Plongez-vous dans une histoire érotique d’un couple qui teste un œuf vibrant pendant le déjeuner de Pâques. Un œuf vibrant, un déjeuner de famille et un secret coquin partagé : Max et Lucie n’oublieront jamais ce dimanche de Pâques…
Un dimanche pas comme les autres
C’était Pâques. Le soleil brillait, les rires fusaient, les enfants couraient dans le jardin à la recherche des œufs en chocolat. Mais pour Max et Lucie, l’œuf le plus excitant n’était pas dans les buissons, ni caché sous une haie.
Il était bien là, dissimulé, invisible à tous… et pourtant, il faisait monter la température d’un cran.
Assise à table entre belle-maman et Max, Lucie serrait les jambes. Elle lançait à son compagnon un regard à la fois inquiet et excité. Il souriait, la télécommande dans sa poche, prêt à appuyer de nouveau.
Une idée qui germe
Tout avait commencé la veille. En rangeant les affaires dans leur valise pour le week-end, Max avait glissé un petit objet dans la doublure. Un œuf vibrant, couleur lavande, avec une télécommande discrète.
« On pourrait jouer un peu dimanche midi, non ? » avait-il murmuré, l’air faussement innocent. Lucie avait ri, pensant à une blague. Mais au fond, l’idée lui plaisait. Ce mélange de risque, de plaisir caché, de provocation douce.
Elle n’avait jamais testé ce genre de sextoy. Encore moins au milieu d’un repas de famille.
Plaisir à table
Et voilà. Ils étaient à table, entourés de rôtis, de salades printanières, de cloches en chocolat… et Lucie frémissait sur sa chaise. L’œuf vibrant était bien en place, introduit discrètement juste avant le repas. Max lui tenait la main gauche posée sur la nappe, comme un couple modèle.
De l’autre main, dans sa poche, il faisait varier les vitesses.
« Tu veux du gratin, Lucie ?
— Oui, merci… » souffla-t-elle, un peu trop vite.
Elle sentit une vibration soudaine. Un pic, une onde, une caresse profonde. Elle serra les cuisses, tenta de contrôler son souffle. Max, lui, continuait à parler du dernier match de foot avec son frère, comme si de rien n’était.
L’intensité monte… en secret
Lucie mordait dans une part d’agneau, mais c’est une autre faim qui la tenaillait. Elle n’osait plus croiser le regard de Max. Trop de désir dans ses yeux. Chaque fois que sa cuillère approchait de ses lèvres, une nouvelle vibration la faisait trembler.
Elle tenta de se concentrer sur la conversation. Peine perdue.
« Tu es toute rouge, ma chérie, tout va bien ? » demanda la mère de Max.
Lucie sourit, hocha la tête. Elle mentit : « Un peu de chaleur, sûrement. Le vin, peut-être… »
Mais elle savait. Elle savait que l’œuf vibrant la poussait à bout.
Le plaisir retenu
Le dessert arriva. Une montagne de mousse au chocolat, des fruits confits et une corbeille de petits œufs sucrés. Lucie, elle, était au bord de l’explosion. Max augmenta l’intensité d’un cran, juste au moment où elle portait une fraise à sa bouche.
Elle faillit gémir. Ses cuisses se crispèrent. Son ventre se contracta. Elle se tortilla légèrement sur la chaise, cherchant à contrôler ce plaisir brûlant. Le cliquetis des cuillères résonnait autour d’eux. Personne ne pouvait deviner ce qui se jouait sous sa robe, entre ses cuisses.
Lucie glissa un regard à Max : « Arrête… ou continue. Je ne sais plus. »
Une échappée urgente
À la fin du repas, Lucie se leva brusquement, prétextant une migraine. Max proposa de l’accompagner dans sa chambre pour qu’elle se repose.
« Mon ancienne chambre est toujours là, au fond du couloir. Je vais rester avec elle, elle a besoin de calme. »
Les parents opinèrent. Ils montèrent les escaliers, cœur battant, silence complice. Dès la porte refermée, Lucie se jeta sur Max, haletante.
« Tu es fou. J’ai failli jouir à table… » Il rit doucement, l’attira contre lui.
« Mais tu n’as pas joui… Pas encore. »
Une explosion passionnée
Ils tombèrent sur le lit une place, entouré de posters fanés et de livres d’ados. Lucie écarta les jambes, robe relevée, œuf toujours vibrant en elle. Max s’agenouilla, embrassa ses cuisses. Puis ses lèvres effleurèrent l’intérieur de son genou, son ventre, ses seins. Il se mit à la lécher frénétiquement, faisant tourner sa langue sur son clitoris. Il augmenta les vibrations jusqu’au maximum.
Heureusement que les convives se mirent à rire fort dans la salle à manger : Lucie gémissait bruyamment de plaisir. Il retira doucement l’œuf, le remplaçant par ses doigts. Lucie gémit, cette fois sans retenue.
Elle attrapa sa nuque, l’attira à elle.
« Prends-moi maintenant. J’en peux plus… »
Max ne prit même pas la peine d’enlever son pantalon tellement il avait besoin de la prendre ici, maintenant. Il la pénétra d’un coup de reins puissant. Elle hurla presque. De plaisir, de soulagement, de désir enfin libéré.
Le lit grinçait, les draps froissés témoignaient de leur fièvre. Ils s’embrassaient à pleine bouche, leur corps collés l’un à l’autre.
Une fête inoubliable
Max accéléra ses mouvements, Lucie répondit avec la même ferveur. Ils atteignirent l’orgasme presque en même temps, dans un cri étouffé contre l’oreiller. Essoufflés, tremblants, ils restèrent enlacés, riant doucement.
« C’était… intense.
— Et ce n’est que le début. On a encore lundi pour explorer d’autres œufs. »
Elle rit, caressa sa joue.
« Joyeuses Pâques, mon amour. »
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