Suivez Penelope dans une histoire érotique torride. Elle vit une aventure en solo dans le bureau du parrain de la mafia, Magnus. Aura-t-elle de mauvaises surprises ?
Excitation
Deux semaines se sont écoulées depuis que j’ai été laissée seule dans la chambre du bâtiment de Magnus. Pendant ce court laps de temps, j’ai découvert que Magnus est rarement présent, que ce bâtiment était autrefois un hôtel et qu’errer dans les couloirs n’est généralement pas une bonne idée.
Le rez-de-chaussée est parfaitement accessible et il y a suffisamment d’endroits pour travailler tranquillement. Il m’a fallu un peu d’effort pour convaincre mon manager que je travaillerais à distance pendant un certain temps, mais j’ai réussi. Et ici, il y a moins de distractions que dans mon appartement ou au bureau. Ma productivité a tellement augmenté que mon manager n’a aucune raison de se plaindre.
Je ne croise presque personne, sauf lorsque je décide d’explorer d’autres étages, où l’on me demande poliment de repartir. Mais ils me traitent comme une invitée et, honnêtement ? Cela ressemble à une sorte de… destination de vacances unique. Il y a une petite salle de sport, une piscine et je peux accéder à la cuisine quand je le souhaite.
C’est donc presque parfait. Sauf que je m’ennuie terriblement une fois mon travail terminé, après avoir passé une heure à la salle de sport, nagé quelques longueurs et pillé la cuisine. Ce n’est donc pas très excitant.
Tout est en ordre
Un samedi soir, je me promène au rez-de-chaussée lorsque j’entends une conversation dans le hall. « – revient ce soir, » dit un homme à la voix grave. « Tout est prêt ? » demande un autre homme, qui – alors que je tourne au coin – joue nerveusement avec un briquet. « Ricardo a tout vérifié, donc tout devrait être en ordre. » L’homme lève les yeux et me voit. « Ah, Penelope, bonsoir. »
« Bonsoir, » dis-je avec un signe de tête. « Vous avez besoin de quelque chose ? » demande l’homme avec le briquet, un regard amical. « Euh, non. Je faisais juste un tour. Merci. » – « Si vous avez besoin de quelque chose, n’hésitez pas à demander. »
Je hoche la tête à nouveau. « Oui, bien sûr. Merci encore. » Je continue mon chemin jusqu’à ce que j’atteigne les ascenseurs. J’appuie sur le bouton et attends que l’ascenseur arrive en bas, réfléchissant à ce que je vais faire. Je pourrais bien sûr retourner dans ma chambre, mais je pourrais aussi rendre visite au penthouse de Magnus.
Après tout, s’il revient ce soir…
Son penthouse
J’entre dans l’ascenseur, appuie sur le bouton pour fermer les portes et hésite avant d’appuyer sur le bouton du dernier étage. Il ne sera probablement pas encore là, mais que se passerait-il s’il me surprenait ? Où est son invitation à visiter son penthouse ?
Mes pensées m’emmènent vers un lit king-size où il m’embrasse passionnément et me prend sauvagement. Je secoue cette pensée immédiatement et me regarde dans le miroir de l’ascenseur. Mais si cela arrivait ? Cela rendrait certainement mon séjour ici beaucoup plus intéressant.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent directement dans son penthouse. Il n’y a pas de couloir, cela donne directement sur un salon. Les murs de gauche et du fond sont entièrement en verre, offrant une vue imprenable sur la ville. À ma droite, il y a un mur avec des rangées de bibliothèques et un couloir avec des portes fermées. Au centre de la pièce, il y a deux canapés en cuir et quatre fauteuils confortables sur un tapis persan. Et au fond de la pièce, il y a un grand bureau bien organisé et une chaise de bureau luxueuse.
Il y a aussi des plantes, des vases coûteux et d’autres petits objets domestiques, mais c’est assez minimaliste. Je passe devant les bibliothèques et, à côté des rangées et rangées de livres, il y a aussi d’autres objets. Une voiture miniature, un cactus, une petite cravache, un- Je m’arrête et regarde la cravache. Lentement, je la prends. Je suis presque sûre que c’est une cravache utilisée dans le BDSM.
