Lors de ses vacances en Suisse, notre héroïne s’offre une randonnée en montagne — seule, suite au désistement de dernière minute de son amie.
Ce qu’elle n’avait pas prévu ? Se retrouver en tête-à-tête avec un guide aussi charmant que les paysages qu’il lui fait découvrir. Clément, son allure sauvage et son regard d’un bleu perçant, va peu à peu transformer cette simple ascension en une expérience bien plus intense…
Le soleil réchauffe doucement ma peau, séchant la fine pellicule de sueur qui recouvre mes bras nus. Même ma culotte et mon soutien-gorge sont trempés. Pfiou… quelle rando ! Mais j’y suis arrivée : le sommet est là, et la vue est à couper le souffle. Tout autour de moi, les Alpes se dressent majestueusement. Des sommets à perte de vue, des pentes vertigineuses, et même quelques pics encore enneigés au loin. Le chemin pour arriver jusqu’ici n’a pas été de tout repos, mais ça en valait la peine ! Et ce n’est pas tout, il y a lui, mon guide, aussi spectaculaire que le paysage. Et pourtant, la journée avait mal commencé. Ce matin, mon amie Charlotte, avec qui je passe mes vacances en Suisse, ne se sentait pas bien et a préféré rester au lit et annuler notre fameuse rando qu’on avait pourtant réservée il y a trois jours. Et comme une mauvaise nouvelle n’arrive jamais seule, en arrivant au point de rendez-vous, je découvre que… je suis la seule participante. Tous les autres avaient annulé. Résultat : me voilà en tête-à-tête avec le guide, Clément, pour grimper jusqu’aux sommets.
Une vue à couper le souffle
Au début, je dois avouer que je me sentais un peu mal à l’aise… Mais très vite, j’ai décidé de profiter pleinement de l’expérience. Il faut dire que Clément était un vrai régal pour les yeux. Cheveux blonds coupés courts. Yeux bleus dans lesquels on pourrait se perdre. Une barbe de trois jours. Et ce corps musclé, juste comme il faut : des bras larges, des jambes bien dessinées et ce fessier sculpté à faire tourner les têtes. Pendant la rando, j’ai trouvé mille prétextes pour qu’il passe devant, histoire de profiter de la vue. L’ascension était rude. La sueur coulait dans mon dos… mais entre mes jambes, c’était une toute autre chaleur qui montait. Je n’arrivais pas à regarder les paysages, tant mon regard était fixé sur ses fesses musclées. Mon esprit était ailleurs, à imaginer Clément me plaquant contre un rocher, me serrant fort, enlevant lentement mon haut pour explorer ma peau de ses grandes mains… J’étais en plein fantasme quand sa voix m’a ramenée sur terre :
— « Nous y sommes presque. »
Frissons au belvédère
On arrive enfin au belvédère. Mon souffle est court, mes jambes un peu tremblantes, mais ce n’est pas que la fatigue qui me fait vibrer. Ce qui fait battre mon cœur à la chamade, là, maintenant, c’est autre chose… Mon regard papillonne entre les sommets majestueux des Alpes et le corps Clément. Il pose ses mains sur ses hanches, ce qui fait encore plus ressortir ses pectoraux. Je sens mes joues rougir et une douce chaleur s’installer dans ma poitrine. Et puis, je croise son regard. Il m’observe. A-t-il remarqué à quel point je le dévorais des yeux depuis tout à l’heure ? Il me sourit d’un air espiègle, presque complice. Je baisse les yeux, gênée, tout en tripotant nerveusement une mèche de cheveux.
— « Magnifique, n’est-ce pas ? » me lance-t-il, en parlant de la vue. Je hoche la tête, timide.
