Venue pour un simple entretien parents-prof, elle pensait passer dix minutes banales à parler de cahiers et de bulletins. Mais en entrant dans la salle, elle surprend une scène brûlante entre le professeur et une autre mère… Une découverte troublante qui réveille en elle un désir qu’elle n’imaginait pas, et l’envie irrésistible de se joindre à eux.
Je marche dans le couloir de l’école, un peu ennuyée. En soupirant, je cherche la bonne salle pour l’entretien de dix minutes avec le professeur de mon fils. Malheureusement, mon ex ne pouvait pas venir, donc c’est moi qui représente les parents aujourd’hui.
Mon fils m’avait demandé d’en profiter pour récupérer sa trousse oubliée dans le tiroir de sa table. Sinon, il devrait s’en passer tout le week-end. J’ai réussi à retenir une remarque sarcastique, je lui ai fait un câlin rapide avant que la baby-sitter n’arrive et je lui ai promis que je m’en occuperais. Mon fils est un petit garçon sensible, et ce n’est pas de moi qu’il tient ça.
J’arrive devant la salle, frappe doucement, mais aucune réponse. On dirait que le professeur de CM2 n’est pas encore là. Je souris malgré moi. Ce n’est jamais désagréable de se retrouver en face de cet homme. Il est très attirant, et en plus, formidable avec les enfants. Je me reprends rapidement : je ne suis pas venue pour ça.
C’est vrai que j’ai un quart d’heure d’avance. Alors, autant régler tout de suite l’affaire de la trousse avant d’oublier. J’entre, referme la porte derrière moi. Comme toujours, son bureau trône au fond, près de la fenêtre. Je m’y dirige d’un pas rapide, tire sur le tiroir… un peu trop fort. Tout le contenu s’éparpille bruyamment au sol : stylos, feutres, gommes. « Merde », je jure à voix haute. Je remets précipitamment le tiroir en place et me laisse tomber à genoux pour ramasser le désordre. En rassemblant tout à la hâte, je décide de fourrer le tout dans mon sac à main. Tant pis, mon fils triera lui-même à la maison.
Prise en flagrant désir
Accroupie sous le bureau, absorbée par le ramassage des stylos, je ne prête aucune attention au reste de la pièce. Mon sac est déjà à moitié rempli de crayons quand un bruit me fait lever la tête. Et là… mon cœur s’arrête. Ils sont là. Dans cette salle, à quelques mètres de moi, je ne les avais même pas remarqués en entrant. Le professeur, adossé contre son bureau, embrasse fougueusement la mère du meilleur ami de mon fils.
Je reste figée, incapable de respirer. Mes joues s’embrasent tandis qu’une chaleur brutale m’envahit le bas-ventre. Leurs lèvres se dévorent, et déjà les mains du maitre glissent sous son chemisier pour le faire passer par-dessus la tête blonde. Sa poitrine se dévoile, son dos musclé se tend sous ses caresses. Un frisson me traverse. Je sens ma main descendre d’elle-même sous ma jupe. Mon string est trempé par l’excitation soudaine. Le souffle court, j’essaie de rester silencieuse, mais un gémissement discret m’échappe quand je les vois s’abandonner.
Elle, a la robe roulée à la taille, lui baissant son pantalon, ses doigts fermement refermés autour de sa queue déjà dure… la scène est brutale, indécente, et pourtant je n’ai pas la meilleure vue, mais c’est suffisant pour me rendre folle. J’ai peur qu’ils m’entendent, peur d’être découverte. Je suis tellement excitée et je ne veux rien manquer.
Une invitation
Lentement, je me redresse et avance de quelques pas dans la pièce. Cette fois, je les distingue nettement de côté. Sa main va et vient sur sa bite gonflée, si raide qu’elle semble presque trop large pour sa paume. Je me mords la lèvre inférieure, hypnotisée. Mon Dieu… elle est énorme. Elle continue de le branler de plus en plus vite. Il gémit sous ses caresses.
Je sens que je mouille encore plus, mais une autre émotion me traverse : la jalousie. Je le veux moi aussi. Je veux sentir son corps en moi… et je veux la toucher, elle. Elle déchire un préservatif qu’elle enfile d’un geste habile sur sa queue tendue. Une fois enfilé, elle le guide en elle, s’ouvrant avec un soupir de plaisir. Il commence à la pénétrer d’un rythme lent mais puissant.
Je n’arrive plus à rester en retrait. Tremblante d’excitation, je m’avance vers eux. Le claquement sourd de ses coups de reins remplit la salle, rythmé par leurs gémissements.
