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Histoire érotique : Une attente qui en valait la peine

19 septembre 2025,

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Après des semaines de désir contenu, le moment tant attendu des retrouvailles arrive enfin. Le retour de l’aéroport s’annonce torride pour ce couple. Entre impatience et passion, chaque regard, chaque geste promet un feu de sensations.

Cela fait déjà quatre semaines que mon petit ami est à l’étranger. Quatre longues semaines durant lesquelles son absence a laissé un vide dans mon quotidien. Son rire me manque, son odeur rassurante, la chaleur de ses bras autour de moi… et, je dois l’avouer, la façon dont il sait réveiller chaque fibre de mon corps. La tendresse de ses baisers, la pression de son corps contre le mien… mais aussi le contact charnel de son sexe dur contre moi.

Le temps passe vite en apparence, mais l’attente, elle, s’étire. J’ai bien essayé de compenser. Les soirées seule se terminent souvent avec mon vibromasseur, fidèle compagnon de mes envies. Ses vibrations m’emportent parfois jusqu’à un orgasme délicieux… mais il reste cette frustration sourde : rien ne remplace la chaleur vivante d’un vrai corps. Un corps que l’on aime dans son entièreté.

Hier soir encore, allongée dans mon lit, mon imagination m’a trahie. J’ai fermé les yeux et je l’ai imaginé là, devant moi, son sexe glissant entre mes lèvres tandis que mes doigts ou mon jouet s’occupaient du reste. Le fantasme m’a emportée si fort que j’ai joui rapidement, le souffle court, le corps parcouru de vagues de plaisir. Mais au moment où je reprenais mes esprits, une certitude s’est imposée : aucun orgasme solitaire, aussi intense soit-il, ne vaut la sensation brûlante de son sexe en moi.

Aujourd’hui, c’est enfin le grand jour. Dans quelques heures, je vais chercher mon amoureux à l’aéroport de Lyon. Impossible de rester longtemps sous la couette : dès 9h, j’étais déjà réveillée (moi qui suis pourtant une adepte des grasses matinées), le cœur battant d’impatience. Pour calmer ce surplus d’énergie, je me suis rendue à un cours de yoga, étirant chaque muscle avec soin.
Une fois de retour à la maison, l’après-midi commençait déjà. Pas de programme précis, si ce n’est celui de l’attendre. Alors je me suis laissée aller sur le canapé, mon esprit dérivant aussitôt vers lui. J’ai commencé à imaginer… toutes les façons dont je pourrais l’accueillir, le surprendre, le gâter. Mon imagination a filé dans toutes les directions : une branlette volée sous la douche, mes mains impatientes autour de lui ; un baiser pressé qui se transformerait en un coup rapide dans les toilettes de l’aéroport, histoire de ne pas tenir une minute de plus… Chaque scénario m’excitait davantage.

« J’ai commencé à imaginer… toutes les façons dont je pourrais l’accueillir, le surprendre, le gâter. »

20h, enfin. Je me tiens devant la porte des arrivées de l’aéroport. Je suis pleine de joie et pourtant l’attente m’a rendue anxieuse. Après ce qui me semble une éternité, j’aperçois un bonnet bleu, une démarche que je reconnaîtrais entre mille… puis ses yeux qui accrochent les miens, et ce sourire qui balaie d’un coup toutes ces longues semaines d’attente.

Je m’élance vers lui, incapable de retenir mon élan. Quand il me serre dans ses bras, je retrouve aussitôt la chaleur rassurante de son corps, et son odeur virile qui m’avait tant manqué. Une vague de bonheur me traverse, accompagnée d’un frisson qui descend jusqu’entre mes cuisses. Nos lèvres se retrouvent dans un baiser tendre, presque timide au début, puis plus appuyé, comme pour rattraper le temps perdu.

Il me souffle qu’il est si heureux de me revoir et je ne peux m’empêcher de sourire bêtement, le front contre son épaule. Ses deux amis, un peu en retrait, nous regardent avec un air amusé avant que je ne les salue. Je les guide tous les trois jusqu’à ma voiture, le cœur encore bousculé par l’intensité des retrouvailles.

Le trajet dure un peu plus de deux heures, rythmées par les anecdotes de vacances que les garçons se plaisent à raconter. Puis peu à peu, leurs voix s’éteignent, et dans le rétroviseur je découvre leurs paupières closes. L’un d’eux ronfle déjà doucement.

