Pendant ses cours d’anatomie, une étudiante en médecine se surprend à nourrir un fantasme brûlant pour son professeur sexy. Derrière son air concentré dans l’amphi, elle pensait dissimuler ses fantasmes.
Mais ce n’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire la grimace ! Il remarque très bien ce qu’il se passe…
Lundi matin… Je sors du lit à contrecœur en poussant un profond soupir.
Les cours commencent à 9h. J’ai donc encore un peu de temps devant moi. Je suis étudiante en médecine, en deuxième année de master. Même si les cours deviennent de plus en plus pratiques, le volume de cours théoriques est encore conséquent.
Aujourd’hui, une longue journée m’attend, et je préférerais clairement rester couchée ! Sauf peut-être pour le cours d’anatomie… Je dois admettre que je ne suis pas insensible au physique de notre prof. Je lui donne environ quarante ans. Depuis son retour de vacances, sa peau est joliment bronzée par le soleil… ça le rend encore plus canon avec ses cheveux bruns et sa petite barbe légèrement poivre et sel.
D’ailleurs, je ne sais pas comment il s’occupe en dehors des cours, mais il est étonnamment musclé. Et surtout, il ne faut pas l’oublier pour poser le décor : il est marié.
J’ai décroché du cours d’anatomie… pour me concentrer sur la sienne
Contre toute attente, la journée se déroule plutôt bien (après quelques cafés engloutis). Les cours s’enchainent dans leur routine habituelle.
Enfin vient l’heure du cours d’anatomie donné par M. Durant. J’entre dans l’amphi et je m’assieds au centre de la salle. Ni trop devant, ni trop éloignée. C’est sans doute la place la plus stratégique, dissimulée au milieu du reste de ma promo. D’ici, je peux l’observer sans entrave, sans qu’il ne fasse attention à moi. Car c’est bien ça le but, non ? Je ne veux surtout pas qu’il sache à quel point il m’attire. Imaginez le malaise.
Pendant le cours, mon regard se balade… Alors qu’il est de dos pour écrire au tableau, je ne peux pas décrocher mon regard de son petit cul bien moulé dans son chino. Lorsqu’il pointe du bout de sa baguette le schéma du « muscle supinateur » qu’affiche le vidéoprojecteur, ses manches retroussées mettent en valeur ses magnifiques avant-bras.
Et là, je m’égare : qu’est-ce que ce serait de tenir sa bite bien dure entre mes mains ? De le supplier de me la mettre ? Qu’est-ce que je ressentirais si j’avais du pouvoir sur lui ? S’il s’exécutait pour assouvir chacun de mes désirs ?
Mais revenons sur terre : il est professeur, je suis l’une de ses 300 étudiantes. Fondue dans la masse…
Seuls dans le couloir de l’université
Les cours se terminent et je traine dans les couloirs de la fac, l’esprit ailleurs. Je ne sais même pas à quoi je pensais, mais quand je lève les yeux, il se tient là, juste devant moi.
— « Alors, on est dans la lune ? » me lance-t-il avec un sourire malicieux.
Mon cœur bat à 100 à l’heure, je n’ose presque pas le regarder, je sens mes joues rougir.
— « Mon cours s’est bien passé ? » dit-il en m’observant attentivement. « Je ne crois pas avoir vu quelqu’un d’aussi attentif dans l’amphi. J’ai presque l’impression que tu étudiais mon anatomie à moi plutôt que celle de ma présentation. »
Je ne pensais pas qu’il était humainement possible de devenir plus écarlate que je ne l’étais déjà. Mes joues sont en feu, je me déteste de réagir comme ça.
Je rêve ou il lit en moi comme dans un livre ouvert ?
Je ne sais pas quoi lui répondre et je me mets à fixer le sol pour tenter de camoufler mes joues. Heureusement, le couloir est vide, nous sommes seuls. Personne n’est témoin de la phrase qu’il vient de balancer tout haut.
Un contrôle surprise qui dérape
Il s’approche un peu plus. Je sens son regard sur moi pendant que je m’obstine à garder les yeux rivés au sol. Doucement, il prend ma main.
— « On va devoir revoir la leçon du jour, j’ai l’impression que tu n’as pas tout suivi », dit-il en s’approchant encore un peu plus. Ma main est dans la sienne et avec son index, il glisse vers mon poignet et cherche mon pouls. Je sens mon cœur s’emballer. Je suis son doigt du regard. Lentement, il glisse vers mon avant-bras. Il trace le contour du muscle abordé en cours tout à l’heure.
