Histoire érotique : deux inconnues dans le train

Une histoire érotique qui commence dans un wagon tranquille… et déraille délicieusement. Entre secousses du rail et soupirs feutrés, cette rencontre inattendue entre deux femmes devient le théâtre d’un moment aussi chaud qu’inoubliable.

Une passagère splendide

Le trajet pour rentrer chez ma mère à Bordeaux est toujours trop long. D’habitude, j’en profite pour avancer un peu dans la lecture d’un livre… que j’ai évidemment oublié aujourd’hui. Résignée, je me mets donc à dévisager les autres passagers du train. Et là, je dois dire que je suis assez étonnée par ce que mes yeux découvrent. Juste en face de moi, une fille. Magnifiques cheveux bruns, joli corps mince, hanches délicates, mais surtout, un sourire capable d’exprimer quarante émotions à la fois. Son regard est très ouvert, presque magnétique, tandis que sa posture reste plus défensive, jambes croisées. Elle est véritablement à tomber.

À ma grande surprise, cette beauté me regarde avec de grands yeux verts brillants, mêlant curiosité et timidité. Cependant, elle détourne vite le regard dès que mes yeux cherchent les siens. Alors, naturellement, je tourne la tête vers la fenêtre du train.

Elle me dévisage

Les rails passent sur un pont. Soudain, mon cœur s’emballe : elle me regarde à nouveau. Et cette fois, on tangue légèrement avec les secousses du train… Nos regards se croisent. Et on se sourit timidement.

« Tara », lis-je sur son t-shirt. Les lettres se trouvent pile au niveau de sa poitrine. Mon regard descend naturellement… je dirais un bon bonnet B. « C’est ton prénom ? », je demande en regardant son t-shirt. Elle hoche la tête.

« Rose. » dis-je en lui jetant un clin d’œil. Que je regrette instantanément.

Tara sort un petit miroir de beauté de son sac et le tient devant elle. Elle sait que je l’observe. Elle sait aussi qu’elle est très jolie. « Je suis désolée de te demander ça, mais tu n’aurais pas du mascara par hasard ? J’ai oublié le mien… », demande-t-elle tout à coup d’une voix douce et calme.

« Un mascara waterproof, ça te va ? », je réponds en le tenant en l’air. Tara acquiesce et pendant que je me penche vers elle, elle décroise les jambes pour m’inviter.

Je caresse ses longs cheveux

De ma main droite, je caresse ses longs cheveux lisses et elle rougit légèrement. Mes doigts glissent dans sa chevelure douce et je sens son parfum délicat. Il sent la rose, le musc et le bois de santal. Puis, mes doigts suivent la ligne de sa mâchoire ronde et elle pose sa tête dans ma main. Ma main gauche entoure sa joue rougie tandis que de la droite, je lui maquille les cils. Brusquement, on tombe l’une contre l’autre avec les secousses du train. Nos fronts se touchent comme des aimants. Je laisse une malheureuse trace de mascara sur son front. J’humidifie mon pouce avec un peu de salive pour l’en débarasser.

Les yeux de Tara sont remplis de désir et je la regarde avec malice. Je sens qu’elle en a envie, je lui caresse la bouche à l’aide de ce même pouce. Elle l’embrasse doucement. C’est mon feu vert. J’embrasse ses lèvres. Ses lèvres pleines répondent doucement aux miennes.

Mes doigts glissent le long de son cou, s’y posent un instant pour en sentir la douceur. On s’embrasse encore, encore plus intensément. Je caresse ses joues et lui murmure à l’oreille : « Tara, tu es si belle… » Elle me répond avec un sourire timide.

Mes doigts cherchent les siens, on se caresse les mains.

« Tu veux me connaître un peu plus ? », je lui souffle à l’oreille. Elle hoche la tête. Avant même de réfléchir, je l’entraîne avec moi, toujours sa main dans la mienne. Je n’avais plus qu’un seul but en tête. Il fallait que je la découvre. Nous nous dirigeons vers les toilettes et là, je la pousse doucement contre le mur. On s’embrasse et nos langues se frôlent. Nos lèvres rougissent. Tara me regarde avec envie.

