J’ai un chalet de famille dans les Alpes, et depuis toujours j’y passe les fêtes entourée des miens. Mais cette année, j’ai décidé d’arriver un peu plus tôt. Quelques jours volés avant l’agitation, pour télétravailler au calme… et surtout pour retrouver Nathan.
Retour dans les Alpes
Nathan, mon voisin d’autrefois, dont les parents ont un chalet dans la même station. Huit ans sans se croiser. Je savais qu’il voyageait beaucoup pour son travail, qu’il ne venait pas toujours passer Noël à la montagne. Et puis, presque par hasard, nous avons repris contact sur LinkedIn. Un message, puis un autre. Les numéros échangés. Depuis quelques semaines, on s’écrit tous les jours. On se cherche, on se taquine…
Alors je lui ai proposé de venir passer quelques jours avec moi au chalet. Juste tous les deux. Avant l’effervescence des fêtes, avant l’arrivée des familles et le ballet des valises. Quelques jours suspendus, dans le froid dehors… et une chaleur prometteuse à l’intérieur 🙂
Je lui ai proposé un petit jeu. Un jeu simple, presque innocent en apparence : je l’accueille dans mon chalet et on s’embrasse immédiatement, sans un mot. Pas de salutations, pas de phrases pour briser la tension. Juste nos bouches. Il a accepté sans hésiter. Depuis, je sens l’excitation monter, diffuse, persistante.
Arrivée au chalet
J’arrive à la gare vers 11 heures. Je monte dans un taxi. Il neige doucement, tout est silencieux, feutré. Le paysage est magnifique. Je retrouve instantanément cette atmosphère de vacances, un parfum d’enfance mêlé à quelque chose de nouveau, de plus trouble.
À travers la brume, je distingue enfin mon chalet. Le taxi me dépose devant la porte. Je sors ma grosse valise, la tire dans la neige jusqu’au porche. Quand j’ouvre la porte, l’odeur du bois m’envahit, chaude et réconfortante.
Quelques minutes après mon arrivée, j’allume un feu dans la cheminée. Il fait glacial dehors, et Nathan n’arrivera que dans quelques heures. J’ai le temps. Le temps de savourer l’attente.
Attente
Sous mes vêtements, j’ai enfilé un ensemble de lingerie que j’aime particulièrement. Je me surprends à envisager de l’accueillir ainsi, sans artifices, sans détour. J’ai aussi lancé le jacuzzi derrière le chalet, face aux sapins immobiles, caché du monde. Tout est prêt. Il ne manque plus que lui.
14h : il ne va pas tarder. J’ai simplement reçu un message de sa part : « j’arrive, prépare-toi ».
Le chalet est maintenant réchauffé. Je me mets derrière la porte, avec mon ensemble en dentelle et un petit masque sur le visage.
Retrouvailles muette
Il frappe, je lui ouvre. On se saute dessus, laissant sa valise sous le porche, à l’extérieur.
>On ne se parle pas. On s’embrasse comme si on avait toujours fait ça. Nos gestes sont tellement fluides et sensuels.
Il commence par se déshabiller rapidement. Son torse glacé me fait durcir les tétons. Il me serre très fort et me bascule sur le canapé, en face de la cheminée qui crépite fortement.
Sa bite dure me fait de l’effet. Comme on ne se dit rien, nos corps se découvrent sans un mot. Il est beau, grand, élégant. Nos regards sont tellement intenses.
J’enlève ma dentelle pour accélérer. J’ai envie qu’il me doigte ; je prends sa main pour lui suggérer, pendant que je commence à le toucher.
Il m’attrape les tétons avec sa bouche et me mord intensément les seins. J’adore ça.
Un premier gémissement
Un premier gémissement s’échappe de nos bouches. On se regarde en rigolant, impossible de ne pas réagir. Je suis toute mouillée et je sens qu’il est impatient qu’on passe à la deuxième.
Il commence à frotter sa queue contre mon pubis et mon clito, faisant des va-et-vient comme s’il me pénétrait.
Je l’embrasse, en enroulant mes deux mains autour de son cou. C’est si bon.
D’un seul coup, il me pénètre. Je sens sa grosse bite profondément. Il écarte mes jambes, entame des va-et-vient, et m’embrasse les pieds, me lèche… J’adore ça.
Il est super concentré et me pénètre très sérieusement. Ses yeux m’excitent.
Un jeu excitant
Une première phrase sort de ma bouche : « Prends-moi en levrette ».
Il me retourne sans un mot, me prend les fesses, les écarte et continue de me baiser ainsi, face à la cheminée. Quel spectacle… Si j’avais su qu’on aurait une telle connexion, je l’aurais recontacté plus tôt. Je n’ai pas envie que ça s’arrête.
Soudain, j’entends sa voix, pour la première fois en huit ans : « Je peux te faire un cuni ? »
Je hoche la tête. Il me lèche la chatte tout en se touchant. Je me touche les seins et le regarde m’embrasser ainsi. Je ne veux pas que ça se termine.
Il sent que je vais arriver. Mon corps commence à en manifester les signes, mes gémissements ne peuvent plus tromper. Je ne dis rien. Ses coups de langue s’intensifient et je sens l’orgasme monter en moi.
A son tour
Wow, c’est si intense. On a à peine communiqué, mais il m’a fait jouir comme jamais. Je comprends qu’il a envie de venir aussi, mais il me propose un dernier jeu pour y parvenir :
« Touche-toi devant moi, essaie de venir à nouveau, ne dis rien et je me branle devant toi. »
Il se met debout devant le canapé, sur le plaid en moumoute. J’arrive à peine à me remettre de cet orgasme. Je le vois devant moi, il prend sa queue entre sa main et me regarde en se branlant. Nos regards se disent qu’on a envie de se bouffer.
Je me touche devant lui, lèche mes doigts, effleure mon clito, me touche les seins. Je lui fais un spectacle sensuel à ma façon pour le faire jouir.
Devant lui
Je me doigte, un doigt, puis deux…
Il se branle de plus en plus fort. Je sens que ça ne va pas tarder, alors je me mets à genoux, rassemble mes seins devant lui et, d’un coup, il éjacule avec puissance. J’en ai partout sur mon corps, son sperme dégouline entre mes seins. Je l’entends gémir fort, ça résonne dans tout le chalet.
On finit dans le jacuzzi ? » lui dis‑je, pour faire connaissance.
Quelle belle manière de se détendre avant les fêtes…
Ma famille n’arrive que dans deux jours, et j’ai déjà l’impression que d’autres moments brûlants nous attendent.
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