Claire a toujours eu un faible pour les femmes. Leurs gestes tendres, leurs regards complices, la douceur de leurs courbes… Elle ne peut s’empêcher de fantasmer devant une nuque délicate ou un sein qui se devine sous un chemisier. En dehors de son travail, elle organise régulièrement des réunions Tupperware à domicile. Un prétexte idéal pour papoter, rire, mais aussi pour observer, taquiner… et parfois séduire. Alors, quand une nouvelle collègue lui a demandé d’animer une soirée, Claire a vite compris que cette fois, il ne serait pas seulement question de boîtes en plastique.
Un jeudi après-midi pluvieux, une nouvelle collègue s’approche de mon bureau.
— « J’ai entendu dire que tu organisais des réunions Tupperware… ça tombe bien, je cherche un nouveau set de boîtes. »
Sa voix chaude, légèrement rauque, me sort de ma concentration. Je lève les yeux et tombe sur deux iris d’un bleu éclatant, bordés de longs cils chargés de mascara, sans doute appliqué à la va-vite ce matin. Ses cheveux blonds et volumineux effleurent ses épaules. Je sens mes joues s’échauffer alors que mon regard se perd un instant sur sa poitrine généreuse, prisonnière d’un chemisier bleu trop serré. Bien plus ronde et ferme que mon modeste bonnet. Ses talons la grandissent encore, soulignant ses hanches rondes et parfaitement dessinées. Un sourire discret m’échappe. Je profite du spectacle… et déjà, un frisson d’excitation s’installe dans mon ventre.
Invitation discrète, tension brûlante
Je réalise que je la fixe un peu trop longtemps. Je rougis, puis lui lance un regard espiègle. Elle l’attrape au vol et nos yeux s’accrochent… l’espace d’un instant, elle me scrute comme si elle me passait au scanner.
Assise à mon bureau, en sweat et pantalon large taille haute, je joue de mon sourire malicieux et arque légèrement les sourcils.
— « Tu veux parler des Happy Sets ? » Je lui adresse un clin d’œil. « Les fameuses boîtes Twist & Fresh, les sets multicolores, le verre doseur… »
Elle rit doucement, visiblement amusée, et bat des cils avec une lenteur gracieuse.
— « Qui t’a parlé de ça ? » je demande, intriguée.
— « Oh… une connaissance. Elle m’a dit beaucoup de bien de… l’atelier que tu as animé. Je suis curieuse… » souffle-t-elle, en jetant un regard autour d’elle pour vérifier que personne n’écoute.
— « Curieuse ? » je répète, faussement sceptique.
Ses joues se colorent aussitôt. Je prends un air sérieux :
— « J’organise des Tupperware parties réservées aux femmes. Invite tes copines, prépare boissons et amuse-bouches… je m’occupe du reste. »
Je fouille dans mon tiroir et sors une carte de visite. En prenant sa main, je la dépose dans sa paume.
— « Tiens. Si tu as besoin de quoi que ce soit, envoie-moi un message. Je passerai pour te présenter le matériel. »
Elle rougit encore et plonge ses yeux dans les miens. Après une brève hésitation, son autre main se pose sur la mienne. Une vague de chaleur m’envahit, les papillons dans mon ventre se déchaînent. Nos mains restent jointes bien trop longtemps, la carte de visite coincée entre elles comme un secret à peine voilé.
Le rendez-vous est pris
Ce soir-là, vers 23h, mon smartphone s’illumine sur ma table de nuit : « Salut Claire, tu es dispo ce week-end ? Bisous, Marie. »
Mon cœur fait un bond. J’attendais ce message. J’hésite un instant, puis je prends exprès mon temps pour répondre. « Quelle heure ? », je tape, volontairement sèche.
La réponse tombe aussitôt : « 20h30. J’ai invité mes copines. »
Elle ne mesure pas encore ce qu’elle vient d’organiser… mais le rendez-vous est pris. « Parfait. Je viendrai un peu plus tôt pour explorer le terrain », j’ajoute. « À bientôt, Miss Tupperware »
Je fixe encore l’écran, un sourire aux lèvres, et déjà les images affluent. Son chemisier trop serré, sa poitrine généreuse, ses joues rougissantes et ce regard coquin… Mon corps réagit immédiatement. Mes tétons se durcissent, ma culotte est trempée.
Je me caresse jusqu’à jouir en pensant à elle. Épuisée, je sombre dans un sommeil profond.