Je sens qu’elle en veut plus, même si elle ne sait pas trop comment. Elle n’a rien à faire, juste sentir ce que je lui fais. J’embrasse son cou tout doux et je masse ses seins par dessus son tee-shirt. Ma main se glisse sous le tissu. Je caresse ses tétons et les pince délicatement. Sa respiration s’accélère, et je descends doucement, caressant son ventre… Mes doigts glissent sur la toile rugueuse de son jean et effleurent l’intérieur de ses cuisses.

Les yeux de Tara supplient d’en avoir plus, elle bascule la tête en arrière. Lentement, j’ouvre le bouton de son jean et j’entends ses petits gémissements doux et charmants. Ma main glisse dans sa culotte en dentelle. Ses lèvres sont chaudes, douces et humides. Mes doigts caressent ses lèvres intimes. Avec l’index et le majeur, je les encadre et je les masse doucement. J’évite volontairement son clitoris.

Tara gémit et m’embrasse avec force.

Je mords doucement sa lèvre inférieure, puis j’embrasse son cou, son lobe d’oreille. C’est ce dernier qui la fait totalement craquer ! Ses bras m’enlacent avec ferveur, et nous sommes pressées l’une contre l’autre, en train de nous caresser. Mes doigts tracent lentement des cercles autour de son clitoris gonflé. Je veux tout sentir ! Je remarque que je suis moi-même déjà bien humide. « Continue, continue… doigte-moi ! », me supplie-t-elle en tirant sur mon bras quand je m’arrête un instant. « Hmmm… plus vite ! », gémit-elle doucement en se tortillant. Je suis trempée à mon tour, et je sens ses mains sous mon haut, repoussant mon soutien-gorge pour masser mes seins.

« Je te veux… »

Je m’entends dire d’une voix rauque, tandis que mes doigts glissent enfin sur son clitoris en ébullition. Tara hoche la tête, ferme les yeux, et se tord lentement sous mes caresses. J’écrase ma bouche contre la sienne et donne de petits coups sur sa vulve trempée. Sa respiration s’accélère et elle m’embrasse passionnément, nos langues dansent ensemble. Tara pince mes tétons avec malice, et de ma main libre je guide la sienne vers mon pantalon. Elle comprend tout de suite et caresse mes jambes, tentant d’ouvrir ma braguette. Elle n’y parvient pas à cause de nos mouvements, alors je l’aide un peu. Soudain, je sens sa main chaude contre ma chatte mouillée.

Que c’est bon ! « J’en peux plus Rose, je te veux en moi ! », gémit Tara fort. Je n’ai plus aucune conscience du fait que nous sommes debout dans un train, à nous doigter… Pour dire la vérité, je m’en contrefous. Je suis avec une inconnue magnifique ! Je presse plus fort mes lèvres contre les siennes pour que son souffle et ses gémissements se fondent en moi. Et les miens en elle.

Je mords doucement sa lèvre et Tara entrouvre les yeux un instant. Elle réalise aussi que nous sommes en train de faire l’amour dans un train et étouffe un peu ses sons. Ses doigts massent mon clitoris. Moi aussi, je me surprends à gémir doucement. J’enfonce mes doigts dans sa chatte trempée, elle se cambre et se plaque contre le mur pour ne pas tomber. Avec mon pouce, je masse son clitoris et avec l’index et le majeur, je stimule sa zone G au même rythme.

Elle jouit si fort

Nos gémissements et nos regards brûlants se mêlent, là, dans ce train. Deux inconnues, et pourtant j’ai l’impression de la connaître depuis toujours. Je me sens si exposée, alors que nos vêtements sont encore en place. Tara tressaille et je sens qu’elle est sur le point de jouir… j’accélère le rythme et masse sa zone G plus fort. Je sens sa langue mollir dans ma bouche, ses yeux se révulsent.

« Ahh… Ahhh… Aaaaaaaah ! Aahhhhhhh ! » Ses gémissements se déversent dans ma bouche pendant qu’on s’embrasse. Je sens son corps chaud trembler contre le mien. Peu à peu, son souffle se calme, et je lui adresse un sourire tendre. Tara me regarde intensément et dit : « Waouh ! Je n’ai jamais ressenti ça avant… »

Je rougis et la serre fort dans mes bras. Mes doigts glissent dans ses cheveux et je dépose un baiser sur sa joue. Si seulement chaque trajet en train pouvait être comme celui-là…

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