Une découverte piquante
L’usure de la poignée me fait frémir. Ses grandes mains tenant la cravache et l’utilisant sur son partenaire. Mon corps devient plus chaud et je me demande s’il en a d’autres. Mais je ne trouve rien d’autre dans sa bibliothèque. Tenant toujours la cravache, je me dirige vers le couloir, où j’essaie plusieurs portes. Elles sont toutes verrouillées.
Déçue, je retourne vers le bureau et m’assieds dans son fauteuil. Je pourrais tout aussi bien l’attendre ici, la cravache en main. Lui dire de se mettre à genoux lorsqu’il arrivera. À cette pensée, je retiens un rire nerveux. Mon cœur commence à battre plus vite et une douce tension se forme entre mes jambes.
Je déplie légèrement mes jambes et laisse la cravache glisser entre mes doigts. Puis sur mon avant-bras, lentement vers le haut jusqu’à atteindre l’endroit sensible derrière mon oreille. Je penche la tête en arrière et m’enfonce un peu plus dans le fauteuil. Je fais glisser la cravache lentement vers le bas sur mes seins. Même avec un soutien-gorge et un t-shirt, mes tétons durcissent au contact subtil.
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Si Magnus arrivait maintenant…
Je l’imagine franchir les portes de l’ascenseur et entrer dans la pièce. Sans dire un mot, il s’approche de moi et agrippe les accoudoirs pour me tirer vers lui. Il se penche sur moi et m’embrasse. Ses mains commencent à explorer mon corps. Sur mes bras. Des baisers papillons dans mon cou. Une autre main sur mon genou qui glisse vers le haut. Sous ma jupe, juste au bord de ma culotte.
Je laisse la cravache glisser le long de ma jambe et un léger gémissement m’échappe. Je continue de me taquiner jusqu’à ce que la tension soit si forte que je ne puisse plus attendre. Ma main disparaît sous ma culotte. Mes doigts explorent mon clitoris en petits cercles, puis j’insère un doigt en moi. Je suis assez mouillée et j’en ajoute un deuxième.
Je pose la cravache sur le bureau de Magnus et, de ma seconde main, je me concentre sur mon clitoris. Mais si je ferme les yeux, dans mon fantasme, c’est sa main qui me touche. Je plie mes jambes et les pose sur le bord du bureau. De plus en plus vite, je laisse mes doigts bouger. En rythme, je les fais tourner en moi et stimule mon point G.
Il ne me faut plus longtemps. Mes orteils se courbent et la tension atteint son apogée. Mon orgasme déferle en moi avec des vagues chaudes et agréables et je gémis son nom sans honte. Lentement, je reviens de cet état extatique et me lève du fauteuil. Apparemment, je n’ai laissé aucun souvenir, en regardant la chaise. Je ris doucement. Il m’est difficile de croire que je viens de faire ça.
Ne rien laisser paraître
Je jette un coup d’œil à l’ascenseur et vois qu’il monte. Vers ici. Je mords ma lèvre inférieure et décide que ce soir n’est pas encore le moment.
Calmement, je remets en ordre ma culotte et ma jupe près de son bureau. Je prends la cravache et laisse le cuir glisser entre mes doigts tout en me tournant vers les fenêtres. Le ciel étoilé me salue et je profite un instant de la vue à couper le souffle. Puis l’ascenseur arrive à l’étage avec un « ding » et je vois dans le reflet de la vitre les portes s’ouvrir.
Magnus entre, défaisant sa cravate. Il s’arrête en me voyant. Je me tourne vers lui et marche vers l’ascenseur, mais pas avant de me placer devant lui. « Penelope, à quoi dois-je cet honneur ? »
« Tu m’avais invitée, » dis-je avec un petit sourire, le regardant sous mes cils, sachant que mes joues sont encore rouges. « Mais tu n’étais pas là et j’ai encore des choses à faire. J’espère que nous nous retrouverons plus tard. » Je lui fais un clin d’œil, prends sa main pour y placer la cravache, et entre dans l’ascenseur. Je me retourne lentement et le regarde encore alors que ses yeux parcourent mon corps. Puis les portes se ferment et il est seul.
Et je retourne dans ma chambre, sachant que son intérêt est tout aussi éveillé que mon orgasme il y a à peine cinq minutes.
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