Romain n’imagine pas encore jusqu’où Sarah le poussera ce soir. Ses messages audacieux ne sont que le début d’un jeu où le désir se mêle au contrôle absolu. Sous les ordres de Sarah, chaque mouvement devient un supplice délicieux. Préparez-vous à une soirée brûlante…
Après une journée épuisante, Romain termine enfin son travail. Avec plusieurs contretemps enfin réglés derrière lui, il meurt d’envie de rentrer. Sa copine, Sarah, l’attend à la maison, et l’idée de la retrouver lui tire un sourire fatigué. Il a travaillé trois heures de plus que d’habitude, et ses muscles protestent à chaque mouvement. Juste avant de ranger ses affaires, son téléphone vibre : un message de Sarah
« T’as bientôt fini chéri ? Tu rentres vers quelle heure ? »
Il répond rapidement qu’il termine et qu’il prendra le métro pour rentrer.
Quelques minutes plus tard, un nouveau message le fait froncer les sourcils. « Tu dois enlever ton caleçon et rentrer sans. Si tu le fais, tu auras une récompense. Et oui : je veux une preuve en route. »
Romain hésite. Il est toujours en tenue de travail : chemise et chino doublé de satin, impeccable malgré la fatigue. L’idée de ce qu’elle lui demande fait battre son cœur plus vite, il est partagé entre le doute et l’excitation.
Puis un autre message arrive. « Je n’ai rien reçu. Si tu ne le fais pas, ne compte pas sur moi pour faire du cul ces prochains jours. » accompagné d’une photo qui le fait rougir : Sarah baisse sa culotte juste assez pour exciter son imagination, sans rien révéler de trop. Un frisson le traverse.
« Tu dois enlever ton caleçon et rentrer sans »
Avec une excitation brûlante, Romain se dirige vers les toilettes et enlève son boxer. Le satin glissant contre ses fesses et son entrejambe, stimulant chaque fibre de son corps. Il prend rapidement une photo, range le boxer dans son sac, puis l’envoie à Sarah. Le cœur battant, il quitte le bureau et commence le trajet jusqu’à l’entrée du métro, sentant chaque mouvement amplifié par l’absence de sous-vêtement. Chaque pas, chaque froissement du satin contre sa peau éveillent son désir, et il doit maintenir son membre naissant dans sa poche pour éviter de dresser une tente trop visible.
Une fois dans la rame, un nouveau message de Sarah lui ordonne d’envoyer une autre photo. Romain la prend, aussi discrètement que possible, capturant la bosse de son pantalon, et l’envoie. Le trajet semble durer deux fois plus longtemps que d’habitude : la foule, les secousses du wagon, tout contribue à exciter son corps impatient. Devant lui se tient une secrétaire typique de la Défense, jupe courte et talons hauts, et la vue de ses jambes n’arrange rien. Craignant de la frôler accidentellement avec son sexe maintenant bien dur, il le maintient contre lui dans sa poche, restant debout, faussement nonchalant, tandis que l’excitation le consume intérieurement.
La foule, les secousses du wagon, tout contribue à exciter son corps impatient
Il arrive enfin jusqu’à chez lui. Il ouvre la porte et entre. Rien de spécial, pense-t-il, jusqu’à ce qu’il retire manteau et chaussures et pose le pied dans le salon. Là, Sarah est assise sous une couverture sur le canapé, le regardant avec des yeux à la fois fiers et provocants. Partout autour, des bougies diffusent une lumière chaude, et une belle bouteille de vin trône sur la table.
— « Alors ? Tu as vraiment fait ce que je t’ai demandé ? » demande-t-elle d’une voix curieuse.
Romain hoche la tête avec assurance. Sarah lui fait signe de baisser son pantalon. Il obéit et lui montre ses fesses nues.
— « Bien joué », murmure-t-elle, se levant avec la couverture encore tenue comme un drap devant elle. Lorsqu’elle arrive juste devant lui, elle lui fait un clin d’œil approbateur avant de laisser tomber le plaid. Romain reste figé, émerveillé par la beauté qui se tient devant lui.
