Dix ans après un été inoubliable, elle croise par hasard son ancien crush qu’elle n’a jamais vraiment oublié. Ce soir de novembre, la pluie tombe sur Paris, mais c’est une autre chaleur, plus ancienne et plus intense, qui s’apprête à la submerger.
C’était un samedi soir de novembre, un de ces soirs où la pluie glisse lentement sur les vitres et où les bars deviennent des refuges contre le froid. J’attendais mon rendez-vous Tinder en feuilletant un livre, lorsque la porte s’est ouverte dans un souffle d’air frais.
Sans réfléchir, j’ai levé les yeux.
Et là, je l’ai vu.
Ce n’était pas mon rendez-vous… mais lui. Mon ancien crush. Je ne l’avais pas revu depuis dix ans.
Un frisson a remonté le long de ma nuque, glissant sur ma peau comme un souvenir revenu me frôler.
Dix ans avaient passé depuis cet été fou, vibrant, inoubliable. Dix ans, et pourtant, je l’ai reconnu immédiatement.
Il est entré, avec le même regard, la même présence magnétique. Mon souffle s’est coupé. Rien n’avait changé. L’attirance m’a traversée avec la même intensité qu’autrefois.
Il ne m’a pas aperçue tout de suite. Il est allé s’installer un peu plus loin. Mes pas m’ont portée vers lui comme s’ils n’avaient jamais oublié le chemin.
Quand enfin il a levé les yeux, le temps s’est arrêté. Une seconde suspendue.
– « C’est fou de te revoir… Comment vas-tu ? » lui ai-je dit.
La conversation s’est installée, naturelle mais un peu troublante. Nous avons parlé de nos vies. Il était célibataire. Moi, je venais à peine de sortir d’une relation chaotique. Je voulais me prouver que j’étais prête à tourner la page — c’était d’ailleurs pour cela que j’étais là, ce soir.
Je lui ai avoué qu’il m’arrivait encore de penser à lui. À cet été. À ses mains. À cette complicité qui n’avait jamais tout à fait disparu.
Il m’a regardée intensément, et j’ai compris qu’il ressentait la même chose.
Puis, la porte s’est ouverte de nouveau. Mon rendez-vous est entré.
Je l’ai salué avec un sourire que je voulais naturel, mais mon cœur battait encore trop vite. Nous nous sommes installés au bar, et je fis de mon mieux pour paraître présente. Pourtant, toute mon attention restait suspendue là-bas, vers lui, au fond de la salle.
Tout au long de la soirée, je n’ai pas pu m’empêcher de chercher son regard. Et chaque fois que nos regards se croisaient, mon cœur accélérait un peu plus.
À la fin de la soirée, je l’ai vu se lever. Son ami, arrivé entre-temps, avait déjà enfilé son manteau. Ils se sont apprêtés à partir.
Mon cœur s’est emballé.
J’ai écourté ma conversation avec mon rendez-vous, prétextant que j’étais fatiguée. Dès qu’il est sorti, je me suis levée à mon tour et je me suis précipitée dehors.
Il était là, au coin de la rue, suspendu dans la lumière orangée d’un réverbère. Quand il m’a aperçue, il m’a souri et m’a proposé de me raccompagner jusqu’à ma voiture.
Sur le parking presque désert, le silence s’est épaissi, chargé d’une tension que ni l’un ni l’autre n’a essayé de dissimuler. Il s’est approché, lentement. Sa main a effleuré la mienne…
Comment ai-je pu me sentir aussi intensément attirée par quelqu’un aussi vite ? C’était insensé. Il m’a serrée fermement et m’a embrassée avec ses lèvres douces. J’ai cessé de réfléchir et me suis laissée aller dans ses bras.
Sa main a glissé sous mon haut et a caressé ma poitrine. J’ai gémi doucement.
« J’en avais trop envie… », lui ai-je murmuré à l’oreille.