Un décor parfait pour la tentation
Samedi après-midi : c’est le grand jour ! Je prépare mon matériel Tupperware, me maquille avec soin et boucle longuement mes cheveux blonds. J’enfile une petite robe noire moulante… sans culotte. Mes fesses sont parfaitement mises en valeur, et rien que cette pensée me fait sourire. Je suis nerveuse, mais l’excitation prend vite le dessus. Chaque réunion Tupperware est un moment intense, et celle-ci promet d’être encore plus spéciale : après tout, c’est une collègue qui m’a invitée… une vraie première.
Un peu après 18h30, je prends la route. Sa maison est en lisière d’une grande forêt. Je doute un instant de l’adresse, puis un chemin sablonneux me mène jusqu’à un imposant portail. Un frisson me traverse. Quand j’appuie sur le bouton, le portail s’ouvre lentement. Derrière, une demeure immense se dévoile. Je reste bouche bée. Je n’aurais jamais imaginé que Marie vivait dans un tel endroit.
— « Tu es là ! Tu as trouvé facilement, ma belle ? » Marie m’accueille avec un sourire tendre, bien différente de l’image qu’elle donne au bureau. Sa veste cintrée épouse ses courbes, son pantalon noir allonge sa silhouette, ses lèvres rouges sont hyper sexy. Ses cheveux blonds, attachés en une queue-de-cheval soignée, dégagent son visage.
Son allure est à la fois classe et terriblement excitante. Je sens mes joues chauffer. Ma collègue cache sa poitrine sous sa veste… mais j’imagine déjà l’instant où je ferai glisser la fermeture éclair pour libérer ses seins dans mes mains.
Premiers frissons dans la cuisine
Le hall d’entrée est immense. Je dépose mon sac rempli de Tupperware au sol avant de la serrer dans mes bras. Nos corps se pressent l’un contre l’autre, et je sens la fermeté de sa poitrine généreuse contre mon buste. Elle sent divinement bon.
— « Dis-moi, tu as quel âge exactement ? » demande-t-elle soudain, un peu hésitante. Ses pupilles se dilatent tandis que son regard descend le long de ma robe.
— « Assez vieille », rétorqué-je avec un sourire en coin.
— « Tu sais… je suis un peu plus âgée que toi. »
Je me penche doucement vers elle, ma voix à peine murmurée :
— « Et alors ? Moi j’adore les femmes… et tu me fais tourner la tête. »
Elle rougit violemment, et pour briser la tension, on se met à faire le tour de la maison en parlant du travail. La cuisine est gigantesque, avec un îlot central immense.
— « Pose tes affaires où tu veux, tu as le temps de te préparer », dit-elle avec un sourire timide.
— « Ta cuisine est superbe… mais la fête se passe dans le salon, non ? »
Nous passons dans son salon moderne, où je commence à disposer mes produits avec application. De retour dans la cuisine, je sens qu’elle est encore tendue, comme indécise face à nos petits jeux au travail… et à ce que je suis venue provoquer ce soir. Je laisse ma main frôler la sienne. Elle ne la retire pas. Nos doigts s’entrelacent. Elle rougit, moi aussi. Alors je me rapproche, effleure sa chevelure, et dépose un baiser rapide sur ses lèvres. Elle marque une pause, puis revient vers moi, plus assurée cette fois. Nos lèvres se retrouvent, plus longtemps, plus fort. Mon ventre se noue sous l’effet de son magnétisme. Je l’embrasse à nouveau, passionnément. Nos langues s’enlacent. Je prends sa main et lui chuchote :
— « À quel point es-tu curieuse ? »
La dégustation commence
Marie me fixe avec cet air timide qui me fait fondre. Je l’embrasse à nouveau, mes doigts s’enfoncent dans sa chevelure que je libère d’un geste en retirant son élastique. Mes mains descendent le long de son dos, jusqu’à ses fesses rondes que je malaxe avec envie. Elle baisse la tête, pousse un petit gémissement… Ses soupirs doux me rendent folle d’excitation.
Je glisse sa veste de ses épaules en l’embrassant à pleine bouche. Sous le tissu, un sublime soutien-gorge en dentelle noire épouse sa poitrine. Impossible de résister : mes doigts trouvent les agrafes, je les défais rapidement pendant que ses gémissements s’intensifient.
— « Continue… » souffle-t-elle d’une voix rauque, alors que j’embrasse son décolleté. Ma bouche dépose une pluie de baisers entre ses seins avant de capturer ses tétons durs que je lèche avec gourmandise. Je descends lentement vers son ventre. Je dézippe son pantalon et le fais glisser d’un coup sec. Impossible de ne pas remarquer que sa culotte est déjà trempée.