À côté de moi, lui, est toujours éveillé. Son regard glisse sur mon profil, insistant, comme s’il voulait graver chaque détail de ce moment. Je sens ses yeux sur moi, et un sourire se dessine au coin de mes lèvres. Je lui souffle dans un murmure à peine audible :
— « J’ai tellement envie de toi. »

Il arque un sourcil, d’abord surpris, avant qu’un large sourire gourmand n’étire ses lèvres.
— « Qu’est-ce qui te ferait plaisir ma chérie ? »

Je tourne brièvement la tête vers lui, mes yeux brillants de malice, et je chuchote encore plus bas :
— « J’ai envie de te sentir glisser en moi, là, tout de suite… je suis déjà mouillée. »

« Sous ma robe courte, ses doigts s’aventurent, glissant le long de ma peau brûlante. »

Mon regard se fait langoureux, mes doigts serrent le volant, trahissant mon impatience. Un mouvement me fait relever les yeux vers le rétroviseur : un des garçons remue dans son sommeil. Le souffle suspendu, j’observe une seconde… mais leurs yeux restent bien fermés, paisibles. Un soulagement m’envahit, doublé d’un frisson de désir encore plus intense, attisé par le risque.

Il porte un doigt à ses lèvres, m’ordonnant silencieusement de me taire. Avant même que j’aie le temps d’anticiper, sa main chaude se pose sur ma cuisse. Une secousse traverse mon corps et une vague de chaleur m’envahit aussitôt. Ce contact m’avait tellement manqué.

Sous ma robe courte, ses doigts s’aventurent, glissant le long de ma peau brûlante. Très vite, je sens la caresse insistante sur le tissu de ma culotte, juste contre mes lèvres gonflées. L’humidité a déjà traversé la dentelle, et il doit le sentir. Avec une lenteur calculée, il écarte ma culotte sur le côté.

Un premier doigt s’enfonce dans ma chatte déjà trempée. Je frissonne. Puis un deuxième doigt, et bientôt un troisième, viennent la remplir avec une assurance qui me fait perdre le souffle. Mes mains se crispent sur le volant. Un gémissement m’échappe malgré moi, aussitôt réprimandé par son regard sévère qui me rappelle de garder le silence.

Je me mords les lèvres, luttant pour rester discrète, alors que ses doigts accélèrent, m’arrachant des vagues de plaisir de plus en plus intenses. Instinctivement, j’écarte un peu ma jambe gauche pour lui offrir un meilleur accès. Le liquide chaud coule déjà le long de mes cuisses, et chaque mouvement qu’il fait me rend folle.

Je rêve de crier son nom, de le supplier de me prendre plus fort, plus profondément. Mais je suis condamnée à rester muette, à contenir mes cris, pendant que lui savoure ma soumission silencieuse. Du coin de l’œil, je vois son sourire : il se régale de me voir dans cet état.

Il retire brusquement sa main de ma chatte humide. Je relève les yeux vers lui, encore haletante, et il me glisse avec un large sourire :
— « On est arrivés. »

Sa voix est assez forte pour réveiller les deux garçons assoupis à l’arrière. Je sens mes joues s’embraser, et dans un geste nerveux, je rajuste ma robe et remets rapidement ma culotte en place. Quelques instants plus tard, les valises sont sorties et ses amis salués. Je marche devant lui en direction de la maison, encore troublée, l’excitation bourdonnant toujours dans mon ventre.

« Je sens son souffle brûlant effleurer mes lèvres, puis sa langue s’immisce lentement, savoureuse et ferme. »

À peine avons-nous franchi le salon que deux grandes mains m’empoignent soudain les hanches et me plaquent contre lui. Son souffle chaud caresse mon oreille quand il murmure :
— « Je crois que j’ai quelque chose à terminer. »

Avant que je puisse répondre, il me fait pivoter et mes yeux se perdent dans les siens, sombres et brûlants de désir. En une seconde, mon dos se retrouve plaqué contre le mur, sa main glisse ma culotte sur le côté et, sans attendre, il disparaît à genoux devant moi.

Je sens son souffle brûlant effleurer mes lèvres, puis sa langue s’immisce lentement, savoureuse et ferme. Je gémis, incapable de me retenir. D’une main, il soulève ma jambe pour mieux me dévorer, de l’autre il remonte vers ma poitrine et pince mon téton durci entre ses doigts.

