Lisez la deuxième partie de l’histoire érotique ‘Entre ses mains’ qui suit Pénélope. Cette dernière se retrouve accidentellement dans les griffes de Magnus, le chef d’une organisation mafieuse. Elle fait tout pour comprendre ce nouveau monde et ses codes.
L’invitation
Il ne faut pas longtemps avant que je reçoive une invitation de Magnus après notre brève rencontre dans son penthouse. Je m’y attendais, mais pas si tôt. Un samedi après-midi, quelqu’un frappe à ma porte et je découvre un homme inconnu lorsque j’ouvre.
Il est grand et musclé, mais malgré son allure intimidante, son regard est amical. « Je te dérange ? » demande-t-il.
« Non, pas du tout, » réponds-je lentement. « Que puis-je faire pour toi ? »
« Je suis Ricardo, la main droite de Magnus. Magnus t’invite à dîner ce soir au restaurant, » dit Ricardo avec un sourire. Il se tourne vers une seconde personne qui apparaît lorsque Ricardo ne bloque plus complètement l’ouverture de la porte, et prend quelques boîtes. « Il a pris la liberté de te fournir une tenue. »
« Ah, » murmurai-je en prenant les boîtes. « Ce que j’ai ne lui convient pas ? » Je hausse un sourcil.
Ricardo rit doucement. « Si les tailles ne conviennent pas, appelle ce numéro. » Il dépose une carte sur la boîte du dessus. « Si sept heures te convient, Magnus t’attendra. »
« Euh, merci. Ça ira, » dis-je. Ricardo hoche la tête et, avec l’autre personne, il se dirige vers les ascenseurs. Je referme la porte et pose les boîtes sur le lit.
Qu’est-ce que Magnus a bien pu choisir pour moi ?
On pourrait penser qu’il a mieux à faire que de faire du shopping pour ses invités.
Il y a trois boîtes. Lorsque j’ouvre la première, je découvre une paire de magnifiques talons noirs à ma taille. La seconde boîte contient une longue robe noire qui ne laisse rien à l’imagination. Un type de robe que je porterais peut-être dans mes rêves les plus fous, mais ici ? Elle est vraiment belle…
La dernière boîte est bien plus intime que des chaussures et une robe. Avec des joues rouges, je sors un ensemble de lingerie en trois pièces. Le string, le soutien-gorge ouvert et les porte-jarretelles sont faits de dentelle douce noire et cuivrée. Les bas assortis sont noirs avec des jarretières en dentelle. Je laisse le tissu glisser entre mes doigts. C’est vraiment un ensemble sexy. J’ai toujours voulu porter quelque chose comme ça, mais je n’en ai jamais eu l’occasion.
Je regarde l’horloge. Il me reste trois heures avant de descendre. C’est largement suffisant pour prendre une douche et me préparer.
Le rendez-vous
Finalement, je me tiens devant le miroir à six heures quarante-cinq. Je passe mes mains le long de mon corps pour ajuster les derniers plis de la robe. Le soutien-gorge ouvert donne juste assez de maintien pour les mettre en valeur dans la robe, même si ma poitrine n’est pas très grande. Si jamais il fait trop froid (ou trop chaud), ça ne cachera pas grand-chose.
Je vérifie une dernière fois mes cheveux et mon maquillage, et ajoute quelques bijoux pour compléter la tenue. Il est temps de descendre. Avec le cœur battant et des papillons dans le ventre, je me dirige vers le restaurant. À l’entrée, Ricardo m’attend.
« Magnus t’attend à l’intérieur, » dit-il avec un petit sourire.
« Merci. » Je passe devant lui et entre dans le restaurant. Bien que ce soit d’abord un grand buffet, il est maintenant complètement transformé en un restaurant romantique et luxueux. Des lampes d’ambiance et des bougies éclairent les tables, et une seule table se trouve sur une estrade, où Magnus est déjà assis.
