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Sur la banquette arrière de la voiture

Histoire érotique : la banquette arrière

28 août 2025,

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Ils ont passé la soirée à se chercher du regard. Un sourire, une phrase, et le jeu de séduction s’installe. Plus tard, il lui propose de monter en voiture pour « faire un tour ». La route est calme, la nuit complice… Jusqu’à ce qu’un parking désert devienne le théâtre de toutes leurs envies.

Il devait être presque minuit quand il m’a proposé d’aller faire un tour. On venait tout juste de quitter un barbecue entre potes. Je le connaissais à peine. On s’était croisés quelques fois, sans vraiment se parler. Mais ce soir-là, c’était différent : depuis son arrivée, on n’avait pas cessé de discuter. Je suis montée dans sa voiture et on a roulé un moment. La radio était cassée, mais sa compagnie comblait largement le silence. On se jetait des regards brûlants qui voulaient tout dire. Il a fini par garer la voiture sur un parking plongé dans le noir. Seule la lumière de la lune dessinait nos silhouettes. On savait tous les deux ce qui allait suivre.

Je me suis approchée de lui, nos regards se sont croisés juste avant que je l’embrasse. Sa main s’est glissée derrière ma tête, l’autre m’a attirée contre lui. Il embrassait divinement bien. J’ai passé mes bras autour de son cou pour le coller à moi. Au début, c’était doux… puis ça s’est vite intensifié. Je me suis installée à califourchon sur ses genoux, sans cesser de l’embrasser. Il a reculé son siège pour que je ne sois pas coincée contre le volant. Il a posé ses mains sur mes hanches. J’ai commencé à onduler doucement contre lui. Il s’est laissé aller en arrière, les yeux rivés sur moi. Je sentais, à travers son pantalon, à quel point il avait envie de moi.

Chaleur sur la banquette

Il a ôté mon T-shirt et prit le temps d’admirer mes seins, joliment mis en valeur par mon soutien-gorge. Il a commencé à m’embrasser : d’abord la bouche, puis le cou, descendant lentement vers mon décolleté. En une seconde, il a dégrafé mon soutien-gorge et a embrassé mes tétons. Déjà torse nu, il a jeté un coup d’œil vers la banquette arrière.
— « Là-bas, on aura un peu plus de place »
Il m’a donné une petite tape sur les fesses pour m’inciter à m’y installer.

Il est venu s’asseoir à côté de moi et je me suis allongée à moitié sur lui. De cette position, il pouvait facilement atteindre la ceinture de mon pantalon. Très vite, sa main a trouvé ma culotte. En même temps, on s’embrassait avec passion et ma main est venue se poser sur son entrejambe. Il bandait fort. J’avais très envie de lui. Mes doigts ont trouvé le bouton de son pantalon, que j’ai ouvert en un instant. On s’est regardés pendant que j’attachais mes cheveux en queue-de-cheval, il savait bien ce que j’allais faire ensuite…

Guidée par ses mains

Je l’ai pris en bouche et j’ai commencé à le sucer lentement. Presque aussitôt, un de ses doigts s’est enfoncé en moi. Un gémissement m’a échappé, il a esquissé un sourire satisfait. J’étais trempée. Sa main s’est posée sur ma tête pour me guider, m’incitant à l’engloutir plus profondément. À bout de souffle, je me sens soulagée de sentir sa main agripper mes cheveux et les tirer vers l’arrière. J’ai à peine le temps de respirer qu’il vient poser ma bouche vers ses couilles.
— « Lèche-les », a-t-il ordonné d’une voix grave.
De l’autre main, il se masturbait, le regard brûlant de désir. Je voyais bien qu’il attendait ce moment depuis le début de la soirée, et qu’il savourait enfin ce qu’il voulait.
Je baladais ma langue sur tout son entrejambes, j’aspirais ses couilles mouillées par toute cette salive. J’ai profité de ce moment pour glisser ma main dans ma culotte. Elle était trempée. Mon clito brûlait d’excitation. Je me caressais, il s’en rendit compte…