Sarah porte des talons noirs brillants, une jupe patineuse en simili cuir qui ondule joliment et un top satiné noir qui souligne parfaitement sa poitrine. La chaleur lui monte aux joues, et son corps réagit immédiatement : son sexe se tend et pointe fièrement. Sarah glisse sa main sur sa joue, puis dans ses cheveux, le regardant avec une intensité folle. Elle lui enlève ensuite sa chemise et l’enlace un instant avant de lui demander de fermer les yeux.
Elle passe derrière lui, et Romain sent le cuir froid de sa jupe effleurer ses hanches. Sarah se dirige vers la grande table, prend un bandeau et une paire de menottes, puis revient vers lui. Elle lui tire les bras dans le dos avant de lui poser le bandeau sur les yeux.
Sarah lui ordonne de s’asseoir sur une chaise placée derrière lui. Elle attache ses mains derrière le dossier, puis s’assoit sur ses genoux. Ses doigts caressent ses cheveux, ses lèvres embrassent son cou et sa bouche effleure la sienne. Romain est complètement envoûté, sentant chaque mouvement, chaque souffle. Il remarque que Sarah ne porte rien sous sa jupe et que son excitation est tout aussi visible que la sienne, sa chatte humide pressée contre lui. Sa bouche descend lentement le long de son ventre et de ses hanches, s’attardant sur son sexe dur, le faisant frémir sur la chaise.
Elle attache ses mains derrière le dossier, puis s’assoit sur ses genoux
Puis elle s’arrête soudainement et ordonne à Romain de se lever. Elle détache les menottes et replace ses mains à l’avant pour les y attacher.
— « Mets-toi à quatre pattes », dit-elle d’une voix ferme. Toujours les yeux bandés, il obéit, se met à genoux, les mains posées au sol devant le canapé. Il entend ses pas s’éloigner, le cœur battant, l’impatience et l’excitation montant encore d’un cran. Un instant plus tard, elle revient et glisse ses mains sur ses fesses et le long de ses cuisses.
Romain sent alors un liquide frais couler sur le bas de son dos, descendant lentement entre ses fesses. Son anus est effleuré par un doigt habile, puis il sent un objet arrondi s’insérer lentement. Pendant que l’autre main de Sarah stimule ses testicules et son sexe, le faisant gémir.
Soudain, un souffle glacé parcourt son dos, lui donnant la chair de poule. Quelque chose de frais se dépose sur lui comme un drap : Sarah est en train de le draper d’un tissu rouge en vinyle. Elle le dispose délicatement pour qu’il soit bien en place sur son corps, comme une nappe. Au centre de son dos, elle pose un verre à moitié rempli d’eau.
— « Si tu le fais tomber, pas de sexe », dit-elle d’une voix douce mais sensuelle. Romain n’ose plus bouger ni respirer.
— « Tu m’as bien comprise ? » insiste-t-elle, plus dure.
— « Oui, chérie », répond-il, le souffle court et le cœur battant.
Elle soulève le verre un instant et tire légèrement sur son sexe. « C’est « Madame » pour toi maintenant ! » murmure-t-elle, et Romain sent son excitation monter encore d’un cran, totalement à sa merci.
Romain sent alors un liquide frais couler sur le bas de son dos, descendant lentement entre ses fesses
— « Oui, Madame », dit-il soumis, et elle remet le verre à sa place.
Romain entend Sarah s’asseoir sur le canapé, tandis qu’il reste immobile. Elle pose un pied sur sa nuque et l’autre sur son dos, ses talons brillants exerçant une pression délicieuse sur lui. Par moments, il entend le léger crissement de sa jupe et sent ses pieds bouger sur son dos, chaque effleurement lui tirant des frissons.
La tension devient presque insupportable, et il bouge légèrement.
— « J’ai dit que tu ne devais pas bouger », ordonne Sarah d’une voix ferme, tout en tapotant doucement le plug avec son talon. Les sensations sont intenses, son sexe est si dur que ça en devient presque douloureux, et chaque seconde semble durer une éternité.