Bien qu’une douce musique classique joue en arrière-plan, mes talons résonnent fortement alors que je marche vers lui. Il lève les yeux et jette un bref coup d’œil à mon corps. Je garde la tête haute et lorsque je rencontre de nouveau son regard ardent, un feu s’allume en moi. Magnus se lève et tend la main vers moi au pied de l’estrade. Je pose ma main dans la sienne et une décharge électrique parcourt mon corps.
« Tu es ravissante, » dit Magnus d’une voix basse. Il laisse ses yeux parcourir encore une fois mon corps sans gêne. Cela me donne l’occasion de l’admirer dans son élégant costume trois pièces. « Les tailles sont-elles correctes ? »
« Exactement, » dis-je en haussant un sourcil. « Tu as fouillé dans ma garde-robe ? »
Magnus rit doucement en me conduisant à la table et en tirant la chaise derrière moi lorsque je m’assieds. Ses mains restent sur le dossier et il se penche, ses lèvres près de mon oreille. « J’ai un bon sens de l’évaluation. »
Des frissons parcourent mon corps
Je serre les jambes sous la table. Magnus s’assoit en face de moi. « Comment se passe ton séjour ici ? As-tu tout ce dont tu as besoin ? »
Je rassemble rapidement mes pensées et mets de côté la chaleur dans mon corps. « Bien. Je n’ai vraiment rien à redire, » dis-je avec un petit sourire.
« C’est bon à entendre. Tout le monde te traite correctement ici ? » Sa voix prend un ton sévère et mon imagination me ramène à son penthouse, où il me parlerait avec cette voix.
Je hoche la tête. « Oui, tout le monde est très poli et serviable. » Je me penche en avant, pose mon menton sur mes mains croisées et dis, « Magnus, j’avais des doutes au début, mais je te suis immensément reconnaissante de pouvoir rester ici. »
« Aucun problème, » dit Magnus en reflétant ma posture. « J’ai entendu dire que tu te promenais parfois ? »
Je hausse légèrement les épaules. « Au début. Je suis convaincue que ce n’est pas nécessaire. »
Le penthouse
Un sourire en coin apparaît sur son visage et je fonds intérieurement. Sans détourner le regard, il remercie le serveur qui nous apporte l’entrée et attend trois secondes. « Comment as-tu trouvé mon penthouse, Pénélope ? »
J’essaie de ne rien montrer, mais un rouge me monte aux joues. « Il est très, euh, beau. » Je me concentre sur l’entrée et prends une première bouchée. Oh mon dieu, c’est délicieux.
« Savais-tu qu’il y a des caméras de sécurité ? »
Je m’étouffe avec ma bouchée. Toussant, j’essaie de trouver quoi répondre. Magnus se lève, vient à côté de moi, contre la table, et verse un verre d’eau qu’il me tend ensuite. Je le prends avec gratitude pour me calmer.
« Tu dis que tu n’as rien à redire, » dit Magnus en reprenant le verre. « Mais j’ai vu que tu cherchais quelque chose que je n’ai pas pu te donner. » Il pose son doigt sous mon menton et le lève pour que je puisse le regarder.
Mon cœur bat la chamade et je rassemble tout mon courage pour dire, « Qui dit que tu aurais pu me le donner ? »
Un sourire diabolique apparaît sur son visage avec une lueur dangereuse dans ses yeux. « Crois-moi, Pénélope. Donner un orgasme fait partie de mes compétences. » Il lâche mon menton et laisse ses doigts glisser le long de ma mâchoire. Puis il remet une mèche de cheveux derrière mon oreille et caresse mon cou du bout des doigts. Instinctivement, j’expose un peu plus mon cou. Puis il retire sa main et se rassoit en face de moi. « Si tu me donnes l’occasion, bien sûr. Tu n’as qu’à demander. »
« Bon à savoir, » je souris en retour.
Sa chambre
La conversation devient plus légère à mesure que les plats sont apportés. Et le rendez-vous touche à sa fin.