Soudain, son regard accroche le mien. Il me sourit, un sourire lourd de désir, et me fait signe d’approcher. Elle tourne aussi la tête, ses yeux embués se posent sur moi. Ils échangent un bref regard, un signe de connivence, puis elle hoche légèrement la tête au moment même où il s’enfonce plus fort encore en elle.
Je ne peux plus lutter : je caresse mes seins par-dessus mon chemisier, la gorge traversée par un gémissement incontrôlé. Mon souffle se saccade quand je m’approche enfin, me plaçant derrière elle. Alors qu’elle s’abandonne à ses va-et-vient, elle attrape mes poignets et guide mes mains directement sur sa poitrine. Ses seins chauds et gonflés emplissent mes paumes, et un long gémissement m’échappe.
Dix minutes interdites
Il pose une main sur ma bouche et me tire contre lui.
– « Pas un bruit », souffle-t-il à mon oreille avant de mordiller mon lobe. Il a raison : il y a sans doute déjà d’autres parents dans le couloir. Je pétris ses seins avec avidité, puis je prends son téton entre mes lèvres, le suçotant tandis qu’elle gémit doucement. Mes yeux glissent vers l’endroit où sa queue s’enfonce en elle, et je sens la chaleur m’envahir. Je descends ma main le long de son ventre, trouve son clitoris et commence à le caresser. Elle ouvre mon chemisier, libère mes seins et les malaxe avec force, tirant sur mes tétons jusqu’à me faire gémir. Il m’attrape le menton et m’embrasse avec passion. Je suis totalement submergée.
Ses coups de reins se font plus puissants, elle se tord de plaisir et jouit doucement, ses contractions me traversent comme une décharge. Je l’embrasse à pleine bouche, avide de goûter son extase. Je suis jalouse de son plaisir.
Puis une main glisse sous ma jupe. Son grognement rauque me fait frissonner : il découvre à quel point je suis trempée. J’ai besoin de lui en moi.
Il murmure alors :
– « Vos dix minutes sont écoulées… C’est au tour de la mère suivante. » Sa voix est douce et autoritaire à la fois. Je sais immédiatement qu’il parle de moi. Il enlève la capote pour en mettre une neuve. Je me mets à genoux et j’enfonce sa bite profondément dans ma bouche. D’une main, je pétris ses couilles et de l’autre, je presse ses fesses pour l’attirer toujours plus profondément.
L’orgasme final
Je l’entends murmurer un « Oh, mon Dieu » rauque avant de me tirer lentement vers le haut. Pendant qu’il m’embrasse, elle se baisse et se glisse entre mes cuisses. Sa langue se pose sur mon clitoris. Lorsqu’elle me mord légèrement, une vague de plaisir m’emporte et je jouis violemment, mon corps vibrant de la tête aux pieds. C’est tellement puissant, j’ai l’impression de perdre la tête. La jolie blonde, se lèche les babines, se relève en me mettant une fessée.
Je reprends à peine mon souffle que je le sens me pénétrer d’un seul coup, puissant et brutal. Un cri m’échappe, aussitôt étouffé par ses lèvres qui se posent sur les miennes. Je suis perdue entre douleur délicieuse et jouissance pure.
Il me prend plus fort, plus vite. Je suis trempée, il glisse en moi comme si mon corps l’avait toujours attendu. Son sexe énorme me remplit totalement, frappant chaque fois mon point G. Elle, penchée sur moi, me mordille les seins et joue avec mon clitoris d’une main experte, ses seins lourds effleurant mon visage. Mes mains s’agrippent à ses tétons que je pince tandis que ma gorge se brise en gémissements étouffés.
L’orgasme monte en flèche, irrépressible. Je jouis à nouveau, mes spasmes serrant sa queue à chaque poussée. Lui aussi approche, je le sens à sa respiration et à la brutalité de ses coups de reins. Quand il explose en moi, je bascule avec lui dans une jouissance si intense que j’en tremble de tout le corps, incapable de savoir où je suis.
Puis, soudain, l’alarme retentit. En quelques secondes, ils sont rhabillés, et je sens leurs mains remettre ma jupe en place, reboutonner mon chemisier. Je passe vite mes doigts dans mes cheveux pour les rattacher, tentant de reprendre mon souffle.
Avant d’ouvrir la porte, il m’attire contre lui et m’embrasse à pleine bouche, la langue exigeante. Elle, derrière lui, me pince les seins une dernière fois. Puis il se retourne, l’embrasse de la même façon, s’éclaircit la gorge, et ouvre enfin.
– « Merci pour cette conversation. J’espère que vous saurez convaincre les garçons d’arrêter de se disputer. »
D’un air parfaitement professionnel, il nous indique la sortie et invite les parents suivants à entrer pour leur rendez-vous.
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