— « Jouons à un jeu. Prouve-moi que tu t’intéressais uniquement à mon cours en me donnant les noms des muscles que nous avons appris. Si tu n’y arrives pas, cela voudra dire que tu étais uniquement intéressée par mon anatomie à moi, et dans ce cas, c’est à mon tour d’étudier un petit bout de la tienne. »
Je lève les yeux et les plante dans son regard. Il est maintenant tellement proche que je peux sentir son parfum envoûtant. Il me regarde de ses yeux sombres, et je me surprends à réussir à soutenir son regard.
L’excitation monte, le fantasme deviendra-t-il réalité ?
Je sens une chaleur s’éveiller dans mon bas-ventre. Je ne peux plus détacher mes yeux des siens. Il relâche doucement mon poignet et caresse mon cou. Pour la première fois, je fais moi aussi un pas vers lui, jusqu’à ce que je ne sois plus qu’à quelques centimètres de son corps musclé. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je ferme les yeux et l’embrasse. Il répond immédiatement à mon baiser avec avidité.
Sa main glisse dans mon dos et il m’attire plus près de lui encore. Je sens son torse musclé à travers sa chemise, et la bosse dans son pantalon se presser contre moi à travers ma robe. Sans détacher ses lèvres des miennes, il ouvre une porte. Coïncidence folle, nous sommes juste devant son bureau ! Il m’y guide, referme la porte et me plaque fermement contre le battant. Je suis plus excitée que jamais, et je laisse glisser ma main jusqu’à cette fameuse bosse dure. Il gémit.
Je déboutonne sa chemise et admire ses pectoraux et abdos bien dessinés. Je ne m’étais pas trompée : il est tellement sexy !
Ma main descend de nouveau jusqu’à sa braguette. Avec un sourire en coin, il me fait comprendre qu’il est grand temps de libérer sa bite tendue de son pantalon serré. Je baisse la fermeture éclair et caresse doucement son gland dur. Il me retourne brusquement et plaque mes deux poignets contre la porte. Il me tient d’une main, tandis que de l’autre, il glisse sous ma robe pour masser mon clito trempé. Je suis étourdie par le plaisir, par la chaleur, et ma respiration se fait de plus en plus forte.
Plaquée contre la porte de son bureau
Il frotte sa queue raide contre mes fesses. Aucun de nous ne tiendra longtemps ! Il baisse ma culotte et tire mes hanches vers lui. Il pose une main sur ma bouche tandis qu’il me pénètre d’un seul coup, profondément. Mon gémissement est étouffé par sa main. Il commence à me baiser lentement, avec des coups de reins bien profonds. De l’autre main, il trace des petits cercles sur mon clito gonflé. Je n’avais jamais été aussi mouillée, je sens mon jus chaud couler le long de mes cuisses. Il embrasse mon cou. Mes gémissements sont de plus en plus bruyants. Encore un peu, et je vais jouir !
Le cunni d’un expert en anatomie
Soudain, il se retire et me pousse vers son bureau, il m’allonge et soulève mes cuisses pour avoir une belle vue sur ma vulve lustrée par toute cette mouille. Il s’approche pour y déposer des coups de langues ultra efficaces. Je m’agrippe au bureau de plaisir, je relève la tête pour ne pas perdre une miette de la scène. Je suis vraiment en train de baiser avec lui, et mon Dieu, qu’est-ce qu’il s’y connait bien en anatomie !
Les cris d’apothéose
Il relève la tête et croise mon regard. Il me sourit et passe un coup de langue sur ses lèvres, satisfait. Il attrape une capote dans un tiroir, check mon approbation d’un signe de la tête et enfonce à nouveau sa belle queue en moi. Quel bonheur de le sentir à nouveau ! Il me regarde droit dans les yeux tout en me pénétrant de plus en plus profondément. Je sens parfaitement son gland buter contre mon col de l’utérus. Une tension commence à monter en moi comme jamais auparavant. Une sensation à la fois douce et tellement intense qui se répand dans tout mon corps et me force à un abandon total. Je sens son sexe enfler en moi, m’envahir de plus en plus.
J’entends sa respiration devenir rauque, ses mouvements de plus en plus pressants. Je ne peux plus penser à rien, tous mes muscles se tendent et fourmillent. La seule chose que je peux encore faire, c’était me laisser emporter par l’orgasme le plus intense que je n’ai jamais connu. Je crie de plaisir. Mon jus jaillit autour de sa queue qui me pilonne. Il me serre fort contre lui et jouit profondément dans un dernier spasme.
Épuisé, il se laisse tomber sur moi. Je caresse délicatement ses cheveux, savourant ce qui vient de se passer. Lentement, il se redresse et se retire de moi. Un sourire sur les lèvres :
— « Eh bien, mademoiselle, je pense qu’à partir de maintenant, je vais devoir tester plus souvent tes connaissances théoriques… en pratique. » Il m’aide à descendre de son bureau et m’embrasse tendrement.
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