— « Assieds-toi sur l’îlot de cuisine… » lui dis-je avec mon regard coquin.
Elle obéit aussitôt. Je couvre ses cuisses de baisers, remontant petit à petit vers son intimité. Ses yeux brillent de désir, elle me fixe avec un air implorant. Brusquement, elle plaque mon visage contre sa culotte humide. Je goûte ses effluves à travers le tissu, elle frotte sa chatte contre ma bouche.
— « Ahhh… oui… je te veux ! » gémit-elle, ses hanches s’agitant contre moi.
Je lève les yeux, la regarde malicieusement et attrape le tissu délicat entre mes dents pour le faire glisser lentement. Sa culotte tombe, dévoilant une toison blonde et une vulve déjà luisante. Je sors ma langue, la fais glisser sur son clito gonflé. C’est chaud, humide, délicieux… un goût sucré-salé qui me rend accro.
L’art de la faire gicler
Elle est si excitée qu’un gémissement lui échappe à chaque passage de ma langue sur son clitoris. Marie s’appuie en arrière, les bras tendus sur l’îlot, complètement offerte. Ma langue dessine des cercles sur son clito avant de descendre aspirer ses lèvres trempées.
— « Ahhh… coquine ! » gémit-elle, la voix brisée par le plaisir.
Je la pénètre avec la langue. Elle halète, crie presque, ses yeux mi-clos rivés aux miens. Puis j’insère lentement un doigt en elle, puis deux. Sa chatte est détrempée, son point G gonflé sous mes caresses. Ses hanches se cambrent, elle ondule, perd tout contrôle.
Je pousse le jeu plus loin, trois doigts, puis quatre, qui la pilonnent en rythme pendant que je lèche son clito avec frénésie.
— « Hmmm ouii… encore ! » hurle-t-elle, agrippant ma main comme pour ne pas sombrer.
Son corps entier se tend, rouge d’extase. Je sens ses muscles se contracter violemment autour de mes doigts. Et d’un coup, elle explose. Une giclée de mouille éclabousse ma bouche, son cri résonne dans la cuisine, elle m’écrase la tête contre sa chatte pour que je goûte son jus.
Quelle collègue torride ! Je ne l’aurais jamais imaginé ! Je la laisse reprendre son souffle, puis l’aide à descendre de l’îlot. Nos lèvres se retrouvent dans un baiser si passionné qu’elle en tremble encore. Moi aussi, je n’en peux plus : ma robe colle à mes cuisses trempées, ma mouille dégouline sans retenue. Mais l’heure tourne… ses copines vont arriver. On se rhabille, complices.
Quand les Tupperwares passent au second plan
Marie sort un plateau d’amuse-bouches du frigo, ainsi que quelques bouteilles de vin blanc. On échange un regard complice, on glousse encore, rouges et fébriles. Mais la sonnette retentit : les invitées sont là ! Je file m’installer dans le salon, mon discours Tupperware en main, histoire de me remettre dans mon rôle. J’entends Marie accueillir ses amies, puis une femme s’avance vers moi, la main tendue. Je serre la sienne, consciente de l’humidité encore présente entre mes cuisses… étrange sensation pour une première rencontre, mais délicieusement excitante.
— « Enchantée, je suis Agathe. C’est chouette que des jeunes comme toi organisent ce genre de réunions », dit-elle avec un sourire un peu naïf. Elle a une coupe de cheveux courte et brune, semble un peu plus âgée que Marie. Son pull sobre ne cache pas la courbe de ses seins, ce qui attise aussitôt ma curiosité. Ses lèvres fardées d’un rose flashy et ses yeux pétillants lui donnent un air à la fois sage et espiègle.
— « Moi, c’est Claire », je réponds avec un clin d’œil. « Petite, peut-être… mais plus vraiment une jeunette. » Elle rit et s’installe sur le canapé.
— « Oh, quel joli prénom ! » intervient une autre voix derrière moi. Je me retourne. Une brune à la robe rouge à pois vient de s’asseoir sans même se présenter. Ses cheveux tombent en cascade sur sa poitrine, grosse et provocante, que son décolleté met parfaitement en valeur. Mon regard s’y attarde malgré moi.
— « C’est Juliette, une autre amie. Elle a 38 ans », me souffle Marie en rejoignant le canapé.
Juliette me fait un signe de la main, un sourire paresseux aux lèvres.
— « Je suis crevée ce soir. Tu pourrais pas nous montrer juste les trucs les plus utiles ? » dit-elle.