Ce soir la, on s’est quittés, sans un mot de plus. Je suis montée dans ma voiture et j’ai repris la route, le cœur encore battant…
Sur le chemin du retour, je n’ai pas pu effacer le sourire de mon visage. J’avais donc revu mon ancien crush.
Les jours suivants, nous sommes restés en contact chaque jour. Nous avons échangé des banalités, mais aussi des messages plus intimes, sur tout ce que nous aurions eu envie de faire ensemble lorsque nous nous reverrions.
La semaine suivante, le moment est arrivé. Nous avons dîner ensemble chez lui. Bien sûr, j’avais mis mon ensemble de lingerie le plus sexy. J’ai sonné nerveusement et j’ai attendu qu’il ouvre. Il m’a fait entrer et m’a demandé si je voulais boire quelque chose.
Mais, je n’ai voulu qu’une seule chose : lui.
Je voulais sentir ses mains sur moi, son corps contre le mien, arracher ses vêtements… Lorsqu’il est revenu avec les verres, je les ai pris de ses mains et j’ai commencé à l’embrasser. Il a réagi aussitôt en me saisissant et en me plaquant contre le mur. Ses mains chaudes ont caressé ma poitrine et mes fesses tandis qu’il me mordait l’oreille.
– « On va continuer ce qu’on a pas fini la semaine dernière… » me dit-il.
Sa main glissa dans mon pantalon, et même à travers mon string, il a senti que j’étais mouillée.
« Ta chatte est trempée ! j’ai trop envie de te faire l’amour»
Soudain, il arracha mon haut, et j’ai oté rapidement mon pantalon. Il m’a retourné, j’avais le visage contre le mur. Il écarta mes jambes et fit glisser ses doigts le long de mon string.
Habilement, il le déplaça sur le côté et enfonça immédiatement ses doigts profondément dans mon vagin.
« Je vais lécher ta chatte jusqu’à te faire jouir. »
Sa confiance en lui était si sexy. Et avant même que je réalise, il était déjà à genoux, écarta mes fesses et commença à lécher doucement mon clito et mes lèvres. De plus en plus vite, plus intensément, et parfois, il enfonçait sa langue. Ma respiration s’accéléra. J’eu du mal à rester debout et je sentis lentement l’orgasme monter. Il fut si intense que j’en eus la tête qui tournait. Il se leva, je me retournai et on a recommencé à s’embrasser. Il m’a soulevé, et j’enroulai mes jambes fermement autour de lui.
« Sa confiance en lui était si sexy. Et avant même que je réalise, il était déjà à genoux, écarta mes fesses et commença à lécher doucement mon clito et mes lèvres. »
Sa queue était maintenant dure comme de la pierre. Il s’assit sur le canapé, moi sur ses genoux.
« J’ai trop envie d’être en toi, tu veux sentir ma bite bien dure dans ta chatte trempée ? » me demanda-t-il.
A cet instant, ma réponse fut immédiate : j’arrachai nos derniers vêtements restants et m’assis à nouveau sur lui.
Il attrapa fermement mes seins et lécha mes tétons. Je pris sa queue et la fis glisser le long de mes lèvres mouillées.
Il me supplia de le laisser entrer, mais je le fis attendre encore un peu. Puis je la laissa rentrer d’un coup sec, et queue dure pénétra profondément en moi.
J’en voulais encore plus. Je voulais qu’il me baise fort. Je voulais le sentir bouger en moi. Le plus profondément possible.
Il me prit par les fesses et me souleva légèrement. Puis il commença à me pénétrer avec force. Il gémissait bruyamment.
« Ahhhh »
J’adorais le voir prendre du plaisir, voir le désir sur son visage. Je sentis sa queue encore durcir en moi juste avant qu’il ne jouisse. Je descendis de ses genoux et pris délicatement son pénis dans ma bouche et je l’ai léché jusqu’à ce qu’il soit parfaitement propre…
« Mmmm, je n’en ai jamais assez de toi, je te veux encore… »
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