— « Je connais un endroit encore plus charmant… » continue-t-il. « Tu veux que je te le montre ? » Je hoche la tête de nouveau et le laisse passer devant, profitant de l’opportunité pour l’observer à son insu. Je mords ma lèvre et je retiens de justesse un soupir plus que suggestif. Nous marchons pendant une dizaine de minutes, jusqu’à arriver devant un petit cours d’eau que nous devons traverser.
— « Attention ! » me prévient-il, toujours en tête. Les éclaboussures d’eau frappent ses jambes et sous le soleil, sa peau semble rayonner.
— « Prends ma main » m’invite-t-il, une fois de l’autre côté, alors que je m’avance prudemment dans l’eau. Il m’aide à grimper sur la berge et, quand je me retrouve à ses côtés et qu’il me lâche, je l’effleure subtilement. Ma main descend lentement et frôle à peine son entrejambe. Il rougit, bafouille quelque chose, mais je ne l’entends pas, mon cœur bat trop fort pour capter le moindre mot. Un peu plus loin, une barrière en bois se dresse devant nous.
— « Techniquement, on ne devrait pas passer par là », dit-il avec un sourire. « Mais de l’autre côté, la vue est incroyable. » Il m’aide à enjamber l’obstacle. Et, au moment où je balance la jambe, il me soutient d’une main, juste sous le bord de mon short, pour éviter que je ne tombe. Sa paume brûlante effleure ma peau nue. Je joue les maladroites, et je vacille exprès, comme si j’allais tomber. Il me rattrape immédiatement et me serre un peu plus fort. Sa deuxième main glisse sur mon flanc, remonte, puis attrape ma cuisse. Je me rapproche de lui, faisant glisser ses mains. L’une vers ma fesse, l’autre vers ma poitrine.
La montée du désir
— « Oh, merci, » dis-je d’une voix rauque. Je le fixe quelques secondes, les yeux dans les yeux, puis je me détache doucement. Avec agilité, je passe de l’autre côté de la barrière et me retourne pour le regarder en faire autant.
— « Tout va bien ? » me demande-t-il. Après cette montée intense avec Clément, j’imaginais, ce soir, détendre nos corps et muscles fatigués, avec des huiles de massage tièdes sur nos peaux échauffées. J’imaginais aussi glisser un petit vibro discret entre ses mains pour pimenter notre aventure au sommet. Rien de tel pour transformer cette escapade en haute montagne en vrai moment d’extase.
— « Hm… » je réponds en me retournant, un sourire aux lèvres. Je joue nonchalamment avec mes cheveux tout en reprenant la marche. Mes hanches balancent, volontairement. Et comme il ne me suit pas tout de suite, je sais qu’il est resté là, à me regarder. À savourer la vue de mes fesses qui ondulent, doucement, de gauche à droite. Finalement, j’entends ses pas précipités. Il me rejoint, saisit ma main et dit :
— « Par ici. »
Le sommet du plaisir
Sur le dernier tronçon, nous marchons côte à côte, nos bras se frôlant à chaque pas, jusqu’à ce que le sentier s’ouvre sur une prairie alpine. Un coin de paradis tapissé de fleurs sauvages, aux couleurs éclatantes. Le ciel d’un bleu limpide complète ce tableau idyllique. C’est parfait ! Je reste un instant figée par la beauté du paysage… quand je le sens derrière moi. Clément s’est approché sans bruit. Ses doigts frôlent doucement mes bras nus. Ma respiration se bloque. Je ferme les yeux une seconde, le souffle court, puis un gémissement léger m’échappe sans que je le contrôle. Il avance d’un pas. À présent, nos corps sont presque collés. À peine quelques centimètres nous séparent. Je sens sa chaleur, son odeur. Il peut sentir la mienne. Il me serre un peu plus fort, et un frisson me parcourt tout le corps. Ses mains descendent lentement, explorant chaque courbe avec une lenteur étudiée. De mes omoplates à ma taille, puis jusqu’à mes fesses, il suit la forme de mon corps comme s’il le découvrait pour la première fois. Je soupire, et mon dos vient naturellement se blottir contre son torse. Nos bustes se frôlent. Ses lèvres trouvent mon cou, puis glissent jusqu’à la naissance de mon oreille. Je ferme les yeux et gémis d’approbation. C’est le signal qu’il attendait pour aller plus loin. Ses mains remontent, contournent mes hanches, puis viennent caresser mes seins à travers mon haut encore humide. Ses gestes sont lents, presque timides. Il savoure. Moi aussi.
