Vous aimez les récit sensuels et dépaysants ? Cette histoire érotique risque de vous faire monter en température. Dans la moiteur d’un hammam de la médina, deux femmes découvrent bien plus qu’un simple soin oriental. Massages, caresses, mystère et abandon… Laissez-vous guider par les vapeurs de l’eucalyptus et les draps de satin. Ce qui se passe à Marrakech… reste à Marrakech.
Il faisait chaud dans les souks, et poussiéreux. Cela faisait déjà trois jours que nous étions en voyage en ville. Cinq femmes dans cette grande ville, guidées par Rachida, une Marocaine pure souche, ravie de faire découvrir à ses amis étrangers les secrets du pays de ses parents. Et nous voilà en route. Cela faisait des heures que nous errions dans les souks, enivrées par toutes les odeurs et couleurs vives du pays. C’était franchement un voyage magnifique. On avait superbement bien mangé, bu et flâné à travers la ville moderne et la vieille médina. J’avais besoin de vacances comme celles là.
Mais mon amie et moi avions également envie de tout autre chose : un moment de repos. Et Rachida avait une idée géniale : un véritable hammam au cœur de la vieille ville. Ici, aucun touriste, seules des femmes locales viennent s’y faire dorloter avec un soin marocain traditionnel…
Un spa traditionnel
Nous étions toutes les deux tentées. Les autres voulaient encore se perdre un peu dans les ruelles. Rachida eu donc la gentillesse de nous accompagner jusqu’à la porte du hammam.
Dès l’entrée, nous fûmes plongées dans une oasis de calme. Murs sombres, bougies à foison, l’odeur de la fleur d’oranger était envoûtante. Une magnifique Marocaine à l’accueil nous demanda dans un français parfait quel soin nous désirions : basic, luxe ou « Détente Totale ». Sous prétexte que nous ne faisions pas ce type de soin tous les jours, nous avons immédiatement opté pour le dernier. La réceptionniste ne put restreindre un large sourire.
D’abord, nous fûmes invitées à passer sous la douche. Un peu gênées dans notre nudité, nous prîmes une douche chaude délicieuse. On nous guida ensuite vers une pièce sombre et humide. Des nuages de vapeur parfumés à l’eucalyptus s’élevaient du sol. Nous nous assîmes sur des bancs de pierre agréablement chauds sous nos fesses nues. Le plaisir pouvait commencer. Nous bavardions tranquillement. Par moments, le silence s’installait et on profitait tout simplement. La gêne de nos corps nus s’évanouit vite.
Un hammam de pierres chaudes
Après une demi-heure, la porte s’ouvrit et deux femmes entrèrent, munies d’un seau et d’une éponge. Chacune de nous fut savonnée de la tête aux pieds avec de l’argile noire. Nos corps embaumaient, notre peau rayonnait, c’était un pur moment de délice… Un fois entièrement recouvertes de savon, nous nous retrouvâmes toutes glissantes et douces. Les deux femmes nous rincèrent de la tête aux pieds, sans oublier le moindre recoin.
Elles nous montrèrent ensuite le chemin vers une autre pièce avant de nous demander de nous asseoir à nouveau. Ce fut ensuite un gommage intense et complet. Notre peau chauffait et picotait. Mon amie et moi étions silencieuses maintenant, entièrement plongées dans ce moment de détente. Après le gommage, nous eûmes droit à un délicieux massage aux huiles orientales les plus exquises.
Pensant que le soin était terminé, nous nous dirigeâmes nonchalamment vers la porte qu’on nous indiquait. Notre accompagnatrice ouvrit la porte en souriant. Mais au lieu de retrouver l’endroit où nous avions laissé nos vêtements, nous entrâmes dans le plus beau boudoir que nous ayons jamais vu. Des murs rouges et noirs, un splendide canapé Chesterfield en cuir noir et, au centre de la pièce, un lit gigantesque avec des draps en satin rouge. Là, nous restions debout. Un peu gênées, brillantes, parfumées. Nos corps détendus sentaient immédiatement que quelque chose de spécial allait se passer ici.
Un boudoir sublime
Soudain, je sentis un souffle derrière moi et tout devint noir. Un bandeau de satin fut noué autour de ma tête. Une main douce dans mon dos me guida vers le lit gigantesque que j’avais repéré en entrant dans la pièce. J’entendis ma copine faire la même chose. Je compris que je devais m’allonger sur le lit. Le silence régnait dans la pièce, seul le froissement des draps de satin se faisait entendre de temps à autre. Mon amie et moi étions couchées, côte à côte. Au bruissement du drap, j’entendais clairement qu’il y avait encore deux personnes présentes.
