Dans ce récit érotique, tout commence par un regard. Dès que le regard de Lya croise celui du jeune homme à la réception, c’est immédiatement évident : ils se désirent. Mais, qui fera le premier pas ?
Ses yeux fixés sur moi
Ses yeux bleus s’illuminent quand il me voit. Il ne peut repousser un léger sourire lorsque mon regard croise le sien.
C’est la quatrième fois que je le vois, l’homme à la réception. Il est encore jeune, 25 ans tout au plus, j’en suis certaine. Il est poli, sympathique et enthousiaste. Oh, et fort, sans oublier séduisant. Il a porté mes valises jusqu’à ma chambre avec facilité quand j’ai fait mon check-in à l’hôtel où il travaille, il y a quelques jours.
Chaque fois que je passe devant la réception, je sens son regard sur moi. C’est presque comme s’il attendait le mien. Cela fait longtemps qu’un homme ne m’a pas fait ressentir cela. Ce genre de frisson dans l’estomac et ce type de tension qui vous fait glousser.
Ses doigts gracieux qui jouent avec le stylo lorsqu’il note les noms des clients, ses cheveux blonds avec la séparation désordonnée, et ses yeux bleus pétillants… J’ai déjà souvent fantasmé à propos de tout cela depuis que je suis ici. Je sais qu’il me désire aussi, cela se voit à tout. Il ne reste plus qu’à attendre le premier mouvement, lequel de nous le fera ? Ou avons-nous tous les deux trop peur ?
Je dois avouer que j’apprécie d’être en vacances toute seule. Je n’ai à tenir compte de personne et si je souhaite ramener quelqu’un dans ma chambre, je peux le faire librement. Ce n’était pas le but de ces vacances, mais je n’avais certainement pas exclu la possibilité d’une soirée excitante avec un Italien séduisant ici à Rome. Pourtant, à ma grande surprise, mon regard est maintenant captivé par ce jeune homme à la réception qui a un air très hollandais.
Regard furtif
Il fait une chaleur torride ici. C’est pourquoi j’ai choisi un hôtel avec piscine. Autour de moi, sur les transats, abondent les couples amoureux dans cet hôtel réservé aux adultes. Je m’installe seule sur un transat au fond de la zone. Je regarde l’ombre du parasol en osier qui danse sur mon corps. La chaleur me rend léthargique, mais c’est plutôt agréable.
Un peu plus loin, je vois un couple qui glousse et se trémousse sous une serviette. Je sens qu’il a ses mains dans sa culotte de bikini. Elle essaie de garder son visage impassible, mais de temps en temps, je la vois haleter et serrer ses mains en poings. Ils sont assez isolés, mais ne réalisent pas que je peux les voir parfaitement.
J’avais déjà chaud, mais la température monte encore alors que je les observe secrètement. Je mets mes lunettes de soleil et m’enfonce un peu plus dans mon siège. Maintenant, je peux les regarder sans gêne. Sa main se déplace de plus en plus rapidement sous la serviette et je la vois souffler entre ses lèvres tandis qu’elle exhale. Je pense qu’elle est sur le point de jouir…
Bien sûr ! Alors qu’elle atteint discrètement son paroxysme en se tortillant, un immense sourire se dessine sur son visage. Il retire sa main de sous la serviette et lèche ses doigts tout en regardant malicieusement sa petite amie.
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Des yeux écarquillés
Je ne peux plus le supporter. Je sens mon cœur battre entre mes jambes, mes tétons transperçant la toile verte de mon bikini. En me levant, je me sens même un peu étourdie. Prudemment, je me dirige vers la réception, vêtue seulement de mon bikini.
Il est là. Je vois ses yeux s’agrandir lorsqu’il me dévore des yeux de la tête aux pieds. Sa bouche s’ouvre légèrement et je vois qu’il mord sa langue. Je peux comprendre, ce bikini ne laisse que peu de place à l’imagination…
Lorsque je me tiens devant lui, je le regarde de manière provocante avant de me pencher sur son bureau et de murmurer : « Je te veux maintenant. »
« Merde, » l’entends-je dire alors qu’il se lève immédiatement, se précipite autour du comptoir et me tire par la taille dans une pièce derrière le lobby. La pièce est remplie de bagages des clients.
« S’il te plaît, baise-moi »
« Quel est ton nom ? » demande-t-il en parcourant mon corps de ses mains. « Je ne te le dirai pas », je le taquine. L’idée d’avoir des relations sexuelles avec un garçon sans même connaître nos noms me semble incroyablement sexy ! Tout ce que nous savons l’un de l’autre, c’est comment nos regards affamés se déshabillent mutuellement depuis des jours.
Quand ses doigts glissent à l’intérieur de ma culotte de bikini, il gémit lorsqu’il ressent à quel point je suis déjà mouillée. Il me regarde et murmure à nouveau : « Oh merde. »
« Mais avec plaisir », je lui fais un clin d’œil en me retournant de manière taquine et en dénouant les petits nœuds de ma culotte de bikini d’un côté. Le tissu vert glisse doucement le long de ma jambe jusqu’à atteindre le sol.
Il mord doucement mon cou et tire mes cheveux en arrière alors que je sens son érection glisser entre mes lèvres. Il fait quelques mouvements de va-et-vient pour humidifier son gland avant de me pénétrer profondément et complètement. Je gémis entre douleur et plaisir.
Il alterne entre des coups forts et profonds et des mouvements plus doux tout en maintenant fermement mes cheveux de sa main gauche. Avec sa main droite, il masse ma zone la plus sensible. Nos gémissements se font entendre lorsque soudainement, un bruit à la porte nous fait arrêter net. En un instant, nous nous immobilisons sans faire de bruit.
Pris par surprise
« Bonjour ? Y a-t-il quelqu’un ici ? » entendons-nous crier. On se regarde, effrayés, et sous le coup de la tension, j’éclate de rire. « Chut ! Chut ! » mime-t-il sérieusement, mais je vois que les coins de sa bouche s’étirent également. Il essaie de retenir son rire, mais n’y parvient pas.
« Allo ? » entendons-nous de nouveau. « Nous venons chercher nos bagages, notre vol décolle donc on est pressé. » Il remonte rapidement son pantalon et me regarde, interrogatif et toujours en riant. Je lève les mains en l’air, signifiant que je n’ai aucune idée de ce qu’il doit faire. Pendant ce temps, j’éclate de rire, au point d’être presque incapable de tenir sur mes jambes.
Alors nous entendons également des rires à l’extérieur de la porte avant que la voix appelle : « Oui, nous savons que tu es là-dedans ! Pourrais-tu nous apporter nos bagages, s’il te plaît ? Ensuite, nous te laisserons tranquille et tu pourras retourner à ton ‘plongeon dans la malle’. »
Qu’espérez-vous qu’il se passe dans la deuxième partie de ce récit érotique ? Faites-le nous savoir dans les commentaires et peut-être que votre fantasme deviendra réalité ! En attendant la suite, lisez nos autres histoires de sexe !