— « Viens là… je veux te baiser. »
Il m’a embrassée avec intensité, m’a débarrassée de mon pantalon, puis m’a basculée à quatre pattes. Ses mains ont serré mes hanches et, d’un seul coup de reins, il m’a pénétrée. On a gémi tous les deux en même temps. Il a appuyé sur mon dos pour m’allonger, le visage contre la banquette. Une tape bruyante sur mes fesses et il s’est remis à me prendre avec force, encore et encore.

Très vite, j’ai senti l’orgasme monter. Il l’a perçu et s’est arrêté net. Il m’a redressée contre lui, son torse collé à mon dos.
— « Pas si vite », a-t-il soufflé à mon oreille.
Il m’a plaquée contre le dossier, de façon à ce que je puisse voir nos reflets dans la vitre arrière, puis s’est glissé à nouveau en moi. Son souffle chaud brûlait mon cou. Je me suis dit : je ne tiendrai jamais. L’orgasme m’a submergée une nouvelle fois, mais cette fois, il n’a pas ralenti. Alors je me suis laissée entièrement aller.

Tenir en haleine

Je me suis allongée sur le dos, encore secouée par l’orgasme. Il m’a observée quelques secondes, puis a posé son pouce sur mon clitoris. Il a appuyé doucement et commencé à faire des cercles lents. Vu son regard, il savait exactement ce qu’il faisait. Très vite, une nouvelle vague de plaisir a commencé à monter.
Il m’a adressé un sourire en coin, fier de son effet sur moi.
— « C’est bien, ma belle », a-t-il soufflé avant de m’embrasser tendrement.

— « À ton tour », ai-je chuchoté.
Je l’ai poussé en arrière et l’ai repris dans ma bouche. Ma langue a caressé son gland, avant de descendre un peu plus bas à chaque passage. Puis, j’ai de nouveau enrobé la totalité de sa bite entre mes lèvres. Il gémissait fort, sa main est revenue se poser sur ma tête. J’allais et venais à un rythme régulier. Ses doigts se crispaient dans mes cheveux, il me guidait pour l’avaler encore davantage. Ses gémissements se faisaient plus rauques : il approchait de l’orgasme.

Et c’est là que je me suis arrêtée net. Je l’ai fixé, un sourire taquin aux lèvres.
— « C’est vache, ça… », a-t-il lâché, mi-excité, mi-frustré.
— « Pas si vite », lui ai-je répondu avec un petit rire complice.

L’apogée

Je suis revenue vers son entrejambe et ai pris ses couilles dans ma bouche, l’une après l’autre. Sa main restait fermement posée sur ma tête, me guidant. Il m’a poussée un peu plus bas, juste derrière ses testicules, tout en se masturbant de l’autre main. J’ai accentué la pression de ma langue, ce qui l’a fait gémir plus fort. Ses doigts se sont resserrés dans mes cheveux pour me ramener à son gland, lisse et brillant. J’ai repris sa bite, bien dure, les veines bien dessinées, dans ma bouche. Cette fois, je ne l’ai plus lâchée. Amplitude, vitesse, intensité… c’est moi qui décidait de son apogée.

Tout son corps se raidit, parcouru par un spasme, puis un autre, de plaisir. Je savais que cette pipe le terminerait comme il voulait depuis le début de la soirée. J’ai envie de son sperme. Quelques mouvements de plus… et il a fini par jouir, enfin.

L’ambiance était moite dans la voiture, la condensation avait feutré les vitres. Nos corps encore brûlants essayaient tant bien que mal de revenir au calme. 

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Écrit par

Sally

Auteure
Sally est une créatrice de contenu engagée et passionnée. Son secret ? Une histoire captivante, des détails soigneusement choisis et une forte volonté d’éduquer sur la sexualité.

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