La prostate joue un rôle essentiel dans la santé intime. Pourtant, sans même s’en rendre compte, certaines habitudes du quotidien peuvent fragiliser cet organe et engendrer des troubles. Entre alimentation, hygiène de vie et prévention, voici six mauvaises habitudes à éviter pour préserver votre bien-être.
1. Mener une vie trop sédentaire
Passer de longues heures assis devant un écran ou dans une voiture peut avoir un impact négatif sur la prostate. En effet, le manque d’activité physique ralentit la circulation sanguine, ce qui favorise la congestion de la zone périnéale et peut entraîner une inflammation prostatique.
- Pourquoi c’est problématique ?
Une mauvaise circulation sanguine peut favoriser l’apparition de douleurs pelviennes, voire d’une prostatite chronique. De plus, un mode de vie sédentaire augmente les risques de surpoids, un facteur aggravant des troubles prostatiques.
- Que faire ?
Intégrez du mouvement dans votre quotidien ! Privilégiez la marche, le vélo ou le yoga, des activités qui favorisent la circulation tout en limitant la pression sur le plancher pelvien.
2. Avoir une alimentation déséquilibrée
Certains aliments peuvent favoriser l’inflammation de la prostate et perturber son bon fonctionnement.
- Les aliments à éviter :
- Les produits ultra-transformés, riches en sucres et en additifs
- Les graisses saturées (charcuterie, fast-food)
- L’alcool et la caféine en excès, qui irritent la vessie et la prostate
- Les bons réflexes à adopter : Favorisez une alimentation riche en antioxydants et en oméga-3 : fruits, légumes, poissons gras, noix et graines. Intégrez également des aliments bénéfiques comme la tomate (riche en lycopène), le thé vert et le curcuma.
3. Ignorer les signaux de son corps
Brûlures urinaires, difficultés à uriner, envie fréquente d’aller aux toilettes la nuit… Ces symptômes peuvent sembler anodins, mais ils sont parfois le signe d’une inflammation ou d’une hypertrophie de la prostate.
- Pourquoi c’est une erreur ? Plus un trouble prostatique est pris en charge tôt, plus les solutions sont efficaces. Ignorer ces signaux peut mener à des complications comme une infection urinaire ou une obstruction des voies urinaires.
- Que faire ? Ne banalisez pas ces symptômes et consultez un professionnel de santé si vous ressentez une gêne persistante.
4. Avoir une vie sexuelle irrégulière
La prostate joue un rôle clé dans l’éjaculation. Une activité sexuelle régulière permet d’entretenir la bonne circulation des fluides prostatiques, ce qui réduit les risques d’inflammation.
- Quels sont les risques ? Une abstinence prolongée peut favoriser la stagnation des sécrétions prostatiques, augmentant ainsi les risques d’irritation et de congestion.
- Que faire ? Ayez une activité sexuelle régulière, en accord avec vos envies et votre bien-être. La stimulation prostatique, qu’elle soit naturelle ou avec un sextoy adapté, peut également contribuer à son bon fonctionnement.
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5. Se déshydrater
Ne pas boire suffisamment d’eau a des conséquences directes sur le système urinaire et la prostate.
- Pourquoi c’est important ? Une hydratation insuffisante favorise la concentration de l’urine et l’irritation des voies urinaires, ce qui peut entraîner une inflammation de la prostate.
- Que faire ? Buvez 1,5 à 2 litres d’eau par jour, préférez les tisanes et limitez les excitants comme le café et l’alcool, surtout en fin de journée.
6. Négliger les bilans médicaux
Passé un certain âge, la surveillance de la prostate est essentielle. Pourtant, nombreux sont ceux qui repoussent les consultations par manque de temps ou par appréhension.
- Pourquoi c’est risqué ? Un dépistage tardif peut retarder la prise en charge de certaines affections comme l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP) ou le cancer de la prostate, qui est l’un des plus fréquents chez les hommes.
- Que faire ? Dès 50 ans (ou 45 ans en cas d’antécédents familiaux), programmez un bilan régulier avec un urologue. Un simple dosage du PSA (antigène prostatique spécifique) permet de détecter précocement d’éventuelles anomalies.
Prendre soin de sa prostate, c’est avant tout adopter une bonne hygiène de vie. En évitant ces six mauvaises habitudes – sédentarité, alimentation déséquilibrée, ignorance des symptômes, abstinence prolongée, déshydratation et absence de suivi médical –, vous mettez toutes les chances de votre côté pour préserver votre santé prostatique et votre bien-être intime.
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