Le verre est enfin retiré de son dos, et Romain reçoit une caresse approbatrice suivie d’une petite tape sur les fesses. Sarah en profite pour vérifier que le plug est encore bien en place. Puis il entend un bourdonnement venant du canapé, suivi des talons tombant au sol et des pieds nus de Sarah revenant caresser ses tempes. Elle lui ordonne de rester dans la même position, immobile.
Le bourdonnement devient plus fort, mêlé à des soupirs et gémissements. Sarah se donne du plaisir avec son vibro, tandis que Romain reste à quatre pattes sous le drap, à l’écoute de chaque mouvement. Il peut désormais bouger un peu plus, mais se contient encore, conscient que chaque contact reste un supplice délicieux. Les pieds de Sarah glissent sur son dos, sa nuque et ses fesses, sans jamais passer sous le drap. La combinaison de ses caresses et du vinyle qui le recouvre lui procure un plaisir étouffé.
Les gémissements de Sarah s’intensifient, et Romain sent son corps vibrer avec le sien. Lorsqu’elle atteint enfin l’orgasme, ses pieds s’immobilisent sur sa nuque, repus, laissant Romain haletant sous le drap, encore en plein désir.
Sarah se redresse, encore essoufflée, et s’assoit sur le dos de Romain. Il sent immédiatement la chaleur de ses fesses et de ses cuisses, et la sensation de sa chatte humide à travers le drap l’excite encore plus. Elle commence à glisser sur lui, le caressant partout, ses mains et ses cuisses explorant chaque courbe.
D’une voix basse, elle murmure : — « Tu me veux déjà ? »
Romain répond d’une voix suppliante : — « Oui… »
Sarah sourit contre sa nuque et le caresse de nouveau jusqu’aux fesses, jouant avec le plug une dernière fois avant de descendre vers ses testicules et son sexe. Ses mains expertes le branlent lentement, explorant chaque tension accumulée, et Romain se met bientôt à trembler, ses hanches cherchant instinctivement à suivre le rythme.
Puis Sarah s’allonge sur le dos à côté de lui, défait les menottes sous le drap et l’attire sur elle. Leurs corps forment une sorte de tente où ils se retrouvent enfin en contact direct. Elle saisit son sexe encore dur, le caresse quelques instants, puis le guide doucement dans son oasis humide. Romain, toujours les yeux bandés, savoure chaque sensation, chaque friction. L’excitation est telle qu’il sent qu’il pourrait jouir à tout instant, et Sarah, attentive à sa respiration haletante et à ses mouvements, remarque son impatience avec un sourire complice.
Sarah s’allonge sur le dos à côté de lui, défait les menottes sous le drap et l’attire sur elle
Elle pose une main sur son pubis et le repousse doucement.
— « Tu crois quoi ? » dit-elle d’un ton ferme. Elle le guide sur le dos et s’assoit sur lui, reprenant le contrôle avec une aisance incroyable. Ses mains massent encore un peu sa queue avant de la faire glisser à nouveau dans sa chatte, et Romain gémit sous la pression et la chaleur délicieuses.
Sa jupe brillante virevolte sur ses hanches, les plis recouvrant à peine le haut de ses cuisses. Elle commence à le chevaucher lentement, puis s’arrête un instant pour caresser son torse, sa poitrine, son cou, jusqu’à sa tête. Elle retire le bandeau de ses yeux, et Romain cligne pour s’habituer à la lumière, découvrant Sarah retirant son haut. Maintenant vêtue uniquement de sa mini-jupe en vinyle, elle reprend son rythme.
Plus fort, plus intensément, elle fait rouler ses hanches contre les siennes. Romain saisit ses magnifiques seins et les masse, ses mains glissant le long de ses hanches. Il admire chaque mouvement, chaque frisson, chaque détail, ressentant un plaisir qu’il n’avait jamais connu.
Sarah accélère encore, sentant son sexe se remplir et la chaleur de son orgasme imminent. Romain explose, frissonnant de plaisir sous sa jupe, le plug accentuant chaque sensation. La domination de Sarah lui procure un sentiment d’euphorie absolue, et elle atteint à son tour un orgasme intense, aspergeant son bas-ventre.
Ensemble, ils ne forment plus qu’un, tombant finalement au sol, comblés et profondément heureux.
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