Et pendant tout ce temps, je pèse le pour et le contre de lui demander ou non. C’était une invitation claire. Et honnêtement, je suis très curieuse de savoir comment il est au lit. Après un dernier verre de vin, je demande, « As-tu des plans après ça ? »
Magnus prend une gorgée et repose son verre calmement, levant un sourcil avec un petit sourire. « Non, je n’ai pas de plans, Pénélope. »
« Dans ce cas, j’aimerais te donner une chance. » Je le regarde sous mes cils avec un sourire coquin. « Tes compétences doivent être confirmées, n’est-ce pas ? »
« Bien sûr. » Il se lève d’un mouvement fluide et tend la main vers moi à côté de la table. Je pose ma main dans la sienne et me laisse aider à me lever. Magnus passe mon bras sous le sien et me tient près de lui alors que nous nous dirigeons vers les ascenseurs. Il salue brièvement Ricardo avant que nous n’entrions dans un ascenseur déjà ouvert.
« Tu peux choisir, » dit-il, et je sens son souffle chaud à travers mes cheveux. « Veux-tu voir les étoiles, l’univers entier ou ta prochaine vie ce soir ? »
Je le regarde avec étonnement. « Que veux-tu dire exactement ? »
L’étoile ou l’univers ?
Magnus se penche encore plus près, ses lèvres à quelques millimètres des miennes. « Les étoiles viennent après deux orgasmes. L’univers entier après cinq. Tout ce qui suit, nous passons directement aux visions de ta prochaine vie. »
Je ris doucement. « Commençons par un, d’accord ? » Mes joues sont rouges et après une soirée de taquineries et d’excitation, je sens que ma vulve est déjà bien gonflée.
Magnus sourit et approche encore ses lèvres des miennes. Je peux presque les sentir. Mon souffle se coupe. « Pas de problème. » Les portes de l’ascenseur s’ouvrent, et il me guide vers son penthouse. Nous avançons dans le couloir, et il ouvre une porte avec une clé, révélant une grande chambre avec un lit immense.
J’entre dans la chambre pendant que j’entends la porte se fermer derrière nous. C’est une chambre minimaliste. Magnus se tient derrière moi. Il pose une main sur ma hanche et me tourne vers lui. Son autre main se pose sur ma joue.
« Une chose doit être claire, » dit-il en me tirant un peu plus près de lui. Je le regarde, intriguée. « Si tu changes d’avis ou si tu ne te sens pas à l’aise, nous arrêtons immédiatement. »
« D’accord, » murmurai-je, en posant ma main sur sa nuque chaude. Je l’attire vers moi et sans y réfléchir à deux fois, je ferme les yeux et l’embrasse. Son bras s’enroule autour de ma taille et me presse complètement contre lui. Il prend les devants et m’embrasse passionnément alors que j’enlace son cou.
Embrasser, lécher, mordiller
Ses lèvres glissent de ma mâchoire à mon cou, où il commence à embrasser, lécher et même mordiller doucement. Je gémis et incline mon cou pour lui donner plus d’accès. Ses mains caressent mon corps à travers la robe, et il grogne d’approbation. Il laisse ses mains descendre sur mes fesses avant de saisir mes cuisses et de me soulever. J’enroule mes jambes autour de sa taille et me débarrasse de mes talons. Magnus marche vers le lit et me dépose délicatement. Ses lèvres quittent mon cou, et je réprime un gémissement de déception, mais je me ressaisis en le voyant retirer sa veste et son gilet. En un mouvement fluide, il enlève aussi sa chemise, et mon dieu, cet homme est sublime.
Il retire ses chaussures et ses chaussettes avant de se pencher sur moi avec un sourire taquin. « Laisse-moi t’aider avec cette robe. » La robe disparaît avant que je ne m’en rende compte, et je suis allongée sous lui dans l’ensemble de lingerie sexy. « Jésus, c’est encore mieux que ce que j’avais imaginé, » dit-il en me regardant intensément. Ses lèvres retrouvent les miennes. J’explore sa poitrine de mes mains et gémis contre ses lèvres lorsqu’une de ses mains trouve mon sein gauche et commence à le masser doucement.
