La protagoniste de l’histoire observe depuis sa chambre le menuisier en plein travail dans son jardin. Torse nu, concentré, les muscles tendus sous la chaleur… Il ne lui faut qu’un regard pour basculer dans un fantasme aussi brûlant que réaliste. Et si, au lieu d’être dehors, il se tenait derrière elle ?
Je m’ennuie, je suis terriblement excitée. En montant les escaliers, je pense au menuisier qui bosse dehors, juste sous mes fenêtres, sur la pergola. Ses bras musclés dépassent de son t-shirt, sa peau bronzée est couverte de tatouages. Il a les cheveux châtains, un peu en bataille, qu’il repousse souvent d’un geste rapide quand il essuie la sueur de son front. Il fait une chaleur à crever aujourd’hui, et la dernière fois que je l’ai aperçu depuis ma chambre, son t-shirt gris collait déjà à son dos, tâché de sueur. Comme il passe ses journées à tourner autour de la maison, je n’ose pas vraiment sortir. La radio est à fond, et depuis ma chambre, j’entends sa musique. Argh… Jean-Jacques Goldman ? Sérieusement ?
Travaux d’extérieur, plaisirs d’intérieur
Je fais glisser mes doigts le long de la commode en avançant lentement vers la fenêtre de ma chambre. J’ai une vue parfaite sur le jardin, là où le menuisier est en plein travail. Ma bouche s’entrouvre lorsque je réalise qu’il a retiré son T-shirt. Le tissu gris, trempé, repose en boule dans un coin. Son dos est large, puissant, et ses muscles roulent sous sa peau à chaque mouvement. Quand il soulève une planche ou frappe du marteau, ses biceps et triceps se contractent avec une précision troublante. Je glisse une main sur mon décolleté. Je porte encore mon peignoir… mais dessous, je suis entièrement nue.
Ce matin, quand j’ai ouvert la porte, j’ai vu son regard se poser sur ma tenue légère. Il ne pouvait pas deviner que je n’avais rien en dessous. De ma main libre, je défais lentement la ceinture de mon peignoir, qui s’entrouvre légèrement. Ma main descend vers mon ventre, puis s’arrête sur mon clitoris. Je me caresse doucement, paresseusement, sans quitter le menuisier des yeux. Son dos bronzé, ses gestes maîtrisés… Peu à peu, mes pensées s’égarent.
Vue imprenable
Il vient se placer derrière moi et me plaque doucement contre la fenêtre. Mes seins s’écrasent contre la vitre froide sous le poids de son torse. Les voisins doivent avoir une sacrée vue… Il halète à mon oreille qu’il a envie de me baiser. Une de ses mains glisse le long de ma taille, jusqu’à mon sexe. Il frôle mon clitoris du bout de ses doigts rugueux. Il sent que je suis déjà trempée, et sans attendre, il glisse un doigt dans ma chatte. Lentement, il le fait bouger d’avant en arrière, déclenchant un gémissement. Je sens son sexe rigide à travers son jean, contre mes fesses. Excitée et impatiente, je me décolle légèrement de la vitre et laisse tomber mon peignoir à mes pieds. Mon corps nu, offert en pleine lumière, semble l’enflammer. Je le regarde par-dessus mon épaule. Il me retourne d’un geste brusque, m’embrasse à pleine bouche.
Je passe mes bras autour de sa nuque pour l’attirer contre moi. Il saisit mes seins, les malaxe avec avidité. Mes tétons, durcis par le froid et l’excitation, pointent sous ses doigts. Il les pince, les taquine. Je laisse échapper un soupir aigu, incontrôlable. Nos baisers deviennent plus fougueux, plus passionnés. Il glisse sa langue contre la mienne, je la suce doucement. Je ressens une chaleur douce se répandre dans mon bas-ventre.
Les mains sur la vitre, le corps en feu
Soudain, il se détache de mes lèvres et se jette avec gourmandise sur mes tétons. Il les prend un à un dans sa bouche, les lèche, les suce, les mordille doucement. Chaque coup de langue déclenche une décharge jusque dans mon clitoris. Il me rend folle. Il s’agenouille, attrape ma cuisse qu’il cale sur son épaule, et commence à me lécher. Sa langue danse sur mon clito, dessinant des cercles, des lignes, des vagues. Le rythme est parfait. Je m’affale un peu plus contre la vitre, mes jambes tremblent. Il continue, précis, insatiable. Un doigt s’enfonce en moi, puis un deuxième. Il les fait glisser doucement à l’intérieur, tout en gardant sa langue sur mon point le plus sensible. Je sens l’orgasme monter.
— « Ne t’arrête pas… » je souffle entre deux gémissements.
Il continue. Sa langue, ses doigts, son souffle… Je perds pied. Et je jouis, violemment, les cuisses serrées contre ses épaules, les mains plaquées sur la vitre, le corps secoué par les spasmes.