Marie baisse les yeux et prend place entre ses deux amies. J’enchaîne alors avec les boîtes Twist & Fresh, les sets multicolores, puis le verre doseur. Les trois m’écoutent poliment au début, mais très vite, le vin blanc délient les langues. Elles plaisantent à voix haute sur les tailles de pénis. Seule Marie garde son attention sur moi. Enfin, pas vraiment sur mes explications : ses yeux ne me lâchent pas une seconde. Je soutiens son regard trop longtemps. On rougit toutes les deux. Mes yeux glissent alors d’Agathe à Marie, puis à Juliette et son décolleté affolant. Trois femmes sublimes assises face à moi. Et une seule pensée m’envahit : je les veux toutes les trois, nues.
Un public captivé
De gauche à droite, je détaille ces trois femmes mûres, tout en continuant ma présentation du verre doseur. Puis je sors discrètement un petit jouet rose… de quoi capter toute leur attention.
— « À votre avis, quelle est la longueur de ce stimulateur ? » Agathe et Juliette éclatent de rire, les yeux pétillants à cause du vin.
— « 15 cm ! »
— « Non, 18 ! » crie Juliette en riant. Les propositions fusent dans un joyeux brouhaha incontrôlable.
Alors, sans prévenir, je soulève ma robe juste au-dessus de mes fesses, dévoilant ma chatte nue et trempée. Silence immédiat. Agathe écarquille les yeux, surprise de voir que je ne porte pas de culotte. Marie me fixe avec un regard brûlant, et Juliette manque de s’étrangler avec une gorgée de vin blanc. J’esquisse un sourire coquin : elles voient bien à quel point je suis excitée.
Je ferme les yeux et laisse mes mains caresser mes seins, avant de les faire descendre lentement sur mon ventre… puis entre mes cuisses. Le jouet s’humidifie dès qu’il touche mes lèvres et glisse facilement à l’intérieur. Je l’enfonce profondément, un gémissement m’échappe. Quand je rouvre les yeux, elles me fixent toutes, fascinées. Agathe et Juliette ont même rougi. Je tends alors la télécommande du stimulateur à Marie. Elle n’attendait que ça.
En une seconde, le jouet vibre au fond de moi. Je caresse mon clitoris, robe relevée, puis je porte mes doigts mouillés à ma bouche pour les lécher.
— « Hmmm… plus vite ! » je gémit, et Marie augmente l’intensité.
Mon regard croise celui de Juliette, puis glisse vers son décolleté plongeant.
— « Vous m’excitez tellement… » je murmure.
Quatre femmes, un orgasme partagé
Soudain, Juliette se lève et vient s’installer sur les genoux d’Agathe, le dos collé contre elle. Les mains d’Agathe glissent aussitôt sur son ventre, pendant que Marie, excitée, caresse la poitrine de Juliette avec avidité. La scène est torride. Je gémis, incapable de contenir mon plaisir devant ces trois femmes mûres qui se touchent, s’explorent, se dévorent du regard. D’un coup, mon jouet vibre plus fort. Je masse frénétiquement mon clitoris, mes gémissements se mêlant aux leurs. Et là… je n’en crois pas mes yeux : Agathe a sa main enfouie dans la culotte de Juliette, qui gémit de plus en plus fort. Marie, elle, coupe brusquement le stimulateur en éclatant de rire. Je la fixe, haletante et frustrée. Je tends la main, m’approche d’elle docilement et m’installe sur ses genoux. On s’embrasse avec une fougue incontrôlable, et je tente d’attraper la télécommande. Elle me regarde avec malice, me fait languir… puis rallume le jouet. L’orgasme me foudroie. Je jouis violemment, longuement, entourée de trois femmes.
Nous finissons toutes les quatre sur le canapé à nous caresser et nous embrasser.
Moi, assise sur Marie ; Juliette, toujours sur les genoux d’Agathe, le visage écarlate.
— « Aaah… t’es vraiment une coquine ! » halète Agathe en la faisant jouir du bout des doigts.
Excitée à l’extrême, je fais glisser mon sextoy humide sur les lèvres entrouvertes de Juliette. Elle ouvre la bouche, gémissant, et je lui glisse le vibro entre les lèvres. Un râle rauque lui échappe alors qu’elle jouit violemment, son corps secoué de tremblements. Agathe la contemple, ravie, satisfaite de son œuvre.
Je retire le jouet de sa bouche, caresse doucement sa nuque et lui murmure d’une voix taquine :
— « On n’avait pas encore fait les présentations… Enchantée, moi c’est Claire. Bienvenue à ma Tupperware Party. »
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