La tension est insoutenable. Je retire ma robe d’un geste fébrile et la laisse tomber au sol, me livrant presque nue à sa bouche avide et à ses mains qui m’explorent avec une ardeur désespérée. Sa langue accélère sur mon clitoris, précise, implacable, et je sens ma poitrine se soulever dans des gémissements incontrôlés.

Quand il glisse un doigt en moi, puis un second, me pénétrant avec un rythme effréné, la vague monte, brûlante et inexorable. Mes jambes se mettent à trembler contre le mur, mes doigts se crispent dans ses cheveux, et je laisse l’orgasme m’envahir totalement. Un cri étouffé m’échappe, mon corps se cambre et je sens un filet humide s’écouler le long de mes cuisses, preuve du plaisir qu’il vient de m’arracher.

Mon amoureux se relève et je voudrais reprendre mon souffle, mais son regard ardent me fait comprendre qu’il n’a pas l’intention de s’arrêter là. J’approche mes lèvres des siennes pour un baiser profond. Je goûte sur sa bouche l’écho de mon plaisir, mêlé à sa chaleur. Puis, d’un geste volontaire, je le repousse doucement en arrière. Mes mains glissent sur son torse, et je sens ses muscles se tendre sous mes paumes avant que je ne l’appuie fermement contre le canapé. Sa chemise disparaît, et son corps nu se dévoile à moi.

« Je penche la tête, crache un filet de salive sur son gland gonflé, puis fais glisser ma main pour étaler l’humidité, le frotter, le branler. »

Je descends lentement, mes genoux au sol, mes yeux levés vers lui, brûlants de désir. Là, assis face à moi, les jambes légèrement écartées, son sexe se dresse, dur et palpitant. Mon ventre se contracte rien qu’à cette vision, et je tombe encore plus amoureuse de lui dans cette posture d’abandon et de puissance mêlés.

Je penche la tête, crache un filet de salive sur son gland gonflé, puis fais glisser ma main pour étaler l’humidité, le frotter, le branler. Mes lèvres viennent se poser sur lui et la sensation de ce pénis dur contre ma bouche m’arrache un frisson.

Bientôt, je sens sa main effleurer ma nuque, hésitante, puis se refermer fermement sur mes cheveux, les rassemblant en une queue de cheval improvisée. Je lève les yeux vers lui et rencontre son regard : il est consumé par l’excitation, hypnotisé par la vue de sa verge disparaissant entre mes lèvres.

Il me guide, m’impose son rythme. Ses hanches se soulèvent, sa main m’enfonce plus profondément, et sa queue glisse dans ma gorge. J’étouffe à moitié, je salive abondamment. Je sens mon menton et ses cuisses se couvrir de ma salive qui dégouline, tandis que mes lèvres s’écartent encore pour mieux accueillir sa bite raide.

Soudain, il me relève, me pousse contre l’îlot de cuisine, me fait pivoter et me penche de sorte que mes fesses se pressent contre sa bite trempée. Je sens sa dureté contre moi et reçois une tape sur le cul, suivie d’une autre, un peu plus appuyée. Je gémis, complètement excitée, prête à me laisser emporter. Il attrape de nouveau mes cheveux et incline ma tête en arrière, son souffle chaud caressant mon cou. D’une voix rauque et pleine de désir, il murmure : — « Je veux te baiser partout. »

Mes jambes tremblent encore sous l’excitation, et sa main les écarte doucement mais fermement. Le bout de son gland effleure mes lèvres, et je frissonne.

— « Je veux sentir ta chatte humide », souffle-t-il. Il s’assure que je suis bien maintenue, puis glisse en moi, gros et dur, me submergeant de plaisir. Je me penche en avant, mes tétons durs pressés contre le plan de travail froid, tandis que sa main descend le long de mon corps et recommence à caresser mon clito avec un rythme précis.

Je jouis à nouveau dans un cri qui rattrape ceux que j’ai étouffés dans la voiture. M’entendre a du l’exciter au maximum, car juste après, je sens son sperme remplir ma chatte, et son corps frissonne contre le mien. Je tente de reprendre mon souffle contre le plan de travail, puis je retire lentement sa queue et me retourne pour le regarder. Je lui souffle, le cœur battant :

— « Bienvenue à la maison. »

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Écrit par

Sally

Auteure
Sally est une créatrice de contenu engagée et passionnée. Son secret ? Une histoire captivante, des détails soigneusement choisis et une forte volonté d’éduquer sur la sexualité.

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