— « Plus fort… » je gémis. Sans dire un mot, il obéit. Ses paumes se font plus fermes, plus sûres. Il les presse contre ma poitrine, ses pouces frôlant mes tétons durcis par l’excitation. Des vagues de chaleur me traversent le corps, de la poitrine au bas-ventre. Je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir. D’un geste soudain, je me retourne, l’enlace et l’embrasse avec passion. Pendant que nos langues s’entremêlent, ses mains glissent partout sur moi. Elles explorent, pincent mes fesses, remontent, redescendent. Puis, tout en continuant à m’embrasser, il ouvre doucement le bouton de mon short. Le tissu glisse sans peine le long de mes cuisses moites. Je ferme les yeux, c’est comme si je plongeais dans un rêve. Il s’accroupit, fait glisser ma culotte, puis pose ses lèvres entre mes cuisses ouvertes. Je me tiens debout au milieu de l’alpage, mes doigts perdus dans ses cheveux, il me fait frissonner avec sa langue. Je gémis, ris nerveusement, pousse quelques petits cris aigus. Mon ventre se contracte, je sens le plaisir monter comme une vague qui m’envahit toute entière. Mon bassin se presse instinctivement contre sa bouche et je crie de plaisir.
Tout mon corps se réchauffe d’un coup et j’oublie tout autour de moi.
Épuisée et exaltée par l’intensité de cet orgasme, je me laisse tomber dans l’herbe fraîche, encore haletante. Je l’observe pendant qu’il se déshabille. Il est encore plus beau que dans mes fantasmes. Quand son boxer tombe enfin, je ris doucement en découvrant à quel point il est excité. Je l’appelle de mon doigt, l’invitant à s’approcher. Il me rejoint sans attendre. Je m’allonge sur le dos, ferme les yeux, et me laisse porter. Le corps de Clément est à la fois ferme et doux. Avec délicatesse, il s’allonge sur moi, met un préservatif et, centimètre par centimètre, il pénètre en moi. Je pousse un long gémissement, envahie par le plaisir. Lorsqu’il accélère, j’enroule mes jambes autour de ses hanches pour l’attirer encore plus près. Il s’enfonce plus profondément. Chaque coup me fait frissonner. Je gémis, crie parfois. Je me fiche du bruit : il n’y a que nous, ici. Il continue, infatigable. Mon bassin suit naturellement le rythme du sien. J’enfonce mes ongles dans son dos musclé. Il gémit à son tour. Alors, je mords doucement son oreille. Sa réponse est immédiate : il me pénètre plus fort, plus vite, plus profond. Mon corps lâche prise.
— « Continue… » je murmure. Je suis complètement à lui. Je laisse mes bras s’ouvrir, le regard vers le ciel bleu et limpide. Je laisse les vagues de plaisir me submerger pendant qu’il continue de me pénétrer énergiquement. Je ne me rends même pas compte des sons profonds que j’émets, jusqu’à ce qu’il pousse un fort gémissement, donne quelques coups supplémentaires, puis se couche doucement et tendrement sur moi. Je le serre à nouveau dans mes bras et savoure l’après, tandis qu’il est toujours en moi. En redescendant, je le laisse bien sûr passer devant. Un dernier petit plaisir pour les yeux. Une fois en bas, je sors un papier et glisse mon numéro dans sa paume. Je me penche à son oreille, un sourire en coin :
— « Au cas où tu aurais envie de refaire une petite escapade en montagne… »
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