Ses lèvres descendent vers mon cou, puis plus bas vers mon sein droit. Lorsque ses lèvres entourent mon téton et que sa langue commence à faire de petits cercles, je sens une décharge électrique parcourir mon corps. Mon string devient humide, et tout ce que je veux, c’est de la friction. Je pousse mes hanches vers lui.
Je sens son érection à travers son pantalon
Il rit doucement autour de mon sein et lève les yeux vers moi. « Comment ça se sent ? »
« Bien, » dis-je en haletant. « Ne t’arrête surtout pas. »
Magnus sourit et continue à masser et lécher doucement. Je plonge mes doigts dans ses cheveux et cherche encore plus de friction. Il descend plus bas. Sur mon ventre, le long des jarretelles, jusqu’à la bordure de mon string. Il accroche son doigt à l’une des jarretelles avant d’écarter mes jambes. Il dépose un baiser léger comme une plume sur mon string, juste sur mon clitoris.
Quand je veux à nouveau lever mes hanches, il est prêt. Il me maintient fermement contre le lit tout en levant les yeux vers moi. « Pas encore, Pénélope. » Il pose ma jambe droite sur son épaule et commence à déposer des baisers à l’intérieur de ma cuisse gauche. Lentement, il monte. Et monte encore.
Et encore.
Sa main revient sur mon sein et tourne doucement mon téton entre ses doigts.
« Magnus, s’il te plaît, » gémis-je, mais il me maintient fermement contre le lit. Puis je sens ses doigts écarter mon string.
« Merde, » murmure-t-il en me caressant légèrement de ses doigts et en découvrant combien je suis mouillée. Lorsqu’il lèche ensuite ses doigts, mes yeux s’agrandissent, et son regard seul pourrait me faire jouir. « Les étoiles, Pénélope. » Et puis, il disparaît entre mes jambes. Avec ses doigts, il me caresse doucement avant que sa langue chaude ne touche mon clitoris. Je sursaute, et la sensation est si intense que je veux me fondre dans le matelas.
Il pose mon autre jambe sur son épaule, et sa langue commence à faire des merveilles. Il réduit la pression et tourne légèrement autour de mon clitoris. Ses doigts taquinent mon vagin. D’abord, un doigt entre d’une phalange. Puis, il va plus profondément. Mais ce n’est pas suffisant. Un deuxième doigt s’ajoute, et il les fait ensuite recourber vers mon ventre.
Merde, cet homme…
Mon orgasme monte rapidement. « Magnus, je ne vais pas tenir ! » criai-je en serrant ses cheveux de ma main et en agrippant le drap de l’autre. Il ne se fait pas prier deux fois. En augmentant progressivement le rythme, il ajoute de plus en plus de pression alors que ses doigts ont trouvé mon point G et me rendent folle.
Il lève les yeux, et je sais exactement ce que son regard signifie : « Viens pour moi. »
Et puis, je crie silencieusement alors que mon orgasme traverse mon corps en vagues. Je vois presque les étoiles. Magnus continue de lécher jusqu’à ce que mon orgasme soit terminé avant de retirer ses doigts. Il les lèche en me regardant avec des yeux sombres et pleins de désir.
« Je pense qu’un deuxième n’est même pas nécessaire pour les étoiles, Magnus, » haletai-je.
Magnus se penche de nouveau sur moi. « Alors, allons pour- »
Une alarme forte retentit soudain, et nous nous redressons dans le lit. « Qu’est-ce que c’est ? » lui demandai-je avec de grands yeux.
Il a l’air préoccupé en sortant du lit et en remettant rapidement ses chaussettes et ses chaussures. Puis, il saisit sa chemise, la mettant à moitié. « J’espère que c’est une fausse alerte, » dit-il en prenant la clé de la table de nuit et en la mettant dans ma main. « Verrouille la porte dès que je pars. »
« Quoi ? Je- »
Mais il sort déjà de la chambre et referme la porte résolument derrière lui. Je regarde la clé, puis la porte. Je verrouille la porte malgré mes jambes tremblantes et mets sa veste sur mes épaules. Espérons que ce soit une fausse alerte…
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