sentir ainsi vibrer sous mes doigts, c’est encore mieux que je ne l’imaginais. Mes deux mains se referment sur ses seins, les malaxant, pendant que ses doigts explorent ma chatte. Je frémis de l’intérieur, espérant qu’elle glisse un doigt en moi. Comme si elle lisait dans mes pensées, je sens une douce pression, puis un doigt s’enfonce en moi.
— « Mmm… ta chatte est si douce et chaude », murmure-t-elle à mon oreille. Mes muscles se contractent autour de son doigt. Elle en glisse un deuxième et commence à me doigter avec assurance, sa langue retrouvant la mienne.
Pendant ce temps, mon pouce droit trouve son clito, mon index et mon majeur s’enfoncent lentement en elle. Ses gémissements résonnent entre nos bouches.
La balle de match
Je m’arrête un instant : des voix d’hommes résonnent dans le couloir. Nous gloussons comme deux adolescentes prises en flagrant délit. Puis je reprends, mes doigts s’activant à un rythme plus rapide, plus profond, dans sa chatte humide. Elle, de son côté, trouve en moi ce point précis qui me fait vaciller. Un gémissement m’échappe, vite étouffé par sa main qui se plaque contre ma bouche. Elle accélère encore, ses mouvements précis et insistants me rendent folle. J’emboîte le pas : toujours plus vite, toujours plus intense. Nos lèvres se séparent, mais nos visages restent proches, presque collés, joue contre joue. Nous respirons fort, haletantes… et l’orgasme nous submerge presque en même temps. Nos corps se tendent, se crispent, puis se relâchent dans un même frisson.
À peine quelques secondes plus tard, la porte de la douche s’ouvre. Mon amie se faufile aussitôt sous son propre jet, l’air faussement détendu. Ses joues sont écarlates, ses yeux brillent. Je m’empresse de me laver les cheveux, comme si de rien n’était, quand deux autres femmes entrent.
— « Vous avez bien joué ? » lance l’une d’elles à mon amie.
Je me retourne, pour qu’elle ne voie pas que j’ai du mal à contenir un fou rire. Bien sûr, elle parle du match de tennis… mais la phrase prend un tout autre sens pour nous. J’entends mon amie retenir un éclat de rire avant de répondre, faussement innocente :
— « Oh oui… c’était un match délicieux. »
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