Ses doigts sur moi, je m’abandonne
Dans un grognement animal, il repousse ma jambe. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits qu’il détache déjà sa ceinture et fait glisser son pantalon et son boxer d’un coup sec. Le tissu reste coincé autour de ses chevilles, ses grosses chaussures de travail encore aux pieds. Il me retourne à nouveau face à la fenêtre. Je sens son sexe dur contre mes cuisses nues. Il embrasse lentement mon cou, mes épaules, le haut de mon dos. Il me laisse reprendre mon souffle. Sa main revient, se pose sur mon ventre, puis descend lentement entre mes jambes. Il m’enlace pour atteindre mon clitoris. Il commence à effleurer les contours, teste ma chaleur, ma disponibilité. Il utilise ma mouille pour lubrifier ses doigts, qu’il fait glisser en va-et-vient sur mon clito. Ses gestes s’accélèrent. Je halète, tremblante.
— « C’est ça que tu veux ? » me murmure-t-il.
— « Oui… continue, s’il te plaît », je réponds, déjà essoufflée.
S’il continue à ce rythme, je vais encore jouir. Je lui demande d’appuyer un peu plus. Je sais exactement ce que je veux. Il garde le même rythme, mais augmente la pression. Haut, bas, haut, bas. Mon clitoris brûle sous ses doigts.
— « Continue… Je vais jouir », je lui ordonne. Je me laisse emporter par un deuxième orgasme, intense et explosif. Mes genoux cèdent, mais il me soutient d’un bras ferme. Il continue de me doigter jusqu’à ce que les dernières vagues de plaisir s’estompent. Je me retourne légèrement pour le regarder. Mes paupières sont lourdes, mes jambes encore flageolantes. Son regard est sauvage. Je sens son sexe dur chercher sa place entre mes cuisses humides. Ma peau est trempée de mon propre jus. Il presse doucement son gland contre ma vulve. Lui est encore sec, mais moi, pas du tout. Il frotte sa verge contre mes lèvres humides pour faire monter la chaleur. Et d’un coup de rein profond, il s’enfonce presque entièrement. Je respire fort, profondément, pour le laisser entrer, pour le sentir. Il pousse un gémissement, se retire à moitié, puis me pénètre à nouveau. Ses mouvements sont amples, puissants. Il m’écrase contre la vitre. Le froid sur mes seins me fait frissonner. Ses mains agrippent mes hanches, et il commence à me baiser plus fort. Je respire bruyamment en le suppliant de continuer.
Regarde-moi pendant que je te baise
Alors qu’il pose son menton sur mon épaule, je sens sa barbe râpeuse contre ma joue. Son odeur m’envahit : un mélange de sueur fraîche et de parfum épicé. En même temps, il va et vient en moi, plus fort, plus profond. Il s’ancre dans mes hanches comme s’il voulait me souder à lui. À chaque coup de rein, sa prise se resserre, il halète. Son menton me presse l’épaule, sa bouche est ouverte, ses dents serrées. Il me baise comme un animal, les reins en feu, la mâchoire tendue. Sa queue me donne un plaisir intense, limite douloureux. Quand il accélère le rythme, j’entends ses hanches claquer contre mes fesses. Le bruit m’excite. Il relâche ma taille une seconde pour me donner une fessée. Je sursaute, poussant un cri de surprise… puis je lui murmure de recommencer. Il me frappe encore. Et encore. Ma fesse est en feu, je sens déjà que la marque va rester. À chaque claque, il lutte un peu plus pour ne pas jouir. Il attrape mon menton entre son pouce et son index.
— « Regarde-moi pendant que je te baise », lâche-t-il d’un ton rauque. J’essaie de garder les yeux ouverts malgré l’extase. Mon clito pulse, en feu, encore gonflé par mes deux orgasmes. Il me pénètre plus fort, plus profond. Sa main tient toujours mon visage, ses yeux dans les miens, il est à bout.
— « Regarde-moi pendant que je te remplis », ordonne-t-il. Je le fixe, la bouche entrouverte. Il accélère encore, jusqu’à ce qu’il lâche mon menton et jouisse en grognant. Ses mains se relâchent, il sort de moi. Je sens aussitôt une grosse coulée chaude glisser le long de ma cuisse. Il en avait visiblement besoin. J’esquisse un sourire, puis jette un œil par la fenêtre. Il n’y a personne.
Et s’il avait tout vu ?
Je cligne des yeux, un peu sonnée. Une main sur mon clito, l’autre sur mon sein. Mon peignoir est grand ouvert, et je suis toujours debout devant la fenêtre. En baissant les yeux, je le vois : le menuisier, torse nu, encore concentré sur son travail. Je touche ma vulve : je dégouline. Mon clitoris palpite, je viens clairement de jouir. Mon dos est en sueur. Je porte mes doigts à ma bouche, entrouverte, et goûte ma mouille mêlé à la sueur salée. Mon autre main se pose sur ma joue, brûlante. Je suis encore un peu étourdie, surprise par l’intensité de mon propre fantasme. Je referme doucement mon peignoir et le noue à la taille. Je reste encore un instant à la fenêtre. Et soudain, il se retourne. Il lève les yeux… pile vers ma chambre. Vers moi. Il me voit. Il sourit, un air malicieux au coin des lèvres, et me salue d’un petit geste de la main.
Je sursaute, prise en flagrant délit, et lui réponds d’un signe timide, les joues en feu.
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