Une main ferme saisit mes deux poignets et les leva au-dessus de ma tête. Ils furent attachés à la tête du lit. Tous mes sens étaient en alerte, mes nerfs tendus à l’extrême. Une douce musique classique envahissait la pièce. Un concerto pour violoncelle de Bach, parfaitement adapté à l’ambiance…
Pendant quelques instants, il ne se passa rien. Nous n’osions pas parler. Soudain, je sentis des lèvres douces sur les miennes. Légères comme un papillon. Une langue, clairement masculine, chercha la mienne et s’empara de ma bouche. Je répondis à son baiser avec ardeur. Une main parcourut lentement mon corps, commençant par ma hanche, remontant le long de mon nombril jusqu’à mon sein droit. Je savais que mes tétons étaient déjà durs. Sa bouche descendit lentement, taquine, le long de mon cou et de ma clavicule jusqu’à mon sein gauche. Mon sein droit était encore caressé. J’entendis ma copine soupirer bruyamment à côté de moi. Elle recevait visiblement le même traitement.
Un traitement très spécial
Sa bouche glissa maintenant lentement, taquinant mon ventre vers le bas, s’arrêtant un instant près de mon clitoris sans le toucher. Puis elle descendit encore, longeant ma cuisse, mon genou, jusqu’à ma cheville, pour remonter par l’autre jambe. Je ne pouvais que subir, et je brûlais d’envie qu’on me touche à l’endroit le plus intime. Ma patience fut récompensée. Je sentis un baiser doux sur mes lèvres intimes. Une langue s’y glissa doucement. Mon clitoris savourait tour à tour la pointe de la langue et sa surface plate.
Je reçus le cunnilingus le plus intense de toute ma vie. Du liquide coula de ma chatte, et je suppliai qu’on me prenne. Ma prière fut exaucée. On écarta mes jambes davantage. Je sentis un poids s’installer sur le matelas. Deux mains de chaque côté de ma tête. Un gland énorme frotta de manière provocante contre mon clito. Je soulevai mes hanches pour le recevoir. Mais il se retira. Je gémis de frustration.
Mais cela ne dura pas
Soudain, je sentis cette queue énorme me pénétrer, s’arrêter un instant, puis commencer à bouger lentement. Je sentis mon sexe s’ouvrir, accueillir cette bite immense et la serrer de ses muscles. Je me laissai aller au rythme, gémissant et haletante de plaisir. À côté de moi, j’entendais les mêmes sons. Ou… est-ce que ma copine jouissait ? Elle gémissait fort, atteignant clairement un orgasme intense, en criant presque. Je voulais retarder le mien encore un peu, même si c’était difficile.
Soudain, j’entendis les draps bruire à côté de moi. Il y avait clairement du mouvement. L’homme qui me baisait toujours se déplaça lui aussi. On me saisit les pieds et je fus tournée sur moi-même. Je me retrouvai appuyée sur mes coudes et mes genoux, les mains toujours attachées, les fesses bien en l’air.
Je frémissais d’envie et de curiosité
« Mon » homme me prit par derrière, pas avec douceur, mais avec force et autorité. Alors que j’étais au bord de l’orgasme, il s’arrêta soudainement et se glissa rapidement sous moi. Cette délicieuse queue profondément enfoncée de nouveau dans ma chatte.
Et puis je le sentis : un deuxième corps derrière moi saisit mes hanches et pénétra mon anus. Je hurlai de plaisir. Cette sensation était si intense. Je n’avais jamais vécu une double pénétration ainsi. Tous mes sens étaient focalisés sur ce moment : deux grosses bites qui me pénétraient en rythme, profondément.
Des corps en sueur, des gémissements, des cris
L’orgasme le plus puissant de toute ma vie m’envahit. Alors que on sexe se contractait de manière rythmée, je sentis l’homme sous moi jouir lui aussi. Rugissant et haletant, nous jouîmes ensemble. Ce fut le signal pour le deuxième homme de se lâcher à son tour. Je sentis sa semence chaude jaillir au fond de mon cul. Jamais ne m’étais-je sentie aussi comblée. Soudain, ils se retirèrent et je me retrouvai seule…
« Ça va ? », demanda ma copine au loin.
« Jamais je ne me suis sentie aussi bien », répondis-je d’une voix lente.
Elle revint près du lit et défit mes liens. Nous retournâmes dans la salle de douche, rinçâmes la sueur de nos corps frémissants, et nous rhabillâmes. Nous ne parlions pas beaucoup. En quittant les lieux, nous nous promîmes que cette expérience resterait entre nous. Marrakech était magique… doublement magique.
Vous aussi, ça vous donne envie de tester le double plaisir ? Suivez le guide pour une double pénétration tout en douceur !
